Les idées nouvelles sur la structure de l'univers: exposé élémentaire de la théorie d'Einstein et de sa généralisation, suivi d'un appendice à l'usage des mathématiciens; avec 17 figures dans le textePayot & cie, 1921 - 204 pages |
Expressions et termes fréquents
absolu accélération arbitraire axes BECQUEREL c'est-à-dire champ de force champ de gravitation champ électromagnétique composantes constante contrevariant coordonnées galiléennes corps courbe courbure totale densité déplacement dérivée covariante distance spatiale ds² dynamique Eddington Einstein électrons énergie équations équations de Maxwell événements forme formules de Lorentz Galilée généralisation géodésiques géométrie euclidienne grandeurs groupe de Lorentz horloges identiques indépendante du système indices infiniment voisins invariant l'électron l'énergie l'équation l'espace l'Espace-Temps l'éther l'invariant l'observateur ligne d'Univers loi d'inertie loi de conservation lois longueur lumière masse Maxwell mécanique ment mesure Michelson Minkowski mobile mouvement rectiligne newtonienne observateur physique portion de matière potentiel principe de relativité propriété quadrivecteur quantité de mouvement rapport rectiligne et uniforme scalaire simultanés surface symétrique gauche système de coordonnées système de jauges système de référence système galiléen tenseur d'ordre tensorielle théorie d'Einstein tion transformation translation uniforme Univers euclidien vecteur vitesse Weyl x₁ Όχι
Fréquemment cités
Page 33 - Morley, et plus généralement les équations fondamentales de l'électro-magnétisme,prouvent que la vitesse de la lumière est la même dans toutes les directions pour un observateur quelconque, quelle q'ue soit la vitesse (mesurée par rapport à un système d'inertie quelconque) du système d'inertie où est placé celui-ci.
Page 13 - Toujours et partout, si un carré est construit sur l'hypoténuse d'un triangle rectangle, il est égal à la somme des carrés construits sur les deux autres côtés...
Page 33 - Le principe de la relativité restreinte d'Einstein peut se formuler de la manière suivante : les lois des phénomènes physiques sont les mêmes dans tous les systèmes en translation uniforme les uns par rapport aux autres...
Page 128 - Cet éther ne doit cependant pas être conçu comme étant doué de la propriété qui caractérise les milieux pondérables, c'est-à-dire comme constitué de parties pouvant être suivies dans le temps : la notion de mouvement ne doit pas lui être appliquée (Einstein).
Page 53 - L'Univers est indépendant du système de référence qui sert à repérer les événements ; chaque système est une division particulière de l'Univers en espace et en temps... Suivons maintenant la succession continue des événements qui constituent la vie d'une même portion de matière ou d'un même être. Leur ensemble forme dans l'Espace-Temps une ligne d'Univers, comme en géométrie une succession continue de points forme une ligue dans l'espace.
Page 66 - ... un processus inverse d'intégration non encore observé, qui donnerait naissance aux atomes lourds, s'accompagnerait de variation d'énergie interne par émission ou absorption de rayonnement. La somme des poids des atomes ainsi formés différerait de celle des atomes transformés d'une quantité égale, au quotient de la. variation d'énergie par le carré de la vitesse de la lumière. Ces écarts sont tels que les énergies mises en jeu seraient du même ordre de grandeur que celles observées...
Page 48 - à l'heure actuelle, l'espace et le temps considérés en eux-mêmes doivent disparaître comme des fantômes e seul un mode d'union de l'espace et du temps peut posséder une individualité...
Page 131 - L'homme a recherché ce qui, dans la Nature, se présente à ses yeux comme permanent : il a trouvé les lois de conservation de la masse, de l'énergie, de la quantité de mouvement; par synthèses successives, il a été conduit à identifier les grandeurs physiques qu'on peut grouper dans le tenseur matériel T^ avec celles qui constituent un tenseur géométrique, le tenseur R^,vg;ivR
Page 79 - Newion, deux corps placés dans l'espace, àtelle distance qu'on voudra l'un de l'autre, s'attirent proportionnellement à leurs masses et en raison inverse du carré de leur distance.
Page 126 - Je préfère, dit cet auteur, regarder la matière et l'énergie, non pas comme des facteurs produisant les différents degrés de courbure de l'espace, mais comme des éléments de perception de cette courbure