Portraits politiques et révolutionnaires, Volume 2C. lévy, 1889 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 27
Page 8
... parle que de la teinte philanthropique que l'auteur y avait adroitement répandue , un incroyable engoue- ment de toutes les classes de la société l'accueillit . Certes , nous étions une société de tout point meilleure , plus ...
... parle que de la teinte philanthropique que l'auteur y avait adroitement répandue , un incroyable engoue- ment de toutes les classes de la société l'accueillit . Certes , nous étions une société de tout point meilleure , plus ...
Page 34
... parle du juge ; nous verrons ensuite comment il y parle du voleur : « Le procureur général , vous le représentez - vous , la nuit , dans son cabinet , élaborant à loisir et de son mieux cette harangue qui fera dresser un échafaud dans ...
... parle du juge ; nous verrons ensuite comment il y parle du voleur : « Le procureur général , vous le représentez - vous , la nuit , dans son cabinet , élaborant à loisir et de son mieux cette harangue qui fera dresser un échafaud dans ...
Page 41
... parle du « pavé stupide » , qu'il s'attendrit sur le souvenir du roi Charles A , qu'il jette l'ana- thème à Voltaire . Oh ! tremble ! ce sophiste a sondé bien des fanges ! Oh ! tremble ! ce faux sage a perdu bien des anges ! Ce démon ...
... parle du « pavé stupide » , qu'il s'attendrit sur le souvenir du roi Charles A , qu'il jette l'ana- thème à Voltaire . Oh ! tremble ! ce sophiste a sondé bien des fanges ! Oh ! tremble ! ce faux sage a perdu bien des anges ! Ce démon ...
Page 54
... parle- mentaire , leur tort , ce n'est pas d'avoir vécu plus ou moins bien , avec plus ou moins de vertu et d'habileté ; leur tort , c'est d'être nés . « Quand nous eussions dû mourir de honte , si une nation avait de la pudeur et si ...
... parle- mentaire , leur tort , ce n'est pas d'avoir vécu plus ou moins bien , avec plus ou moins de vertu et d'habileté ; leur tort , c'est d'être nés . « Quand nous eussions dû mourir de honte , si une nation avait de la pudeur et si ...
Page 65
... parle Gresset . D'où flanqué de trente - deux vents , L'auteur de l'Almanach de Liège Lorgne l'histoire du beau temps , Et fabrique avec privilège Ses astronomiques romans . Il est allé se loger au phalanstère , ou bien il court le ...
... parle Gresset . D'où flanqué de trente - deux vents , L'auteur de l'Almanach de Liège Lorgne l'histoire du beau temps , Et fabrique avec privilège Ses astronomiques romans . Il est allé se loger au phalanstère , ou bien il court le ...
Autres éditions - Tout afficher
Portraits politiques et révolutionnaires, Volume 2 Cuvillier-Fleury (M., Alfred-Auguste) Affichage du livre entier - 1889 |
Expressions et termes fréquents
10 Août accuse Almanach aujourd'hui Barbe Henry Barère Beaurepaire bourreau c'était Camille Desmoulins capitulation Carnot chose citoyens Claude Gueux cœur Collot-d'Herbois condamnation Contrat social Convention courage crime Cromwell Danton David d'Angers démagogie démocratie dire disait dit-il écrit écrivain Édouard Fleury esprit Est-ce Eugène Eugène Sue femme filles de Verdun Fouquier-Tinville française Gaulois girondins gouvernement représentatif guillotine Guizot hommes j'ai Jacobins Jean-Jacques Rousseau jeune jour juger justice l'auteur l'échafaud l'esprit l'histoire livre Louis Blanc Louis XVI Lucile lui-même madame Meslier main Marat Mathieu Laensberg démagogue ment monarchique monde mort numéro Organt parle passé passion patriotisme père peuple peut-être pitié plume poème d'Organt poète politique procès Proudhon Prusse prussienne raison républicain République reste révolution révolutionnaire rien Robespierre Saint Saint-Just Saint-Marc Girardin sais sang sentiment sérieux seulement sir Edmond Ludlow société sorte style suffrage universel Terreur théorie tion tribune Verdun Victor Hugo vierges de Verdun Vieux Cordelier voilà
Fréquemment cités
Page 109 - Il ya telles positions malheureuses où l'on ne peut conserver sa liberté qu'aux dépens de celle d'autrui , et où le citoyen ne peut être parfaitement libre que l'esclave ne soit extrêmement esclave.
Page 103 - On me demandera si je suis prince ou législateur pour écrire sur la politique. Je réponds que non, et que c'est pour cela que j'écris sur la politique. Si j'étais prince ou législateur, je ne perdrais pas mon temps à dire ce qu'il faut faire; je le ferais, ou je me tairais.
Page 108 - Sitôt que le service public cesse d'être la principale affaire des citoyens, et qu'ils aiment mieux servir de leur bourse que de leur personne, l'état est déjà près de sa ruine.
Page 195 - Adèle ! adieu mon père ! Je sens fuir devant moi le rivage de la vie. Je vois encore Lucile ! je la vois ma bien-aimée!
Page 108 - On cède une partie de son profit pour l'augmenter à son aise. Donnez de l'argent, et bientôt vous aurez des fers. Ce mot de finance est un mot d'esclave; il est inconnu dans la cité.
Page 63 - C'est l'envoi, c'est la colère, c'est la fureur qui rendent les verges terribles et redoutables. Cette main invisible, ce bras qui ne paraît pas, donnent les coups que le monde sent. Il ya bien je ne sais quelle hardiesse qui menace de la part de l'homme, mais la force qui accable est toute de Dieu.
Page 214 - Ainsi dit le renard; et flatteurs d'applaudir. On n'osa trop approfondir Du tigre, ni de l'ours, ni des autres puissances, Les moins pardonnables offenses: Tous les gens querelleurs, jusqu'aux simples mâtins, Au dire de chacun, étaient de petits saints.
Page 381 - C'est se jouer de la majesté du souverain que de lui renvoyer une affaire qu'il vous a chargés de terminer promptement. Si le peuple avait le temps de s'assembler pour juger des procès, ou pour décider des questions d'état, il ne vous eût point confié le soin de ses intérêts.
Page 216 - ... le jour de leur jugement, depuis son établissement au mois de juillet 1792, jusqu'à ce jour, rédigé et présenté aux amis de ses prouesses par le citoyen Tisset, rue de la Barillerie, n° 13, coopéraleur du succès de la République française.
Page 178 - Je ne crois pas qu'elle l'ait vu quatre fois en la vie. — Un mari ne sait jamais cela (et comme je ne paraissais pas ému) ; puisque vous prenez la chose en philosophe, sachez que Dillon vous trahit aussi bien que la République. Vous n'êtes pas un joli garçon. — Tant s'en faut. — Votre femme est charmante ; Dillon est encore vert ; le temps que vous passez à la Convention est bien favorable, et les femmes sont si volages ! du moins quelques-unes.