Introduction à la philosophie: ou, Traité de l'origine et de la certitude des connoissances humainesMéquignon Junior, 1826 - 496 pages |
Table des matières
101 | |
118 | |
126 | |
138 | |
147 | |
155 | |
165 | |
173 | |
281 | |
294 | |
304 | |
314 | |
320 | |
328 | |
336 | |
342 | |
181 | |
191 | |
198 | |
205 | |
212 | |
222 | |
232 | |
241 | |
248 | |
261 | |
271 | |
356 | |
370 | |
378 | |
386 | |
394 | |
404 | |
438 | |
477 | |
491 | |
496 | |
Autres éditions - Tout afficher
Introduction à la philosophie: ou, Traité de l'origine et de la certitude ... Pierre Sébastien Laurentie Affichage du livre entier - 1826 |
Introduction à la philosophie: ou, Traité de l'origine et de la certitude ... Pierre Sébastien Laurentie Affichage du livre entier - 1826 |
Introduction a la philosophie, ou Traité de l'origine et de la certitude des ... Pierre-Sébastien Laurentie Affichage du livre entier - 1826 |
Expressions et termes fréquents
athée athéisme autorité avoit axiomes Bossuet c'est-à-dire catholicisme certitude chercher chose chrétienne christianisme Cicéron connoissances connoître conscience conséquent considérer convictions corps croire croit croyance d'elle-même démontrer Descartes devoirs de l'homme dieux dire distinction Divinité doctrine dogme doit doute effet elle-même enseignemens erreurs esprit éternelle étoit évident Fénelon fondement genre humain homme qui dort idées infinie intelli intelligence l'athée l'autorité l'erreur l'esprit l'être l'existence de Dieu l'immortalité de l'âme l'infini l'universalité Lactance logique loi naturelle lois losophie lui-même manifeste matière ment merveilles métaphysique méthode monde montrer morale moyen mystères mystérieux nature naturelle nisme notions opinions organes paroît pensée perpétue peuples philo philoso philosophie physiciens physiologie physique Platon polythéisme pourroit première preuve principe propre Puffendorf pyrrhonisme Qu'est-ce question raison humaine raisonnemens reconnoître règle religion reste révélation rien rigoureusement s'il sauroit science sensation sentiment seroit seul société sophie sophismes syllogisme système témoignage tence tion tradition trouve vérité Voilà vrai
Fréquemment cités
Page 168 - Il est impossible qu'une chose soit et ne soit pas en même temps; autrement, ce qui est ne peut point n'être pas.
Page 345 - C'est pourquoi la première règle de notre logique, c'est qu'il ne faut jamais abandonner les vérités une fois connues , quelque difficulté qui survienne, quand on veut les concilier; mais qu'il faut au contraire, pour ainsi parler, tenir toujours fortement comme les deux bouts de la chaîne, quoiqu'on ne voie pas toujours le milieu par où l'enchaînement se continue.
Page 257 - Si je cherche maintenant où et en quel sujet elles subsistent, éternelles et immuables comme elles sont, je suis obligé d'avouer un être où la vérité est éternellement subsistante et où elle est toujours entendue ; et cet être doit être la vérité même et doit être toute vérité ; et c'est de lui que la vérité dérive dans tout ce qui est et ce qui s'entend hors de lui.
Page 203 - ... philosophie cartésienne. Je vois naître de son sein et de ses principes, à mon avis mal entendus, plus d'une hérésie ; et je prévois que les conséquences qu'on en tire contre les dogmes que nos pères ont tenus, la vont rendre odieuse, et feront perdre à l'Eglise tout le fruit qu'elle en pouvait espérer pour établir dans l'esprit des philosophes la divinité et l'immortalité de l'âme.
Page 465 - Aussi, en poussant les recherches de plus en plus, on arrive nécessairement à des mots primitifs qu'on ne peut plus définir, et à des principes si clairs qu'on n'en trouve plus qui le soient davantage pour servir à leur preuve.
Page 334 - Jetez les yeux sur toutes les nations du monde, parcourez toutes les histoires ; parmi tant de cultes inhumains et bizarres, parmi cette prodigieuse diversité de mœurs et de caractères, vous trouverez partout les mêmes idées de justice et d'honnêteté, partout les mêmes principes de morale, partout les mêmes notions du bien et du mal.
Page 169 - C'est une chose admirable que jamais auteur canonique ne s'est servi de la nature pour prouver Dieu; tous tendent à le faire croire : David , Salomon , etc.
Page 250 - On dit : Le parfait n'est pas ; le parfait n'est qu'une idée de notre esprit qui va s'élevant de l'imparfait qu'on voit de ses yeux jusqu'à une perfection qui n'a de réalité que dans la pensée. C'est le raisonnement que l'impie voudrait faire dans son cœur insensé, qui ne songe pas que le parfait est le premier, et en soi, et dans nos idées, et que l'imparfait en toutes façons n'en est qu'une dégradation.