... j'étais toujours avec ma tante, à la voir broder, à l'entendre chanter, assis ou debout à côté d'elle; et j'étais content. Son enjouement, sa douceur, sa figure agréable, m'ont laissé de si fortes impressions, que je vois encore son air,... Confessions - Page 13de Jean-Jacques Rousseau - 1817Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Jean-Jacques Rousseau - 1798 - 424 pages
...tante, à la voir broder, à l'entendre chanter, assis ou debout à côté d'elle ; et j'étais content. Son enjouement, sa douceur, sa figure agréable ,...son attitude : je me souviens de ses petits propos caressans; je dirais comment elle était vêtue et coiffée, sans oublier les deux crochets que ses... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 508 pages
...tante, à la voir broder, à l'entendre chanter, assis ou debout à côté d'elle; et j'étois content. Son enjouement, sa douceur, sa figure agréable, m'ont...sans oublier les deux crochets que ses cheveux noirs faisoientsur ses tempes, selon la mode de ce temps-là. Je suis persuadé que je lui dois le goût... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 494 pages
...à la voir broder, à l'entendre chanter , assis ou debout à côté d'elle ; et j'étais content. Son enjouement , sa douceur , sa figure agréable...je me souviens de ses petits propos caressants ; je dirais comment elle était vêtue et coiffée, sans oublier les deux crochets que ses cheveux noirs... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 482 pages
...regard, son attitude : je me souviens de ses petits propos caressants ; je dirais comment elle était vêtue et coiffée, sans oublier les deux crochets que ses cheveux noirs faisaient sur ses tempes, selon la mode de ce temps-là. Je suis persuadé que je lui dois le goût... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1831 - 1146 pages
...tante, à la voir broder, à l'entendre chanter, assis ou debout à côté d'elle; et j'étais conlent. Son enjouement, sa douceur, sa figure agréable, m'ont laissé de si fortes impressions, que je rois encore son air, son regard, son attitude : je me souviens de ces petits propos caressans ; je... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1836 - 820 pages
..., à la voir broder, à l'entendre chanter, assis ou debout à côté d'elle ; et j'étois content. Son enjouement, sa douceur, sa figure agréable, m'ont...impressions, que je vois encore son air, son regard, son altitude : je me souviens de ses petits propos caressans; je dirois comment elle étoil vêtue et coiffée,... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1844 - 642 pages
...ou debout à côté d'elle; et j'étais content. Son enjouement , sa douceur, sa figure agréabla , m'ont laissé de si fortes impressions , que je vois...je me souviens de ses petits propos caressants ; je dirais 3omment elle était vêtue et coiffée , sans oublier les deux crochets que ses cheveux noirs... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1846 - 586 pages
...à côté d'elle; et j'étais content. Son enjouement, sa douceur, sa figure agréable, m'ont laisse de si fortes impressions, que je vois encore son air,...je me souviens de ses petits propos caressants; je dirais comment elle était vêtue et coiffée, sans oublier les deux crochets que ses cheveux noirs... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1849 - 636 pages
...l'entendre chanter, assis ou debout à côté d'elle; et j'étais content. Son enjouement , sa doueeur, sa figure agréable , m'ont laissé de si fortes impressions, que je vois encore sou air, son regard, son attitude : je me souviens de ses petits propos caressants ; je dirais comment... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1852 - 816 pages
...tante, à la voir broder, à l'entendre chanter, assis ou debout à côté d'elle; et j'étois content. Son enjouement, sa douceur, sa figure agréable, m'ont...vois encore son air, son regard , son attitude : je nie souviens de ses petits propos caressans; je dirois comment elle étoit vêtue et coilïée, sans... | |
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