Je m'en aperçus enfin. Je me couchai voluptueusement sur la tablette d'une espèce de niche ou de fausse porte enfoncée dans un mur de terrasse; le ciel de mon lit était formé par les têtes des arbres; un rossignol était précisément... Confessions - Page 267de Jean-Jacques Rousseau - 1817Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Jean-Jacques Rousseau - 1798 - 424 pages
...cœur à la jouissance de tout cela, et soupirant seulement un peu du regret d'en Confessions.- 1. R jouir seul. Absorbé dans ma douce rêverie, je prolongeai...avant dans la nuit ma promenade sans m'apercevoir que j'çtais las. Je m'en apeicus enfinJe me couchai voluptueusement sur la tablette d'une espèce de niche... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1782 - 374 pages
...cœur à la jouiflance de tout cela , & foupirant feulement un peu du regret d'en jouir feul. Abforbé dans ma douce rêverie , je prolongeai fort avant dans la nuit ma promenade fans m'appercevoir que j'étois las. Je m'en apperçus enfin. Je me couchai voluptueufement fur la... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1782 - 364 pages
...cœur à la jouiflance de tout cela , & foupirant feulement un peu du regret, d'en jouir feult Ablbrbé dans ma douce rêverie , je prolongeai fort avant dans la nuit ma promenade fans m'appercevoir que j'étois las. Je m'en apperçus enfin. Je me couchai voluptueufement fur la... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1782 - 486 pages
...cœur à la jouiflance de tout cela , & foupirant feulement un peu du regret d'en jouir feul. Abforbé dans ma douce rêverie , je prolongeai fort avant dans la nuit ma promenade fans m'appercevoir que j'étois las. Je m'en apperçus enfin. Je me couchai voluptueufement fur la... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1782 - 366 pages
...cœur à la jouiflance de tout cela, & foupirant feulement un peu du regret d'en jouir feul. Abforbé dans ma douce rêverie , je prolongeai fort avant dans la nuit ma promenade fans m'appercevoir que j'étois las. 5e m'en apperçus enfin. Je me couchai Voluptueufement fur la... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1782 - 274 pages
...cœur à la jouiflance de tout cela , & foupirant feulement un peu du regret d'en jouir feul. Abforbé dans ma douce rêverie , je prolongeai fort avant dans la nuit ma promenade fans m'appercevoir que j'étois las. Je m'en apperçus enfin. Je me couchai voluptueufement fur la... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1791 - 326 pages
...cœur à la jouiilance de tout cela , & foupirant feulement un peu du regret d'en jouir feul. Abforbé dans ma douce rêverie , je prolongeai fort avant dans la nuit ma promenade fans m'appercevoir que j'étois las. Je m'en, apperçus enfin. Je me couchai voluptueufement fur la... | |
| Aimé Guillon - 1797 - 214 pages
...promcnois dans une sorte » d'exta?e, livrant mes sens et mon cœur à ï> la jouissance de tout cela. Absorbé dans »> ma douce rêverie , je prolongeai fort » avant dans la nuit ma promenade , .sans V m'appercevoir que j'étois las. Je m'en *» apperçus enfin. Je me couchai voluprueu* sement sur... | |
| Aimé Guillon - 1797 - 210 pages
...promenois dans une sorte » d'extase, livrant mes sens et mon cœur a » la jouissance de tout cela. Absorbé dans» ma douce rêverie , je prolongeai fort » avant dans la nuit ma promenade, sans » m'appercevoir nue j'étois las. Je m'en^ apperçus enfin. Je me couchai voluptueu» sèment sur... | |
| Charles Joseph Chambet - 1815 - 556 pages
...me promenais dans une sorte d'extase , livrant mon cœur et mes sens à la jouissance de tout cela : absorbé dans ma douce rêverie, je prolongeai fort...avant dans la nuit ma promenade, sans m'apercevoir que j'étais las. Je m'en aperçus enfin. Je me couchai voluptueusement sûr là tablette d'une espèce... | |
| |