| 1805 - 462 pages
...cette immensité, je ne pen» sois pas, je ne raisonnais pas, je ne philosophois » pas; je me sentois avec une sorte de volupté, » accablé du poids de cet univers; je me livrois » avec ravissement à la confusion de ces grandes » idées; j'aimois à me perdre en imagination... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 732 pages
...j'élevois mes idées à tous les êtres de la nature , au systême universel des choses , à l'être incompréhensible qui embrasse tout. Alors l'esprit perdu dans cette immensité , je ne pensois pas, je ne raisonnois pas, je ne philosophois pas ; je me sentois , avec une sorte de volupté... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1819 - 432 pages
...j'élevois mes idées à tous les êtres de la nature , au système universel des choses, à l'être incompréhensible qui embrasse tout. Alors l'esprit perdu dans cette immensité , je ne pensois pas, je ne raisonnois pas , je ne philosophois pas ; je me sentois , avec une sorte de volupté... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 522 pages
...j'élevais mes idées à tous les êtres de la nature, au système universel des choses, à l'être incompréhensible qui embrasse tout. Alors l'esprit...à la confusion de ces grandes idées, j'aimais à me perdre en imagination dans l'espace , mon cœur resserré dans les bornes des êtres s'y trouvait... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 394 pages
...j'élevois mes idées à tous les êtres de la nature, au système universel des choses , à l'être incompréhensible qui embrasse tout. Alors l'esprit perdu dans cette immensité, je ne pensois pas, je ne raisonnois pas, je ne philosophois pas, je me sentois, avec une sorte de volupté,... | |
| Jean Jacques Rousseau - 1827 - 414 pages
...j'élevois mes idées à tous les êtres de la nature, au système universel des choses, à l'être incompréhensible qui embrasse tout. Alors l'esprit perdu dans cette immensité, je ne pensois pas, je ne raisonnois pas, jenephilosophoispas, je me sentois, avec une sorte de volupté,... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1827 - 424 pages
...j'élevois mes idées à tous les êtres de la nature, au système universel des choses, à l'être incompréhensible qui embrasse tout. Alors l'esprit perdu dans cette immensité, je ne pensois pas, je ne raisonnois pas, jenephilosophoispas, je me sentois, avec une sorte de volupté,... | |
| Jean Jacques Rousseau - 1827 - 422 pages
...j'élevois mes idées à tous les êtres de la nature, au système universel des choses, à l'être incompréhensible qui embrasse tout. Alors l'esprit perdu dans cette immensité, je ne pensoispas, je ne raisonnois pas, jenephilosophoispas, je me sentois, avec une sorte de volupté, accablé... | |
| 1830 - 634 pages
...j'élevais mes pensées à tous les êtres de la nature , au système universel des choses, à l'être incompréhensible qui embrasse tout. Alors , l'esprit...immensité, je ne pensais pas, je ne raisonnais pas , je ue philosophais pas ; je me sentais avec une sorte de volupté accablé du poids de cet univers; je... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1831 - 1060 pages
...;\ l'être incompréhensible qui embrasse tout. Alors l'esprit perdu dans cette immensité, je fie pensais pas, je ne raisonnais pas, je ne philosophais...à la confusion de ces grandes idées, j'aimais à me perdre en imagination dans l'espace; mon cœur, resserré dans les bornes des êtres, s'y trouvait... | |
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