La philosophie de LeibnizL. Hachette, 1860 - 502 pages |
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... l'essence même de sa pensée . Effectivement , la philosophie est redevenue pour Leibniz ce qu'elle était pour les sages de l'antiquité , la recherche , à travers l'universalité des choses , de la vérité , une de soi . Jurisconsulte ...
... l'essence même de sa pensée . Effectivement , la philosophie est redevenue pour Leibniz ce qu'elle était pour les sages de l'antiquité , la recherche , à travers l'universalité des choses , de la vérité , une de soi . Jurisconsulte ...
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... l'esprit de Leibniz , depuis la thèse De principio individui soutenue à l'Université de Leipzig en 1633 , jusqu'à ... essence de toute substance ? « III . Du caractère nouveau introduit dans les dis- cussions philosophiques , par l ...
... l'esprit de Leibniz , depuis la thèse De principio individui soutenue à l'Université de Leipzig en 1633 , jusqu'à ... essence de toute substance ? « III . Du caractère nouveau introduit dans les dis- cussions philosophiques , par l ...
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... l'essence ; ou bien , il peut être cherché dans la métaphysique , et , alors , on l'a appelé IV . Heccéité . Leibniz adopte nettement la première opinion , comme la plus autorisée et la plus claire . Il pose que tout individu est ...
... l'essence ; ou bien , il peut être cherché dans la métaphysique , et , alors , on l'a appelé IV . Heccéité . Leibniz adopte nettement la première opinion , comme la plus autorisée et la plus claire . Il pose que tout individu est ...
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... l'essence , « existentia non po- « test auferri ab essentia . » Si purement rationnelle , on retombe dans l'opinion de Leibniz . « Nobiscum egregie « < coincidit et exprimit præterea , quo respectu essentia << sit principium ...
... l'essence , « existentia non po- « test auferri ab essentia . » Si purement rationnelle , on retombe dans l'opinion de Leibniz . « Nobiscum egregie « < coincidit et exprimit præterea , quo respectu essentia << sit principium ...
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... L'opinion qu'il défend concilie , par sens commun , toutes les opinions antérieures . Leibniz distingue dans un être la forme et la matière , l'existence et l'essence . Mais cette distinction que son esprit conçoit , que la nature des ...
... L'opinion qu'il défend concilie , par sens commun , toutes les opinions antérieures . Leibniz distingue dans un être la forme et la matière , l'existence et l'essence . Mais cette distinction que son esprit conçoit , que la nature des ...
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Expressions et termes fréquents
âmes Aristote Arnauld attributs de Dieu Bayle Bossuet Cartésiens causes finales chap choses citato conséquent considérer corps Cousin créatures créé d'Aristote démonstration Descartes dire doctrine Dutens écrit Leibniz écrit-il effet entéléchie Epistola Erdmann esprits Fragments de philosophie géométrie Guhrauer Hanovre Huet Huygens ibid idées infini intelligence j'ai Journal des Savants l'abbé Nicaise l'âme l'espace l'esprit l'essence l'étendue l'existence de Dieu l'harmonie préétablie l'idée l'optimisme l'univers Leib Leibnitii Leibniz et Clarke Leibnizianisme Locke Malebranche mathématiques matière mécanisme ment métaphysique méthode monade monadologie monde Montmort morale mouvement nature nécessaire nécessité Newton non-seulement notion Nouveaux Essais OEuvres complètes opere citato pensée perceptions perfection philosophie cartésienne philosophie de Leibniz physique Platon prescience divine principe de contradiction puissance quæ quod raison suffisante réfutation rien sagesse saint Anselme saint Augustin saint Thomas Scolastique sentiment serait seul Spinoza substance système tence Théodicée théologie théorie Thomasius tion transsubstantiation trouve vérités volonté vrai
Fréquemment cités
Page 279 - C'est pourquoi la première règle de notre logique, c'est qu'il ne faut jamais abandonner les vérités une fois connues, quelque difficulté qui survienne, quand on veut les concilier; mais qu'il faut au contraire, pour ainsi parler, tenir toujours fortement comme les deux bouts de la chaîne, quoiqu'on ne voie pas toujours le milieu, par où l'enchaînement se continue.
Page 108 - Non que j'imitasse pour cela les sceptiques, qui ne doutent que pour douter et affectent d'être toujours irrésolus ; car, au contraire, tout mon dessein ne tendait qu'à m'assurer et à rejeter la terre mouvante et le sable pour trouver le roc ou l'argile.
Page 64 - Discours de la méthode pour bien conduire sa raison et chercher la vérité dans les sciences. Plus la Dioptrique, les Météores et la Géométrie, qui sont des essais de cette méthode.
Page 82 - Je voudrais demander à des personnes équitables si ce principe : « La matière est dans une incapacité naturelle, invincible de penser », et celui-ci : « Je pense, donc je suis », sont en effet les mêmes dans l'esprit de Descartes et dans l'esprit de saint Augustin, qui a dit la même chose douze cents ans auparavant.
Page 466 - On conçoit un dernier terme, un nombre infini ou infiniment petit ; mais tout cela ne sont que des fictions. Tout nombre est fini et assignable, toute ligne l'est de même, et les infinis ou infiniment petits n'y signifient que des grandeurs qu'on peut prendre aussi grandes ou aussi petites que l'on voudra, pour montrer qu'une erreur est moindre que celle qu'on a assignée, c'est-à-dire qu'il n'ya aucune erreur : ou bien on entend par l'infiniment petit, l'état de l'évanouissement ou du commencement...
Page 462 - Donc toutes choses étant causées et causantes , aidées et aidantes, médiates et immédiates, et toutes s'entretenant par un lien naturel et insensible qui lie les plus éloignées et les plus différentes, je tiens impossible de connaître les parties sans connaître le tout, non plus que de connaître le tout sans connaître particulièrement les parties.
Page 112 - De ces mêmes principes mal entendus, un autre inconvénient terrible gagne sensiblement les esprits, car sous prétexte qu'il ne faut admettre que ce qu'on entend clairement (ce qui, réduit à...
Page 306 - Or cette suprême sagesse, jointe à une bonté qui n'est pas moins infinie qu'elle, n'a pu manquer de choisir le meilleur.
Page 288 - Les anciens attribuaient la cause du mal à la matière, qu'ils croyaient incréée et indépendante de Dieu; mais nous qui dérivons tout être de Dieu, où trouverons-nous la source du mal?
Page 207 - ... des facultés dont on n'apprend rien. Mais depuis, ayant tâché d'approfondir les principes mêmes de la mécanique pour rendre raison des lois de la nature que l'expérience faisait connaître, je m'aperçus que la seule considération d'une masse étendue ne suffisait pas, et qu'il fallait employer encore la notion de la force, qui est trèsintelligible, quoiqu'elle soit du ressort de la métaphysique.