Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Dictionnaire philosophique - Page 28de Voltaire - 1827Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Jean Racine - 1796 - 466 pages
...superbe ennemi: Je le vis, je rougis , je pâlis à sa vue: Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir, et brûler. Je reconnus Vénus et ses feux redoutables , D'un sang qu'elle poursuit tourments inévitables. Par... | |
| Jean-François de La Harpe - 1798 - 502 pages
...ennemi. Je le vis , je' rougis , je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. IVles yeux ne voyaient plus, j,e ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Voilà la peinture la plus vraie de toutes les ardeurs de l'amour : voici ce que la Fable permettait... | |
| Jean Racine - 1805 - 348 pages
...ennemi : Je le vis . je rougis . je pâlis a sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Je reconnus Vénus , et ses feux redoutables , D'un sang qu'elle poursuit tourmens inévitables. Par... | |
| Virgil - 1806 - 364 pages
...Virgile : Je le vis , je rougis , je pâlis à sa vue : Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus; je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler : Je reconnus Venus. . . . 264, VERS la. Nunc scio quid sit Amor. Duris in cotibus illum Aut Tmaros... | |
| C. J. Cunninghame - 1808 - 292 pages
...ennemi : '' ' Je le vis , je rougis, je pâlis à sa vue ; Un troubla s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brâler. Je reconnus Vénus , et ses feux redoutables , D'un sang qu'elle poursuit tourmens inévitable*.... | |
| Louis Dubroca - 1810 - 296 pages
...superbe ennemi. Je le vis , je rougis , je pâlis à sa vue. Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler. Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Je reconnus Ve'nus et ses feux redoutables, Du sang qu'elle poursuit, tourmens inévitables. Par des... | |
| Jean-François de La Harpe - 1813 - 392 pages
...superbe ennemi. Je le vis , je rougis , je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue. Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. .- '... Voilà la peinture la plus vraie de toutes les ardeurs de l'amour : voici ce que la Fable permettait... | |
| Jean Racine - 1813 - 300 pages
...superbe ennemi ; Je le vis , je rougis , je pâlis a sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Je reconnus Vénus , et ses feux redoutables , D'un sang qu'elle poursuit tourmens inévitables. Par... | |
| 1824 - 490 pages
...superbe ennemi : Je le vis , je rougis , je pâlis à sa vue. Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir et brûler; Je reconnus Vénus et ses feux redoutables, D'un sang qu'elle poursuit toutments inévitables. oiseuse... | |
| Voltaire - 1824 - 446 pages
...pftlis, a sa vue. I saw him — blushed — turned pale. — What can be a better imitation of Virgil ? i Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mou corps et transir et bruler ; My eyes grew dim — my tongue refused its office ; I burned — and... | |
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