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défendue par un bien plus grand nombre de Ougly, dont on a parlé ci-dessus, est à 86 troupes que la première. Au reste ce chemin degrés 6 min. de longitude, et à 22 1 degrés 56 creux est si étroit qu'il n'y peut passer de front | min. de latitude; à peu près au nord d'Ougly

qu'une charrette; et afin que les voyageurs ne s'embarrassent point dans ce passage, il est ❘ réglé que ceux qui viennent de Patna passent le soir et ceux qui partent de Sacrigalli passent le matin, et s'il étoit nécessaire de faire autrement, il faudroit, avant de passer par une de ces portes, faire avertir à l'autre pour qu'on n'y laissât passer personne.

Après Sacrigalli, le Gange passe à Ragemolle, ville considérable; s'éloigne de Cassimbasar d'environ six lieues; passe à Ougly', où les Maures ont une forteresse; à Chinchusa, colonie hollandoise2; à Chandernagor, colonie françoise; à Colicotta, colonie angloise : ce dernier endroit est à la gauche du Gange.

et attenant à ce lieu est le Bandel des Portugais, autrefois considérable et aujourd'hui réduit presque à rien.

Chinchura, longitude 86 degrés 7 min., latitude 22 degrés 54 minutes.

Banquibazar, dont les Allemands ont été chassés par les Maures en 1744, est à la gauche du Gange: longitude 86 degrés 4 min., latitude 22 degrés 48 min.; vis-à-vis de ce lieu, à la droite du Gange, est un grand et beau jardin appartenant à la compagnie de France

Observations des hauteurs méridiennes apparentes des astres faites en 1734 avec un quart de cercle de deux pieds de rayon.

Corrégianabad, ville considérable, est à la A Cassimbasar, dans la loge françoise, en

droite d'une petite rivière, nommée Rinde,

qu'on passe sur un pont de pierre et qui va se jeter dans le Gemna.

Entre Sedraja et Mounia, on passe à gué deux petites rivières qui se déchargent dans le Gange; la plus proche de Sedraja s'appelle Caramnassa, et l'autre Savot-Dourgaveti.

La rivière Kandoc vient se jeter dans le Gange devant Patna, vers le nord de cette ville. Cassimbasar et Monudabat, lieu de la résidence du nabab, qui gouverne pour ainsi dire absolument un pays aussi étendu que toute la France, Bonapour, Caméra sont à la gauche d'un petit bras du Gange qui s'en sépare audessous de Ragemol et qui vient s'y rejoindre à environ douze à treize lieues au-dessus de Chandernagor, à un endroit nommé Noudia, où il y avoit autrefois une fameuse université de brames: encore aujourd'hui ce lieu, d'une assez grande étendue, n'est presque peuplé que de personnes de cette caste; ils y enseignent, mais seulement dans des maisons particulières, un grand nombre de disciples brames auxquels ils apprennent la théologie, la philosophie, l'astronomie indienne, etc.

Dans la table de la longitude et de la latitude, etc., ci-dessus, on a mis deux astérisques ** devant le nom des villes les plus considérables, un * devant celles qui le sont un peu moins et cette marque-devant les plus petits endroits.

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* Hougly.

• Anglaise.

• Calcutta.

A Benarez ou Cachi.

23 mars

65 53 40

Bord supérieur du soleil vers le
sud.

Hougly est à 22° 54 minutes de latitude nord; 86° 2' de longitude, suivant les plus récentes observations.

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La polaire sous le pôle.

19 mai 26 34 15 ou 20

20 mai

26 34 0

..

...

68 0 20

51 34 40

ou 45

La plaque de cuivre où est le trou du gnomon est placée parallèlement à l'axe du monde. Les rayons du soleil viennent tomber sur la circonférence concave d'un quart de cercle dont le demi-diamètre est d'environ vingtsix pieds; ce quart de cercle est divisé de minute en minute; la corde 30 minutes est de 522 parties dont 32 font le diamètre du trou. L'image du soleil étoit sans pènombre, au moins sensible, de sorte qu'il étoit facile de la

mesurer exactement.

Observations pour les longitudes faites en 1734.

A Cassimbasar, à la loge françoise, immersion du premier satellite de Jupiter le 30 janvier à 15 heures 41 minutes environ 25 secondes d'une bonne montre, laquelle ce jour-là même marquoit 14 heures 2 minutes point de seconde au moment du passage de Béta de la grande Ourse par le vertical de la polaire, et 16 heures 21 minutes 30 secondes au moment de celui de la seconde de sa queue.

Du passage de ces deux étoiles par le vertical de la polaire, on a conclu qu'au temps de l'immersion du satellite, la montre avançoit de 2 minutes 50 secondes; ainsi heure corrigée de l'immersion 15 heures 38 minutes 35 secondes.

A Fatépour, iminersion du premier satellite le 2 avril à 13 heures 45 minutes point de secondes d'une bonne montre. Ce même jour, selon cette montre, hauteur de la queue du Lion vers l'occident 46 degrés 9 minutes point de secondes à 13 heures 50 minutes point de secondes, et hauteur de la luisante de l'Aigle vers l'orient 19 degrés 1 minute 30 secondes à 13 heures 57 minutes environ 10 secondes.

De la hauteur de ces deux étoiles, on a conclu que la montre avançoit de 1 minute 26 secondes: donc, heure corrigée de l'immersion 13 heures 43 minutes 34 secondes.

Selon une observation faite à Péking par le | vation avec celle du révérend père Gaubil

révérend père Gaubil, jésuite, le 11 avril de cette année 1734, la connoissance des temps donnoit cette immersion trop tard d'environ 5 minutes; car observation à

Pékin le 11 avril....... à 12h. 31m. 57s.

Otant pour la différence

des méridiens de Paris et

Péking........

0

7

36

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8

36 31

8

faite à Péking le 7 septembre à 6 heures 55 minutes point de secondes du soir, parce que ces deux émersions sont trop éloignées l'une de l'autre.

A Dely, le 3 mai, commencement d'une éclipse solaire à 3 heures 57 minutes 11 secondes, fin un peu douteuse à cause de quelques nuages à 5 heures 55 minutes 15 secondes, pendule non corrigée; la grandeur de cette éclipse à paru être assez exactement de 9 doigts hauteur apparente du bord supérieur du soleil 29 degrés 1 minute 30 secondes à 4 heures 18 minutes 58 secondes de la pendule, d'où l'on a conclu qu'elle tardoit de 2 minutes 48 secondes; ainsi commencement de l'éclipse à 3 heures 59 minutes 59 secondes, et fin à 5 heures 58 minutes 3 secondes. Selon une lettre du révérend père Gaubil, M. l'abbé de Revilles et M. Celsius, astronome suédois, ont observé à Rome la fin de cette éclipse à 11 heures 52 minutes 1 seconde

Dans ce même livre, l'immersion du 2 avril est marquée................. à Otant 5 minutes reste... Elle a été observée à Fatépour................ à 13 43 34 Donc, différence des méridiens de Paris et de Fatépour 5 heures et 13 minutes. On peut encore déterminer cette différence des méridiens de la manière suivante. Selon la connoissance des temps, l'intervalle entre l'immersion du 2 et du 11 avril est de 8 degrés 20 heures 26 minutes qu'il faut retrancher du temps de l'observation faite à Péking le 11 avril; le reste, ❘ le commencement de l'éclipse donne pour dif

En se servant de la méthode de M. de La Hire, édition de ses tables, 1702, p. 53, on a trouvé que le commencement de l'éclipse est arrivé à Dely lorsqu'il étoit à Rome 11 heures 40 minutes 55 secondes du matin, et la fin à 1 heure 39 minutes 45 secondes du soir; ainsi

savoir le 2 avril 16 heures 6 minutes 57 seconférence des méridiens de Rome et de Dely 4 des sera le temps que l'immersion a dû arriver heures 19 minutes 4 secondes, et la fin 4 heures à Péking. Mais à Fatépour elle a été observée 18 minutes 18 secondes. Ces deux différences à 13 heures 43 minutes 34 secondes, ce qui varient de 46 secondes, dont la moitié 23 sedonne pour différence 2 heures 23 minutes 23 condes, ajoutée à la plus petite différence, secondes qu'il faut retrancher de la longitude donne pour différence moyenne 4 heure 18 de Péking 7 heures 36 minutes; il reste 5 heu- minutes 41 secondes, à laquelle ajoutant la res 12 minutes 37 secondes ou 5 heures envi- | différence des méridiens de Rome et de Paris ron 13 minutes pour la différence des méri- | diens de Paris et de Fatépour.

A Agra, émersion du premier satellite le 7 octobre à 6 heures 42 minutes 9 secondes de la pendule non corrigée même jour. Selon cette pendule, observation faite par Thuret, hauteur d'Archirus vers l'ouest 13 degrés 53 minutes point de secondes, à 6 heures 51 minutes 55 secondes, et hauteur de la tête d'Andromède vers l'est 35 degrés 56 minutes point de secondes, à 6 heures 58 minutes 17 secondes; ainsi la pendule avançoit de 1 minute 33 secondes : donc, heure corrigée de l'émersion du satellite 6 heures 40 minutes 36 secondes.

41 minutes 20 secondes. Selon la connoissance des temps, on a pour différence des méridiens de Paris et de Dely 5 heures point de minutes 1 seconde.

A Jaë pour, émersion du premier satellite de Jupiter le 13 août à 9 heures 22 minutes 58 secondes de la pendule. Ce même jour elle marquait 10 heures 57 minutes 37 secondes au temps du passage de la queue du Cygne par le vertical de la polaire: donc, elle avançoit de 57 secondes; ainsi heure corrigée de l'émersion du satellite 9 heures 22 minutes 1 seconde; Selon l'observation du révérend père Gaubil, faite à Péking le 6 août, de l'émersion de ce On n'a pas cru devoir comparer cette obser- | satellite à 10 heures 7 minutes 45 secondes, S'il falloit rendre un compte exact de tout ce qui s'est passé dans l'Inde pendant les derniers Nizam Elmoulouk mourut à Golconde au troubles, on se trouveroit forcé de sortir des mois de juin 1748; il laissa cinq enfans males: bornes de la précision qu'on s'est prescrite | le premier, nommé Gazindikan, possédoit une « Je vous ai dėja écrit deux requêtes pour vous informer des embarras dans lesquels nous Cet Hémet-Abdaly étoit au service de Thamas Koulikan lorsque ce prince fit la conquête de l'Indousétions, mais je n'ai pas été assez heureux pour tan, et après sa mort il leva des troupes et s'approqu'elles parvinssent à votre cour. Avec l'aide cha de Dely en 1748 pour tirer de l'argent du Mogol. | et la protection de Dieu, les jours du malfai

l'heure marquée par la connoissance des temps étoit assez juste. Or ce livre donne l'émersion du 13 août à 4 heures 27 minutes pour Paris qu'il faut ôter de 9 heures 22 minutes 1 seconde; il reste pour la différence des méridiens de Paris et de Jaépour 4 heures 55 minutes.

On a cru déterminer encore plus exactement cette différence en comparant le milieu de l'éclipse lunaire de décembre 1732, conclu de l'immersion totale de la lune et du commencement de son émersion; ces deux phases, qui sont faciles à observer, l'ayant été à Paris par M. Cassini et à Jaëpour par les brames, qui, comme on l'a dit, y observent sans cesse jour et nuit.

Le 1er décembre 1732, à Jaëpour, immersion totale de la lune à 22 garis 7 pols après le coucher du soleil, commencement de l'émersion à 26 garis 20 pols: donc, milieu de l'éclipse à 24 garis 13 pols et demi après le coucher du soleil.

Chaque garis est de 24 minutes et contient 60 pols; ainsi milieu de l'éclipse à 9 heures 41 minutes 24 secondes après le coucher du soleil. En calculant à la manière des brames, c'est-à-dire sans avoir égard à la réfraction, le soleil se coucha à 5 heures 12 minutes 48 secondes; par conséquent milieu de l'éclipse à 14 heures 54 minutes 12 secondes. Selon l'observation de M. Cassini faite à l'Observatoire de Paris, milieu de l'éclipse à 9 heures 58 minutes 38 secondes: donc, différence des méridiens de Paris et de Jaëpour 4 heures 55 minutes 34 secondes.

Les observations des satellites de Jupiter ont été faites par le révérend père Gaubil avec une lunette de 20 pieds et par les pères jésuites qui étoient en voyage avec une de 17 pieds.

On appelle l'heure de l'immersion du satellite de Jupiter le moment auquel on a cessé de voir ce satellite, et l'heure de l'émersion l'instant auquel on a commencé de le voir.

MÉMOIRE SUR L'INDE.

dans ce mémoire; on se contentera donc de donner une idée pure et simple du gouvernement des Maures, de l'origine d'Anaverdikan, nabab ou gouverneur d'Arcate, des motifs de la guerre, de la conduite qu'on a tenue pour l'éviter dans tous les temps, conduite tout à fait opposée à celle des Anglois, qui sont seuls la cause de la continuation des troubles; on fera voir les effets de la guerre, qui n'a causé aucun préjudice au commerce; on y ajoutera un état de comparaison des établissemens françois et anglois, avant et depuis la guerre, auquel on joindra quelques réflexions sur les avantages qu'ils peuvent procurer; on finira par un état des revenus de nos nouvelles concessions.

Du gouvernement des Maures.

Le soubedary du Dekan étoit autrefois ce fameux royaume de Golconde si connu par la richesse de ses mines de diamans et gouverné par des princes gentils.

La révolution occasionnée par les conquêtes d'Aurenzeb, empereur mogol, contemporain de Louis XIV, changea la forme de ce gouvernement, et de gentil qu'il étoit, il devint

maure.

Toute la presqu'île de l'Inde, qui commence au nord d'Ianaon et finit au cap Comorin, fut donnée pour apanage, à titre de souverainetė, à Nizamel-Moulouk, proche parent de ce même Aurenzeb, et à ses descendans, à condition cependant qu'ils paieroient un tribut annuel au Mogol à chaque mutation occasionnée par leur mort.

Lorsque Thamas Kouli-Kan vint s'emparer il y a quelques années des états du Mogol, il ne changea rien à cette disposition et la confirma même par le traité que ce prince fit avec le Mogol lorsqu'il retourna en Perse.

Ce soubedary est divisé en plusieurs nababies ou gouvernemens amovibles et non héréditaires, comme sont à peu près les gouvernemens des différentes provinces de France; c'est celui qui possède ce soubedary de qui dépend tout le pays où la compagnie des Indes fait son commerce, depuis Karikal jusqu'au nord de Masulipatam, qui forme environ cent soixante lieues de côte.

des principales charges à la cour du Mogol; le second, nommé Nazerzingue, s'étoit révolté contre son père; les trois autres étoient encore fort jeunes. Nizam, pour punir Nazerzingue de sa révolte, laissa par son testament la soubabie du Dekan à son petit-fils, nommé Mouzaferzingue, et lui en fit obtenir l'investiture du Mogol.

Mouzaferzingue, après la mort de son grandpère, songea à se mettre en possession de ses états; mais Nazerzingue, dont on a parlé cidessus, qui à la mort de son père s'étoit emparé des trésors de Golgonde et avoit gagné par ses largesses les principaux chefs de l'armée, voulut empêcher ce prince de monter sur le trône de Nizam et sollicita auprès du Mogol l'investiture de la soubabie du Dekan. Le Mogol, bien loin de la lui accorder, lui ordonna de la remettre à Mouzaferzingue; mais l'usurpateur ne tint aucun compte de ses ordres et sut profiter adroitement des troubles qui régnoient alors à la cour de Dely pour se rendre indépendant; on assure même qu'il alloit se Joindre à Hémet-Abdaly pour détrôner son maître s'il n'eût pas cru sa présence nécessaire dans le Dekan pour conserver ses états quoique usurpés.

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Cependant Mouzaferzingue, nanti des pouvoirs du Mogol, se mit en marche et crut convenable au bien de ses affaires de commencer

les opérations par les provinces méridionales de la presqu'île : 1o pour retirer les tributs qui étoient dûs à son grand-père par les différens nababs ou gouverneurs de ces provinces, car l'insubordination règne de façon, parmi eux, que leur maître est presque toujours obligé de mettre une armée en campagne pour leur faire rendre compte; 2o le grand age et les infirmités de Nizam l'ayant empêché de venir remédier au désordre qui régnoit dans la province d'Arcate, qui est une des plus considérables du Dekan, il étoit nécessaire que Mouzaferzingue nommat au gouvernement de cette province, qui étoit occupée depuis neuf ans par Anaverdikan, dont on va faire l'histoire en peu de mots.

Daoust-Alikan, gouverneur d'Arcate, mourut dans son gouvernement en 1741 ou 1742;

il avoit trois enfans: l'atné, nommé SabderAlikan, mourut à peu près en même temps que lui; une fille mariée à Chandasaeb, gouverneur de Trichirapali, et le troisième étoit encore fort jeune. Daoust-Alikan vouloit faire passer son gouvernement sur la tête de son gendre Chandasaeb; mais les Marattes ayant pris Trichirapali, dont il étoit gouverneur, le firent prisonnier et l'emmenèrent dans leur pays.

En 1742, Nizam étant venu reprendre Trichirapali sur les Marattes et voulant reconnoître les services de Daoust-Alikan, homme qui lui avoit en toute occasion donné des marques de sa soumission et de son zèle, il nomma son fils au gouvernement d'Arcate et mit pour régent de cette province Anaverdikan, homme de fort basse extraction qui ne laissoit pas cependant d'avoir un certain mérite, mais il joignoit à ce mérite une ambition démesurée qui le porta bientôt aux plus grands excès. Sitot qu'il sut Nisam de retour à Golconde et pensant bien que son âge l'empêcheroit de venir dans la province du Carnatte, il fit empoisonner le jeune Daoust-Alikan, dont il étoit gouverneur. Il donna avis de cette mort à Nizam, ayant bien soin de l'annoncer comme une mort naturelle, et lui demanda le gouvernement d'Arcate, qui lui fut toujours refusé; mais voyant qu'il ne pouvoit pas l'obtenir, il se rendit indépendant, leva les meilleures troupes qu'il put trouver, et comme il passoit pour être expérimenté dans l'art de la guerre, il se fit craindre et respecter, et jouit pendant sept ans des revenues de cette province sans en rendre aucun compte au souba du Dekan. Il est prouvé que jamais Anaverdikan n'a pu obtenir du souba l'investiture d'Arcate; son fils Mahamet-Alikan n'a pas mieux réussi que son père lorsqu'il a demandé cette investiture. Voyez à ce sujet les lettres des Anglois à Nazerzingue rapportées dans celles de M. Dupleix à M. Sannders et la lettre de M. Sannders à Salaberzingue, dont ci-joint copie.

Copie de la lettre de M. Sannders, gouverneur de Madras, à Salaberzingue.

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