Seite 430, Zeile 23 von unten méthodes statt méthode. des y statt des g. bou-tè-ge statt bon-tè-ge. oben justifie statt justific. unten Feline statt Féline. 3 und 9 von oben Feline statt Féline. 20 von oben Vaugelas statt Vangelas. unten Mennechet's statt Meunechet's. haute statt haut. ar-se-ni-k' statt arcse-ni-k'. Seit der Veröffentlichung des ersten Theiles dieser Betrachtungen sind drei Hefte von dem Littré'schen Werke erschienen; das ganze Werk möchte jedoch, wie ich erfahren, erst in etwa drei Jahren vollendet sein. Ich lasse daher Einiges über die drei Hefte hier folgen. Das Verzeichniss der Aussprache-Literatur möchte ich durch Anführung folgender Werke vervollständigen : Eman Martin, La langue française enseignée aux étrangers. Première partie: Etude sur la prononciation. Paris, Strassin et Xavier 1859. 124 p. 2 fr. 50 c. Das Werk ist von geringem wissenschaftlichen und practischen Werth. Le bon langage par la comtesse Drohojowska. Paris 1858. Plötz, Anleitung zum Gebrauch des Syllabaire. Berlin 1862. Théod. Pavie, Les origines et les transformations de la langue française (Revue des deux Mondes, 15 juin 1864). Rose, Observations sur la prononciation. Programm des Cölnischen Gymnasiums. Berlin 1865. Pelissier, La langue française. Paris 1866. Théry, Principes de la lecture à haute voix, à l'usage des cours d'adultes et des écoles primaires. -18. 67 p. Caen 1867. Nouveau Vocabulaire français, contenant: 10 Tous les mots du dictionnaire de l'Académie, leurs définitions, leurs genres, leurs différentes acceptions; 2o L'indication de leur emploi, tant dans le sens propre que dans le sens figuré; 3o un vocabulaire géographique; 4o La prononciation de tous les mots. Nouvelle édition appropriée aux progrès des lumières, et rédigée sur le plan du vocabulaire de Wailly. Limoges, chez Barbou Frères. 688 p. Der Name des Autors (Jannet?) so wie die Jahreszahl des Erscheinens fehlen. Trotz des vielversprechenden Titels, der auch mich bewog, mir das Buch kommen zu lassen, von geringem Werth. Die Aussprachebezeichnung lässt viel zu wünschen übrig, vor allem Vollständigkeit. Das geographische Verzeichniss (681-688) beschränkt sich auf die Namen der Hauptstädte der 86 Departements Frankreichs ohne Aussprachebezeichnung. Eigennamen sind nicht berücksichtigt. Spiers and Surenne's French and English Pronouncing dictionary: Carrefully Revised, Corrected, and Enlarged etc. by G. P. Quackenbos, A. M. New-York 1858. Alfred Havet, The french mannual a new, simple concise and easy method of acquiring a conversational knowledge of the French Language; including a dictionary of over ten thousand words with a new system of pronounciation. 1 vol. 120. 332 p. 1 Dollar 75 C. New-York 1867. Nugent's Pronouncing french dictionary. Dufief, Pronouncing and critical French-English dictionary upon an entirely new plan. London, Dulau, 1867. Gaillard, French Orthoëpy; or the certain guide to accurate French pronounciation, being entirely novel, easy, and systematic method of acquiring a pure French accent, based on the natural action of the human voice. London, Philip, 1867. 175 p. 3 sh. 6 d. Brüderlein, Traité complet et raisonné de la prononciation française à l'usage de la nation allemande, comprenant la théorie et la pratique exposées pour la première fois [?] dans leur véritable jour et la prosodie ramenée à ses vrais principes et basée sur l'analyse approfondie des faits et sur les autorités classiques des deux langues. Stuttgart 1843. Steinkopf. Einige ältere Sachen, z. B. Domergue's Manuel des Etrangers, ferner dessen Solutions grammaticales und andere sind mir noch nicht zugänglich gewesen, um die genauen Titel mittheilen zu können. Auch in diesen Heften spricht Littré nur von „plusieurs, quelquesuns etc.", wenn er einer Aussprache erwähnt, die von der seinigen abweicht; auch nicht Einer der Grammatiker, Lexicographen und Orthoepisten, welche Littré vorgearbeitet haben, wird von ihm einer Erwähnung werth erachtet. Ich lasse nun die einzelnen Wörter der alphabetischen Reihenfolge nach folgen. Igasurate, igasurique. Littré spricht in beiden das s wie z. Bescherelle, der beide Wörter im Wörterbuch ebenfalls anführt, schreibt sie überhaupt mit z. Ignacien (i-gna-sien). Littré spricht also gn mouillirt; jedenfalls würde er somit auch Ignace, nach welchem Namen diese Benennung der Jesuiten gebildet ist, mit mouillirtem gn sprechen; leider fügt Littré aber Eigennamen nicht auf. Auch Bescherelle giebt bei diesem Namen keine Aussprachebezeichnung. Steffenhagen (220) spricht Ignace, wie Littré. Bei Malvin-Cazal finde ich weder Ignace noch ignacien. Igname, ignare, ignatie führt Littré mit mouillirtem gn an. Mit hartem g, also ig-name, sprechen: Bescherelle (Dict.), Feline, Malvin-Cazal, Napol. Landais, Nodier, Hamann (II, 29). Wie Littré i-gna-m' sprechen Catineau, Lesaint. Das Wort ignare sprechen mit mouillirtem gn: Lesaint (81), Steffenhagen (280), Catineau, Gattel. Die Aussprache von ignatie bezeichnet Bescherelle mit i-gna-cie; sonst habe ich das Wort nicht gefunden. In den Wörtern igné (igh-né), ignéale (igh-né-al'), ignescence (igh-nè-ssan-s'), ignessant (igh-nè-ssan), ignicole (igh-ni-ko-l'), ignition (igh-ni-sion, en vers, de quatre syllabes), ignivome (igh-nivo-m'), ignivore (igh-ni-vo-r') spricht Littré ein hartes g. Die übrigen Orthoepisten sprechen wohl alle wie er, etwa Féraud ausgenommen, der ignicole mit mouillirtem gn sprechen will. Die Wörter auf igno... haben bei Littré sämmtlich ein mouillirtes gn; ausgenommen ist nur ignobilité (igh-no-bi-li-té) dans l'histoire romaine, condition de celui qui n'était pas noble; condition plébéienne (Littré). Dagegen hat er ignobilité (i-gno-bi-li-té) = Qualité de ce qui est ignoble. Bescherelle führt nur das erste Wort ohne Aussprachebezeichnung an; Feline führt die Wörter gar nicht auf, auch Catineau, Nodier, Lesaint, Steffenhagen, Malvin-Cazal etc. führen diese Wörter nicht auf. Il, au singulier, ils, au pluriel (il, au pluriel et au singulier; dans plusieurs provinces, le pluriel se prononce ; au pluriel l's se lie: il-z ont. Voici les règles de la prononciation au XVII° siècle d'après Chifflet, Gramm. p. 209: L'l ne sonne point devant les consonnes, il dit, prononcez i dit; ni aux interrogations, quoi qui suive: que dit-il? prononcez que dit-i? Parle-t-il à vous! dites: parle-t-i à vous? mais hors de l'interrogation il sonne l'l devant les voyelles: il a, il aime; au pluriel, il ne sonne que l's: ils ont, dites: iz ont. On voit en quoi ces règles anciennes diffèrent de la prononciation actuelle. Cette ancienne prononciation, qui supprimait plus les consonnes que nous ne faisons, s'est conservée en grande partie dans la conversation: quelle heure est-i? quel temps fait-i? ils Lesaint, p. 195: Bien des personnes de province rendent muette I'l des pronoms il, ils; ainsi, au lieu de prononcer il demeure là, étaient cinq, parle-t-il encore? comme s'il y avait il demeure là, il-zétè saink, parl-ti-lankòr? elles disent: i demeure là, i-zétè saink, parl-ti ankòr? Les mêmes personnes suppriment également l'1 dans quelque, quelques, quelqu'un, quelqu'une, quelques-uns, quelques-unes, quelque fois : elles prononcent tous ces mots comme s'ils étaient écrits kék, kék, ké-kun, ké-kune, kék-zun, kék-zune, kék-foa. Néanmoins, elles font entendre l'l dans quel, quelconque. A Paris, un petit nombre de personnes suivent aussi cette prononciation; mais ce langage, qui dénote une complète ignorance du bon usage, est tout à fait inconnu à la bonne société. Nobiling (38) sagt in einer Anmerkung: il oder ils lauten nur in der gemeinen Volkssprache wie y. Malvin-Cazal will diese Aussprache nicht gelten lassen. Steffenhagen, p. 247: Das Volk sagt in der Conversation fast durchweg i, der Gebildete bemüht sich, das 1 stets hören zu lassen; man spreche ile. In der Lectüre und bei der Declamation ist das 1 immer laut. Illumination = il-lu-mi-na-sion; en vers, de six syllabes. illot = i-lo, le t ne se lie pas; au pluriel, l's se lie: des î-lo-z étroits; îlots rime avec repos, travaux etc. Auch Feline bindet das t nicht; ebenso wenig würden Lesaint und Malvin-Cazal das t in der Conversation binden. Letzterer führt bei der Endung ot gerade nicht îlot besonders auf; doch möchte ich das, was er in Bezug auf die angeführten Beispiele (mot, pot etc.) anführt, in Rücksicht auf die allgemeine Wichtigkeit und die Seltenheit des Malvin'schen Werkes hier mittheilen: Dans tous ces exemples, comme dans ceux qui précèdent ou qui vont suivre, il y a sans doute des liaisons que l'on ne pourrait point contester à la rigueur, surtout dans la récitation des vers, où l'hiatus est rigoureusement proscrit; cependant, le goût les repousse, soit parce qu'elles n'ont rien d'harmonieux, soit pour éviter celles qui présentent des doubles applications, et même une cacophonie et des contre - sens qui jettent du ridicule sur la prononciation, comme dans: Un appâ-t'infaillible. Un attenta-t'affreux. Le grand Un préla-t'instruit. L'arrê-t'est rendu. mâ-t'était criblé de boulets. Cet habi-t'est trop large. sacré. Un goulo-t'étroit. Le cano-t'a chaviré. - Un dépô-t'est Son goû-t'est ou ne peut plus mauvais etc., où l'on entend, dans le premier exemple, la liaison un apa-tin, et dans les suivants, celles attenta-ta, le mâ-tétait, un préla-tinstruit, l'arê-te rendu, cet habi-test trop large, le cano-ta chaviré, un dépô-test sacré, un goulo-tétroit, ce mo-ta vieilli, le rô-test servi, son goû-test. . . toutes liaisons, dures, ridicules, qu'on doit éviter avec soin, et dont la conversation ne garde aucune trace. Celui qui les appliquerait à la lecture soutenue se trom- perait souvent, comme aussi celui qui transporterait à la conversation les formes du langage élevé, courrait risque de jouer un rôle ridicule. Les hommes de goût et de bon sens saisissent facilement ces nuances. Les sociétés choisies de la capitale offrent des modèles dans ce genre, et on les reconnaît surtout à cette facilité mêlée de grâces qu'ils portent dans les communications ordinaire de la vie. Brandon (die franz. Aussprache der Endconsonanten, 51): Ot. Die Wörter dieser Endung darf man im Allgemeinen nur ́in der Lectüre und der höhern Sprache verbinden; besonders muss man sie aber auch in diesem Falle vermeiden, wenn zu viele mit t anfangende Silben auf einander folgen etc. Dubroca (Traité de la prononciation des cons. et voy. fin. 144): Ot. On lie généralement le t dans les mots qui ont cette finale (folgen Beispiele). Cependant, il faut convenir qu'en appliquant cette règle à tous les mots terminés en ot, on s'exposerait à faire des liaisons ridicules. Je ne pense pas en effet que l'on ait jamais dit: un goulo-t'étroit, en parlant du goulot d'une bouteille; ni le rô-t'est brûlé etc. Ces mots et semblables, n'entrant guère que dans l'usage ordinaire de la conversation, n'ont pas besoin d'être liés; et il est vrai de dire, en général, que beaucoup de nos liaisons admises, nécessaires même dans la lecture soutenue, seraient déplacées dans la conversation; c'est en quelque sorte un langage à part; il y règne plus d'abandon, moins de prétention, plus de rapidité et de liberté. Celui qui l'appliquerait à la lecture soutenue, se tromperait; mais, celui qui transporterait à la conversation les formes du langage élevé, courrait risque d'y jouer une rôle ridicule. Les hommes de goût et de bon sens saississent facilement ces nuances, et on les reconnaît surtout à cette facilité mêlée de grâces: qu'ils portent dans les communications ordinaires de la vie. Les sociétés choisies de la capitale offrent des modèles dans ce genre. = Imagination i-ma-ji-na-sion; en vers, de six syllabes. Imbroglio (in-bro-llo, 11 mouillées) ou, à la française imbroille (in-bro-ll', 11 mouillées). Auch Malvin sagt: imbroglio (confusion) se prononce en donnant à gli l'articulation que nous donnons à 11 mouillé, et comme s'il y avait in-bro-llo. Imitation i-mi-ta-sion; en vers, de cinq syllabes. |