Inhalts-Verzeichniss des XLII. Bandes. Abhandlungen. Orthoepische Betrachtungen in Bezug auf Littré's Wörterbuch. (Nachtrag.) Die dreiundzwanzig altfranzösischen Chansonniers in Bibliotheken Frankreichs, Die altfranzösische Liederhandschrift Nro. 389 der Stadtbibliothek zu Bern. Naturhistorische Bemerkungen zu Diez' Wörterbuch der romanischen Sprachen. Maria Stuart. Dramatisch bearbeitet im Jahre 1644. Von Dr. A. Tobias Beurtheilungen und kurze Anzeigen. Göthe in Schlesien, 1790. Ein Beitrag zur Göthe-Literatur von Hermann Seite 1 43 73 83 113 135 241 393 401 409 102 Schulgrammatik der französischen Sprache für Real- und gelehrte Schulen von Fr. Gruner. (Dr. Muret) 103 Uebungsaufgaben über die Wort- und Satzfügung zur Schulgrammatik der Dr. G. Michaelis, A New System of English Stenography or Shorthand. On Friedrich Rückert's Leben und Dichtungen, von Dr. E. Beyer. (L. v. Französische Grammatik. Von Bernhard Schmitz. (C. van Dalen) Die Herstellung von Druckwerken. Praktische Winke für Autoren und Verleger. (F. A. Leo) 103 105 106 109 213 220 229 433 Frédéric le Grand et ses écrits par Théophile Droz. (G. Bucher) 434 435 Das Verhältniss des Französischen zum Lateinischen. Von Dr. E. Fritsche. (F.S.) 436 Praktischer Lehrgang zur Erlernung der französischen Sprache. Von J. P. Magnin und A. Dillmann. (W. Dreser) Observations de l'orthographe française suivies d'un exposé historique des Grammaire Française-Allemande. Par André Fritzmann. (F. S.) Uebungsbuch zum Uebersetzen aus dem Deutschen in's Englische. Von A. Florian's Fabeln. Von Ernst Zipp. (Dr. Muret) 437 441 448 Von 449 449 450 Recueil de Morceaux choisis de Prose et de Vers par W. Bertram Grammatisches Uebungsbuch für die mittlere Stufe des französischen Unter- Methode Toussaint-Langenscheidt. Englisch von Dr. C. van Dalen. (Georg Büchmann). Leselehre der englischen Sprache. Von Hermann Berger. (A. Benecke) Programmenschau. Zur Einführung in die deutsche Sprachlehre. Von Dir. Dr. Jul. Methner Negative Idiotismen der siebenbürgisch-sächsischen Volkssprache. Von J. Haltruh 467 Ueber die Comparation der als Adjectiva gebrauchten Participien im Lateinischen und Deutschen. Von Dir. F. A. Kämp 468 Das weibliche Ideal nach Homer mit Rücksicht auf andere National - Epen. Ueber Bedeutung und Entstehung des Wortes Heidenangst. Vom Oberlehrer 468 Die Idee in Goethe's Tasso und Iphigenie. Vom Oberlehrer Führmann Miscellen. Seite 232-238. 475-478. Bibliographischer Anzeiger. Seite 111-112. 239-240. 479-480. Ueber die Bedeutung und Aufgabe der politischen Satire. Von Dr. Thiemann 469 Orthoepische Betrachtungen in Bezug auf Littré's Wörterbuch. Nachtrag zum ersten Theile dieser Betrachtungen. Abaisser abè-sé, quelques-uns disent a-bé-sé. Ai prend le son è ou ê; quand la syllabe qui suit est muette: il a-bè-se-ra ou a-bê-se-ra. Landais: abècé. Bescherelle: a-bé-sé. Nodier: a-bè-sé, Malvin-Cazal spricht ai wie é: généralement, dans tous les mots où ai est immédiatement suivi d'une syllable faisant entendre `un autre son que ceux a, eu, au - ais, ait, aient quelque soit la manière d'être représentés d'après notre orthographe; also auch in abaisser. Feline spricht ebenfalls é. Abaisseura-bè-seur, ou, suivant la prononciation de quelques uns, a-bé-seur. Abcès ab-sê, en liaison l's ne se prononce pas d'ordinaire dans la conversation. L'absès ouvert dites: l'ab-sé est ouvert. Mais, dans la lecture soutenue, on disait: l'ab-sê-z est ouvert. Abêtir a-bê-tir; quelques-uns disent a-bé-tir. = Ab hoc et ab hac = a-bo-ké-ta-bak, et non comme quelques personnes, a-bo-ké-a-bak. Abject ab-jè-kt' ou ab-jè. = Ablaquéation ab-la-kué-a-sion. Abord = a-bor; le d ne se prononce jamais en liaison; un abord agréable, dites, a-bor-a-gréable; au puriel, la liaison de l's est doutease. La prononciation moderne et affectée tend à la faire sentir: des abords agréables, a-bor-z agréables. Mais la prononciation Archiv f. n. Sprachen. XLII. 1 ancienne et meilleure ne fait pas sentir l's: des abords agréables, a-boragréables. Was die erste Behauptung betrifft, so müssen wir wohl beistimmen, doch die Bindung des s in der Mehrzahl möchte wohl schon seit langer Zeit gebräuchlich sein; siehe Dubroca. Siehe lord. Aboyer a-bo-ié et a-boi-ié; la prononciation varie. La prononciation abayer était commune au commencement du XVII® siècle. Ma fortune. Qui n'abaye et n'aspire après l'or du Pérou, Régnier. Sat. III. Ou toutes ces grandeurs après qui l'on abaye, id. XVI. ... Aboyeur a-bo-ieur ou aboi-ieur; la prononciation n'est pas fixée. Abricot a-bri-co; le t ne se lie pas; au pluriel, a-bri-kò ou a-bri-ko; la prononciation varie, les uns gardent au pluriel la prononciation du singulier où l'o est bref ou ouvert, les autres allongeant l'o, suivant la règle qui est que l's du pluriel rend la voyelle longue ou fermée. Siehe îllot, lot. a-bsi-s', ou suivant la prononciation réelle, a-psi-s'. Eine ähnliche Anmerkung bei allen Wörtern, die mit abs. beginnen. Absolution = ab-so-lu-sion ou ap-so-lu-sion; en poésie, de cinq syllabes. Absorption ap-sor-psion; de quatre syllabes, en poésie. Dubroca bindet stets das t dieser Endung; auch Malvin-Cazal und Brandon. Siehe lit, interdit. Acacia a-ka-sia; Castel et Béranger l'ont fait, en vers de trois syllabes, et la prononciation ordinaire ne lui en donne non plus que trois; mais on pourrait aussi, en vers, le faire de quatre syllabes, suivant l'habitude de notre poésie; qui tend plus à allonger les mots qu'à les raccourcir. Académicien a-ka-dé-mi-siin; en vers, il est de six syllabes; par example, dans l'épigramme de Piron: Ci gît Piron, qui ne fut rien, Pas même académicien. Cependant on pourrait aussi suivre la prononciation ordinaire et le faire de cinq syllabes. Accepter a-ksè-pté; prononciation vicieuse acceter. Acclamation a-kkla-ma-sion; en poésie, de cinq syllabes. Accommodera-ko-mo-dé; quelques-uns prononcent a-k'mo-dé, comme si le premier o était un e muet; cette prononciation est à éviter. Accord a-kor; le d ne se lie pas: un accord harmonieux, a-ko-r harmonieux. L's du pluriel ne se lie pas d'avantage: des accords harmonieux, des a-ko-r harmonieux. Cependant d'après une autre prononciation, l's se lie: des a-kor-z harmonieux. Siehe Abord, lord. 1 Accroc a-kro; le c ne se lie jamais: Un accroc à la robe; dites un a-kro à la robe. Au pluriel des a-kro, ou, suivant d'autres des a-kró. Landais und Feline orthographiren akrô, Nodier a-cro. In Bezug auf die Bindung führt Dubroca das Wort nicht an; auch Brandon schweigt. Malvin-Cazal bestätigt, dass das c nie zu binden ist. Accroire a-kroi-r'. D'après Vaugelas on prononçait de son temps accraire. Un dictionnaire de 1768 indique les deux prononciations, a-krè-re et a-kroi-re. Auch La Touche (1720) spricht oi wie è in connoître, paroître, croitre, croire etc. und fügt hinzu: dans un discours public on peut prononcer croître, croire etc. comme ils sont écrits (oi = oai). Catineau (1812) bezeichnet die Aussprache: a-kroè-re. Accroîtré a-kroî-tr'. Se conjugue comme croître. Un dic tionnaire de 1786 donne pour prononciation a-krê-tr'; il ne parle pas d'a-kroî-tr'. Accusation a-ku-za-sion; en poésie, de cinq syllabes. Acheter a-che-té; ne prononcez pas a-je-té, ni comme Vaugelas le défend aussi, a-jé-ter. La syllabe che est muette quand la syllabe qui suit est sonnante, et prend l'accent grave quand cette syllabe qui suit est muette; gardez-vous donc bien de prononcer, comme font quelques personnes, ach'trai pour a-chè-te-rai, et ainsi de suite. Achever a-che-vé. La syllabe che est muette, quand la syllabe qui suit est sonnante; elle prend l'accent grave, quand la syllabe qui suit est muette. Acier = a-sié; l'r ne se lie jamais; l'acier et le fer, dites: l'asié et le fer. Siehe indigotier, maltôtier. a-ké-rir; ne prononcez pas a-krir, comme en quelques Ueber die Aussprache von j'acquiers etc. schweigt Littré. Siehe die erste Abtheilung dieser Betrachtungen, p. 436. Acquisition a-ki-zi-sion; en poésie, de cinq syllabes. Acquit =a-ki; le t ne se lie pas dans la conversation. Siehe lit, acabit. Acre a-kr', a bref. â-kr', à long. Actiona-ksion; en poésie, de trois syllabes. = Adage a-da-j'; l'a de da, qui se prononce comme dans sage, se prononçait autrefois comme dans âge; Chifflet, dans sa grammaire qui est de la fin du XVIIe siècle, dit qu'on prononce a-da-ge. |