L'Art moderne, Volume 10Imp. Ve (i.e. 5th) Monnom, 1890 |
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15 matin 15 soir 1885 DIPLOME D'HONNEUR 1re classe ABONNEMENTS Administration et rédaction ANVERS Arthur Vrancken artistes belge Belgique Breitkopf et Härtel Bruxelles BRUXELLES rue Thérésienne César Franck chant Chemins de fer choses Cologne à Londres concert Conservatoire d'art décor DIMANCHE REVUE CRITIQUE directeur Domkloster Douvres DOUVRES à midi drame EDMOND PICARD Emile Mathieu ÉMILE VERHAEREN EXPOSITIONS AMSTERDAM 1883 express internationaux voitures femme fer de l'État Gustave Sandré Henriette Spécial cabine heures Joséphine et Princesse journaux journellement d'OSTENDE l'Agence de Chemins l'ANGLETERRE Bruxelles L'ART MODERNE PARAISSANT l'artiste l'État-Belge Northumberland House LITTÉRATURE Comité livre Lohengrin Londres Londres en Berlin Maurice Maeterlinck ment musical musique Northumberland House OCTAVE MAUS œuvres peintre PETITE CHRONIQUE piano PRATIQUE DE COMPOSITION Princesse Henriette Spécial public réduits de Sociétés Richard Wagner rue de l'Industrie Salammbô scène sera seuls 1er Soins aux dames symphonie tableaux théâtre Théâtre-Libre tion toiles Union postale Vincent d'Indy Wagner
Fréquemment cités
Page 215 - Tout homme a en lui son Pathmos. Il est libre d'aller ou de ne point aller sur cet effrayant promontoire de la pensée d'où l'on aperçoit les ténèbres. S'il n'y va point, il reste dans la vie ordinaire, dans la conscience ordinaire, dans la vertu ordinaire, dans la foi ordinaire, ou dans le doute ordinaire; et c'est bien.
Page 25 - L'ART MODERNE PARAISSANT LE DIMANCHE REVUE CRITIQUE DES ARTS ET DE LA LITTÉRATURE Comité de rédaction i OCTAVE MAUS — EDM»NI> PICARD — ÉMILB VERHAEREN ABONNEMENTS : Belgique, un an, fr.
Page 79 - VERHAEREN ABONNEMENTS : Belgique, un an, fr. 10.00; Union postale, fr. 13.00. — ANNONCES : On traite à forfait. Adresser toutes les communications à L'ADMINISTRATION GÉNÉRALE DE l'Art Moderne, rue de l'Industrie, 32, Bruxelles.
Page 251 - Saint-Marcel, l'on opprime encore l'agonie de ses eaux ; dès que la malheureuse paraît, les Yankee de la halle aux cuirs se livrent à la chasse au nègre, la traquent et l'exterminent, épuisant ses dernières forces, étouffant ses derniers râles, jusqu'à ce que, prise de pitié, la Ville intervienne et réclame la morte qu'elle ensevelit, sous le boulevard de l'Hôpital, dans la clandestine basilique d'un colossal égout.
Page 215 - ... l'impalpable, à ce regard sur l'invisible, il y vient, il y retourne, il s'y accoude, il s'y penche. il y fait un pas, puis deux, et c'est ainsi qu'on pénètre dans l'impénétrable, et c'est ainsi qu'on s'en va dans les élargissements sans bords de la méditation infinie.
Page 74 - Là, il déjeunait à fond, et souvent avec deux ou trois familiers, rendait d'autant, soit en mangeant, soit en écoutant ou en donnant ses ordres, et toujours force spectateurs debout (il faut passer ces honteux détails pour le bien connaître).
Page 74 - Versailles avec une respectable dame de la cour de Louis XV, passant dans un couloir empesté, elle ne put retenir cette exclamation de regret : Cette odeur me rappelle un bien beau temps.
Page 237 - On m'y reproche, avoir une courtoisie amère,, qui ne dissimule pas assez, peutêtre, l'impatient amour de la réclame dont sont atteints la plupart de nos chers rêveurs et de nos plus admirables résignés, on m'y reproche d'avoir, pour en faire l'éloge, choisi un poète belge, alors qu'il existe en France tant de jeunes, et si merveilleux — dont on ne dit jamais rien. C'est d'autant plus inconcevable et scandaleux à moi, que j'aurais dû savoir ce que tout le monde sait, ce que l'Indépendance...
Page 72 - Pour ce, 4' p. A lui, pour un autre estuy de cuir boully double, à mettre et porter les orinaulx de la Royne, ycellui poinçonné et armoié des armes de ladicte dame, et fermant à clef; achatté de lui le xxje jour dudit mois de may. Pour ce, 32
Page 36 - Contrairement à ceux qui se réfugient dans le rêve et s'y bâtissent des maisons d'or et de nuées, je n'ai jamais cessé de regarder la vie réelle et de me laisser tenter par elle. Elle m'intéresse comme un ennemi fort et subtil ; je la hais avec toute ma haine, mais je considère comme une espèce de lâcheté et comme une désertion d'aller loin d'elle se bâtir un palais imaginaire, qu'on sait faux, et qui, par conséquent, ne porte aucun remède à la morosité de l'existence.