Études sur la révolution d'Angleterre: Portraits politiques des hommes des différents partis ...Didier et Ce., 1858 - 373 pages |
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... écrivait M. de Lionne au comte de Comenge , que le chancelier ' puisse tenir capable le mylord Hollis d'une négociation importante , et bien moins de celle de faire et conclure un traité entre deux couronnes . Dès qu'il aura eu son ...
... écrivait M. de Lionne au comte de Comenge , que le chancelier ' puisse tenir capable le mylord Hollis d'une négociation importante , et bien moins de celle de faire et conclure un traité entre deux couronnes . Dès qu'il aura eu son ...
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... écrivait de Londres à M. de Lionne : « Vous serez sans doute autant surpris que je l'ai été quand vous saurez qu'un homme de grande qua- lité , d'âge et d'emploi assez considérable , a mandé au roi d'Angleterre que la reine , notre ...
... écrivait de Londres à M. de Lionne : « Vous serez sans doute autant surpris que je l'ai été quand vous saurez qu'un homme de grande qua- lité , d'âge et d'emploi assez considérable , a mandé au roi d'Angleterre que la reine , notre ...
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... écrivait - il en confidence , le 19 juillet 1664 , à sir William Morrice , secrétaire d'État et son ami : je vous en remercie , quel qu'en soit le contenu , car il ne peut être que ce que permet la disposition du temps , ce qui n'est ...
... écrivait - il en confidence , le 19 juillet 1664 , à sir William Morrice , secrétaire d'État et son ami : je vous en remercie , quel qu'en soit le contenu , car il ne peut être que ce que permet la disposition du temps , ce qui n'est ...
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... écrivait - on , plus haï et redouté qu'aucun de vos compa- gnons ; c'est contre vous surtout qu'on cherche des assas- sins ; vous feriez bien de vous retirer dans quelque endroit où vous fussiez inconnu2 . » Il s'y refusa absolu- ment ...
... écrivait - on , plus haï et redouté qu'aucun de vos compa- gnons ; c'est contre vous surtout qu'on cherche des assas- sins ; vous feriez bien de vous retirer dans quelque endroit où vous fussiez inconnu2 . » Il s'y refusa absolu- ment ...
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... faire ce que Jean de Witt lui avait demandé : « On tâchera , lui écrivait M. de Lionne , le 2 avril 1666 , de retirer ici les passeports que vous avez donnés aux sieurs Sidney et Ludlow . En tout cas , ce LUDLOW ( EDMOND ) . 89.
... faire ce que Jean de Witt lui avait demandé : « On tâchera , lui écrivait M. de Lionne , le 2 avril 1666 , de retirer ici les passeports que vous avez donnés aux sieurs Sidney et Ludlow . En tout cas , ce LUDLOW ( EDMOND ) . 89.
Expressions et termes fréquents
actes affaires américaine amis anglais Angleterre armée assemblés en Congrès assez avaient Basilikè Boston Burnet c'était cause chambre des communes Chambre étoilée Charles Ier chef choses citoyens Clarendon cœur colonel colonies comte conduite conseil Constitution Convention Cromwell déclarer démocratique devant Dieu écrivait ennemis esprit États États-Unis Fairfax Fayette Gauden général George III gouvernement Gouverneur Gouverneur Morris Grande-Bretagne guerre Hamilton Hollis hommes intérêts j'ai jamais Jeff Jefferson John Adams John Jay John Lilburne jour jugement l'Amérique l'Angleterre l'armée l'Eikon l'esprit l'état laisser législature liberté Lilburne Londres lord Ludlow lui-même lutte Maryland Massachusetts membres Mémoires ment mesure ministre mistriss Hutchinson Mount-Vernon n'avait n'était nation négociations New-Jersey New-York Niveleurs officiers paix parlement passer passions pays pensée Pensylvanie personne peuple Philadelphie politique pouvait pouvoir Presbytériens Président public publique refusa représentants républicain reste révolution rien s'était sentiments sera seul soldats succès tion traité troupes Virginie Virginiens vote Wash Washington Writ Writings
Fréquemment cités
Page xl - La scène est enfin à son terme La veille de Noël au soir, les portes de cette maison ont vu entrer un homme plus vieux de neuf ans que je n'étais quand je les ai quittées Je commence à me sentir à l'aise et libre de tout souci public. J'ai quelque peine à secouer ma coutume, en m'éveillant chaque matin, de méditer sur les soins du jour suivant ; et ce n'est pas sans surprise qu'après avoir roulé bien des choses dans mon esprit, je découvre que je ne suis plus un homme public, et n'ai...
Page 422 - États indépendants ont droit de faire; et, pleins d'une ferme confiance dans la protection de la divine Providence, nous engageons mutuellement au soutien •de cette déclaration nos vies, nos fortunes, et notre bien le plus sacré, l'honneur.
Page 461 - ... pourrons choisir la guerre ou la paix, selon que l'ordonnera notre intérêt d'accord avec la justice. Pourquoi renoncerions-nous à de si grands avantages ? Pourquoi, unissant notre destinée à celle d'une nation européenne quelconque, sacrifierions-nous notre repos et notre félicité à l'ambition, à la rivalité, aux intérêts, aux passions et aux caprices des puissances de l'Europe ? Notre véritable politique doit être de n'avoir aucune alliance permanente, autant du moins que nous...
Page 6 - ... contrats. Les études de Washington ne s'étendirent guère au delà de ce qu'on apprenait habituellement dans ces écoles, et il ne paraît pas qu'il ait cherché plus tard à compléter cette éducation. Toujours détourné des préoccupations étrangères à la pratique, par un caractère ardent et une vie active et remplie, il n'eut jamais ni le goût ni le loisir de se livrer à l'étude des lettres et delà philosophie.
Page xliii - Pendant que nos voitures s'éloignaient l'une de l'autre , je me demandais souvent si c'était pour la dernière fois que je vous avais vu; et malgré mon désir de dire non, mes craintes répondaient oui. Je rappelais dans mon esprit les jours de ma jeunesse, je trouvais qu'il y avait bien long-temps qu'ils avaient fui pour ne plus revenir, que je descendais à présent la colline que j'ai...
Page 81 - Londres; et d'autre côté, j'entretenais des intelligences avec les catholiques irlandais, lesquels, étant toujours fort mécontents de leur condition, semblaient aussi toujours prêts à faire un effort pour la rendre plus supportable. «Sur ces différentes pensées, j'écoutai les propositions qui me furent faites par Sidney...
Page 54 - révélation , je vais vous en faire part. Cette armée >> extirpera la monarchie, non-seulement ici, mais » en France et dans les autres royaumes qui nous » entourent ; c'est par là qu'elle vous tirera d'É>> gypte.
Page 422 - Grande-Bretagne est et doit être entièrement rompu ; et que, comme États libres et indépendants, elles ont pleine autorité de faire la guerre, de conclure la paix, de contracter des alliances , d'établir le commerce, et de faire tous les autres actes ou choses que les États indépendants ont droit de faire...
Page lxxviii - Ibid., p. 314. ni son opinion personnelle, ni la politique de son pays. Quand le jour difficile arriva, quand la déclaration de guerre entre la France et l'Angleterre fit éclater en Europe la grande lutte révolutionnaire , la résolution de Washington fut nette et prompte. Il proclama sur-le-champ la neutralité des ÉtatsUnis. « Ma politique est simple. Vivre en relations amicales avec toutes les nations de la terre, mais ne dépendre d'aucune, n'épouser les querelles d'aucune ; tenir envers...
Page 246 - L'on lui offrit même, pour sentir s'il pensait à moi, au cas qu'il me voulût épouser, de lui faire voir tout mon bien dans la vérité... Mais il fit réponse que, quand il voudrait en être éclairé, il ne s'en adresserait qu'à moi-même, et que le bien était la dernière chose à quoi on devait penser en mariage ; la principale était les mœurs de ceux avec qui l'on avait à passer sa vie, et surtout la crainte de Dieu et la bonne réputation1.