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de la critique méticuleuse; et ce n'est | que nous avons été obligés de faire, pas ainsi qu'un bon ouvrage doit être apprécié.

Quant aux Mémoires, nous l'avons dit, le nom de M. Liautard les recommande suffisamment; et malgré les réserves

nous espérons que l'œuvre des deux ecclésiastiques obtiendra ce qu'elle mérite, c'est-à-dire bon accueil et grand succès.

Le comte de J.

ENCYCLOPÉDIE DU XIX SIÈCLE '.

Au point où en sont arrivées les con- honore celui qui l'a formé. Malheureunaissances humaines, l'essentiel n'est | sement la réalisation en est impossible. pas de les étendre, mais de les vérifier. | Un homme seul, quelle que fût l'étendue

Telle est maintenant leur étendue, que personne ne peut se flatter d'en connaître les bornes. Il est donc impossible de les reculer avec exactitude avant de savoir où les prendre. Pour aller méthodiquement à de nouvelles découvertes, il faut s'assurer de ce qui a été déjà découvert, et fixer ainsi, avant tout, le point de départ. En suivant une autre marche, on s'exposerait à faire comme ce Tartare qui, ne connaissant pas les limites de son empire, s'en allait conquérant ses propres provinces, bien convaincu qu'il en conquérait d'étrangères. C'est ce qui arrive chaque jour aux soi-disant philosophes panthéistes, aux grands prôneurs de perfectibilité indéfinie et de progrès continus, qui nous donnent pour nouveaux des systèmes délaissés, déconsidérés et cent fois réfutés, et qui se drapent, comme dans un manteau royal, dans la vieille défroque philosophique et anti-religieuse du siècle der

nier.

Il y a bien longtemps que M. de Fontanes exprimait le vœu qu'un critique courageux séparât enfin dans les monuments élevés par la philosophie moderne, les erreurs des vérités, et combattit les principes erronés et destructeurs qu'on trouve dans des livres trop fameux et trop répandus. Un pareil vœu

de son esprit, sa persévérance et sa force, ne pourrait suffire à une pareille tâche, et s'userait à la peine. Tant d'erreurs ont été amoncelées, l'esprit de système a jeté une telle confusion dans les esprits, et l'impiété une telle perversité dans les âmes, que pour réparer desi grands maux, il faut l'association de plusieurs hommes de cœur et d'intelligence. Ce sont les douze travaux d'Hercule appliqués à la vérification des contrées historiques, religieuses et philosophiques, et de pareils travaux, pour être accomplis dignement, veulent être distribués. C'est pour atteindre ce but qu'a été fondée l'Encyclopédie du 19e siècle.

Son directeur qui, depuis plus de dix ans, s'est consacré avec un infatigable dévouement à la propagation et à la défense des idées religieuses, s'est entouré, pour l'accomplissement de son œuvre, de tout ce que la science et les lettres comptent d'hommes éminents. La religion et la philosophie ne pouvaient être plus dignement justifiées et plus honorablement défendues que par

de tels écrivains.

La publication d'une Encyclopédie, et d'une Encyclopédie fondée sur des principes de sévère orthodoxie, n'était pas une chose que le premier venu pût être tenté d'entreprendre. Il y avait à redouter d'abord l'indifférence du public, rebuté par le charlatanisme qui a

32 vol. grand in-80, à double colonne, au prix entaché tant de livres; ensuite, et sur

de 7 fr. le volume, rue Jacob, 25. L'avant-dernier numéro de l'Université Catholique contenait un prospectus de l'Encyclopédie. L'abondance des matières n'a pas permis de publier cet article dans le

même numéro.

tout, les préventions légitimes qu'a laissées dans l'esprit des hommes religieux et honnêtes le monument d'impiété élevé sous ce même titre d'Ency

clopédie, par les philosophes du 18° | trepris les directeurs de l'Encyclopédie siècle. du 19° siècle. C'est par le vide immense Lorsque, dans la circulation d'un qui se fait autour de l'intelligence hupays, il s'est glissé de la fausse mon-maine, quand elle s'abandonne à ses

naie, le doute et la crainte qui en naissent font qu'on reçoit les bonnes pièces avec la même défiance que si elles étaient mauvaises. Une pareille perspective, on le conçoit, n'était pas encourageante, et il faut s'étonner et se féliciter que les directeurs de l'Encyclopédie du 19e siècle ne s'en soient pas effrayés. Les forces de l'esprit et les ressources s'accroissent par le sentiment d'une noble entreprise. Ils ont vu que si les ravages des fausses doctrines ont perdu de leurs anciennes proportions, l'erreur, qui en est le germe, n'est pas encore extirpée. Et ils se sont mis à l'œuvre.

propres forces, qu'il faut prouver à l'homme que la science séparée de la pensée chrétienne, est une science morte, une science inhabile à pénétrer le sens intime et suprême des choses.

Cette habileté que l'Encyclopédie du 19° siècle met dans sa marche et dans l'esprit de ses doctrines, n'est pas, du reste, une chose nouvelle et dont l'idée lui appartienne en propre. Diderot, d'Alembert, et les fondateurs de la fameuse Encyclopédie du 18° siècle, l'avaient eue les premiers. Dans cette œuvre de prosélytisme irréligieux, l'impiété, à de rares expressions près, ne se montre jamais à découvert. Elle est toujours au bout de toutes les discussions, et l'esprit distrait ou inexpérimenté ne peut pas l'éviter. Mais il règne dans l'ensemble une prudence excessive. La surface est en général irréprochable. C'est sous l'herbe que se cache le serpent; c'est au fond de la coupe que se trouve le poison.

Obligés d'embrasser tout le domaine de l'intelligence humaine, ils ont établi leur édifice sur la religion chrétienne, comme la seule base sur laquelle l'esprit puisse reposer dans une sécurité parfaite, et Dieu a été leur clef de voûte, c'est-à-dire la solution nécessaire des difficultés qui enveloppent la vie et la destinée de l'homme. Toutes les sciences, la philosophie, l'histoire, l'économie sociale, tout est ramené à cement à répandre ces principes de la ôtant les principes qui purifient son | tant d'esprits jetés dans le même moule, âme, on lui ôte la noble inspiration qui élève son esprit.

principe immuable, tout est soumis à cet infaillible criterium, éclairé par ce flambeau d'éternelle vérité. L'Encyclopédie du 19o siècle est donc l'ensemble des connaissances humaines considéré au point de vue catholique.

Ce que nous voulons constater tout d'abord, c'est l'habileté avec laquelle les directeurs de l'Encyclopédie du 19o siècle ont répandu dans leur œuvre ces principes religieux. Nulle part ils n'ont fait preuve d'esprit systématique, et n'ont montré de parti pris. Ils ont abordé tous les sujets, exposé toutes les théories, embrassé toutes les questions, et la religion, qu'ils ne mettent pas toujours en avant, est toujours le but latent auquel ils mènent le lecteur. Dans un siècle où, pour nous servir de l'expression d'un grand poëte, le raisonnement a si souvent banni la raison, c'est par le raisonnement que la raison doit être ramenée, c'est par l'esprit qu'il faut arriver à l'âme. C'est ce qu'ont en

Ce système qui, n'effarouchant aucune susceptibilité, contribua puissam

philosophie sceptique et anti-chrétienne, devint une arme très-dangereuse. C'est cette arme que l'Encyclopédie du 19e siècle a prise à ses adversaires, et qu'elle a puissamment et habilement retournée contre eux. Tout en avouant nettement ses doctrines, elle s'est abstenue d'un dogmatisme imprudent, et par ce moyen, elle doit populariser avec plus de certitude les idées chrétiennes qui lui servent de base.

Les services que peut rendre aujourd'hui une œuvre qui tend à rétablir l'unité des sciences par l'inspiration chrétienne sont immenses. De terribles épreuves nous ont appris où mènent les systèmes irréligieux. Non-seulement ils ébranlent les sociétés, non-seulement ils pervertissent la moralité publique et privée, mais encore ils laissent dans un vide effrayant l'histoire, la philosophie, la poésie et les arts. C'est que tout se tient dans l'homme, et qu'en lui

L'Encyclopédie du 19o siècle est l'expression la plus complète et en même temps la plus brillante du grand travail d'unité qui doit reconstituer la vérité sur les débris épars de tous les systèmes et de toutes les théories. L'entreprise est aussi vaste dans ses ramifications, qu'elle est noble par son but. Il ne s'agit de rien moins, en effet, que de ramener les esprits à la certitude, et de rendre à notre époque le calme de la foi.

L'œuvre est très-complexe, comme on voit. Elle embrasse la poésie et les arts comme la science, l'histoire comme la philosophie, la politique comme la religion. L'Encyclopédie du 19o siècle a

et, qu'on nous passe le mot, autant de têtes sous le même bonnet. Non, certes! Il est probable que sur des questions de détail, et qui ne touchent ni au dogme, ni à la morale, ni à aucune de ces idées qui sont le fondement de l'ordre social, chacun de ces écrivains a sa manière particulière de voir, et que, sur ce point, on dit à l'Encyclopédie du 19e siècle, comme partout, tot capita, tot sensus.

Cette unité purement scientifique dans les questions indifférentes et dans les choses de détail, n'est pas celle qu'il faut chercher, car elle n'existe pas. Celle qui est indispensable, celle que s'est proposée l'Encyclopédie du 19o siècle, celle qu'elle a obtenue, c'est l'unité morale et philosophique, c'est

donc un but élevé, profond, social, ❘ à-dire la consécration même des sciences

dans l'acception véritable et philosophique du mot.

Son directeur, nous l'avons déjà dit, s'est associé pour atteindre ce but les hommes les plus remarquables dans les diverses branches du savoir. Ce besoin indispensable de réunir un grand nombre de capacités diverses pour concourir à la même œuvre, a été jusqu'ici l'écueil contre lequel ont échoué, presque sans exception, tous les ouvrages encyclopédiques. En général, l'unité de direction a complétement disparu devant les exigences et les caprices de chaque écrivain; toujours la médiocrité s'y est trouvée à côté du mérite.

par l'intervention de la pensée religieuse qui les féconde.

Après avoir ainsi indiqué dans son ensemble le but de l'Encyclopédie du 19 siècle et les principes sur lesquels elle repose, nous voudrions pouvoir donner une idée exacte de la manière dont lui ont prêté leur concours les intelligences d'élite que son directeur a conviées à son œuvre. Malheureusement les citations qu'il nous faudrait faire entraîneraient bien au-delà des bornes que nous devons nous assigner. Qu'il nous suffise de dire que toutes les grandes questions d'histoire, de morale, d'économie politique et sociale, de littérature et de philosophie, y sont traitées par des écrivains dont le nom fait depuis longtemps autorité dans ces spécialités diverses.

L'Encyclopédie du 19o siècle, au contraire, a apporté le plus grand soin d'abord à ne jamais s'écarter de la plus sévère orthodoxie, et à maintenir la plus stricte unité dans ses doctrines; ensuite à ne se permettre jamais, dans les détails et dans les questions peu impor-nous citerons pour les sciences les traquis d'Hautpoul, Cibrario, marquis de | manifestée l'approbation ministérielle.

tantes, de ces négligences de rédaction qui gâtent les meilleures productions et qui défigurent les meilleures idées. Tout y est également soigné, également surveillé, le fond et la forme, les détails et l'ensemble, le plan et l'exécution.

Il est bien entendu que nous n'avons pas l'intention d'affirmer que tous les hommes éminents qui concourent à l'Encyclopédie du 19e siècle soient au

Pour en fournir la preuve, il suffira d'indiquer quelques-uns de ces articles:

vaux de MM. Liouville, Boussingault, Dufrénoy, Andral, Esquirol, Velpeau, Récamier, Parisét, Constant Prevost, Péclet, Edwards aîné, baron Dupin, RoyerCollard, Letronne, Pontécoulant; pour l'histoire, la jurisprudence et la littérature, MM. Dumont, Philarète Chasles, de Blosseville, marquis de Pastoret, duc de Valmy, baron Guiraud, abbé de Féletz, Charles Nodier, comte Beugnot, Charles Lenormant, Hennequin, mar

L'Encyclopédie du 19e siècle a été fondée sous le patronage de feu monseigneur de Quélen, archevêque de Paris. Il était impossible aux directeurs de ce grand ouvrage de répondre plus digne

Chambray, Jomard, Champollion, Camille Beauvais, de Golbéry, etc., etc.; pour la philosophie et les matières religieuses, MM. l'abbé Receveur, l'abbé Maupied, l'abbé Deguerry, l'abbé Flottes, l'abbé Caneto, l'abbé Blanc, l'abbé | ment qu'ils ne l'ont fait à l'inspiration

d'Assance, Laurentie, Buchez et le chevalier Drach.

de l'auguste prélat, qui a laissé dans l'Église de France d'ineffaçables souvenirs, et dont l'admirable intelligence savait distinguer et noblement patronner tout ce qui pouvait rendre à la religion de véritables services.

On voit ainsi que, parmi ceux qui ont déjà fourni des travaux aux 18 premiers volumes, figurent les noms des membres les plus distingués de nos Académies et des hommes qui ont acquis le plus de droits à la confiance du public. C'est en présence d'un renom scientifique et littéraire de cette importance, et après s'être fait rendre compte de la valeur matérielle de l'Encyclopédie du 19o siècle, que M. le Ministre de l'Instruction publique s'est déterminé à ajouter son suffrage à tant de suffrages | foi et de bonheur que l'Encyclopédie

illustres déjà acquis à cette œuvre remarquable. C'est par une souscription

Aujourd'hui que 18 volumes sont publiés, il est facile de juger du mérite de l'ouvrage sous le rapport des gravures et de la rédaction comme sous celui de l'exécution matérielle. Nous croyons que si les publications du même genre remplissaient leurs engagements envers leurs souscripteurs avec autant de bonne

du 19o siècle, la confiance qui, pour un moment, s'est retirée de ces publica

à 50 exemplaires de l'ouvrage que s'est | tions, leur serait à jamais acquise.

BULLETINS BIBLIOGRAPHIQUES.

LES DOCTEURS DU JOUR DEVANT LA FAMILLE, par M. BRUCKER (MICHEL-RAYMOND)'.

Dans ce livre, sorte de petit roman moral, M. Brucker produit, sous une forme dramatique et saisissante, de bonnes et salutaires vérités. C'est l'histoire de deux jeunes hommes comme il y en a tant, qui, oublieux des principes reçus sous le toit paternel, ont accepté bénévolement tous les préjugés, toutes les idées creuses et vides, tous les tristes sophismes de nos professeurs fameux. Charles et Victor sont des élèves assidus du Collège de France, et en ont fidèlement recueilli les leçons. Ils s'imaginent être éminemment progressifs, parce qu'ils se pament d'admiration devant quelques vieilleries habillées à la moderne, et singulièrement indépendants, parce qu'ils ne jurent que sur les paroles des maîtres, adorent ce que les maîtres préconisent, brûlent ce que les maîtres condamnent. Aussi, faut-il les entendre protester en faveur de la raison humaine,

64.

Sagnier et Bray, éditeurs, rue des Saints-Pères,

en revendiquer énergiquement les droits, et s'indigner des prétentions coupables de ceux qui voudraient tourner les armes de la liberté contre ellemême, par l'introduction du principe de la concurrence dans l'éducation! On voit que les deux éludiants joignent à leurs autres mérites celui d'être de fervents universitaires.

C'est avec de telles idées et de telles dispositions qu'ils vont ensemble passer quelque temps dans leur province. Là, au sein d'une belle et riante nature, ils trouvent de bons et aimables parents, des voisins spirituels et instruits, un curé de village modeste autant qu'éclairé, que chacun bénit et vénère. Aux veillées du soir, durant les longues promenades de la journée, des conversations familières et sérieuses s'établissent; les plus hautes questions religieuses et sociales sont abordées, et des clartés nouvelles brillent aux yeux de nos jeunes gens étonnés; la vaine science pâlit et s'éclipse devant la foi. Après une résistance désespérée et à la suite de divers incidents racontés d'une manière attachante, Charles et Victor sont heureux de proclamer leur défaite. Régénérés par la douce influence

de la religion, fiers de ce titre de chrétiens dont ils conçoivent maintenant la sublime grandeur, ils renoncent à une vie de dissipation pour la remplacer par une vie pure et studieuse; ils voient le néant des doctrines qui les avaient égarés; enfin ils reprennent la route de Paris, bien résolus à se poser franchement en champions de la vérité et à faire de la propagande catholique.

M. Brucker a su donner à son travail toute la portée d'un enseignement utile et tout l'intérêt d'un drame habilement conduit et écrit de verve. La sûreté des aperçus et la profondeur des pensées annoncent que l'auteur a mûrement réfléchi aux sujets qu'il traite, tandis qu'il est facile de reconnaître à la grâce des détails, à la piquante finesse de l'observation, à l'entraînement et à l'éléganee du style, un talent exercé et plein de souplesse.

Nous emprunterons quelques lignes à la dédicace (M. Brucker a dédié son livre à son père); elles feront apprécier l'homme et l'écrivain : « Des profon« deurs désolées où nous plonge tous le néant de « l'éducation moderne, profondeurs dont on est

contraint de sortir sans étoile et sans boussole « dès que l'âme s'interroge avec anxiété sur le but < de la vie, j'ai, vous le savez, mon père, traversé ▲ successivement les diverses doctrines de mon < siècle, en faisant à chacune d'elles un stage que « je croyais chaque fois définitif. Les idées moulent < les mœurs; et, pour peu que nous ayons du sang dans les veines, nous appartenons corps et âme < au dogme qui nous inspire. L'histoire du temps < est tout entière dans ce peu de mots. J'ai franchi

« le seuil de ces ténèbres, et je l'ai franchi pour << jamais. Que Dieu préserve mes tristes enfants et

les leurs de ce pèlerinage affreux qui m'a si misé< rablement dérobé les trois quarts de ma force et « de ma vie! Après tant de stériles excursions, à « ballons perdus, au sein des brouillards de la spé<culation philosophique, lorsque, à la clarté loyale < du flambeau de l'Église, on aperçoit enfin la < route à prendre et l'étendue de ses devoirs, le « temps que l'on a si mal employé pèse double<ment dans les remords. Cette mobilité, je l'ai « subie, mon père; ne pensez pas que je l'aie vou« lue. L'enseignement ne m'avait rien offert. Il < m'avait dit: cherche!

«Mes vicissitudes au milieu de ce néant et ma « conversion m'ont posé comme un objet de scan« dale en face des partisans de la réforme et du « progrès indéfini, lesquels regardent probable<ment leur dogme comme une idée fixe. Je m'at<< tendais à plus de charité de leur part.

« Quand un d'eux me demande en raillant à quel < titre, ayant varié tant de fois, je puis être cer<tain de ne jamais revenir aux doctrines qu'il « professe, je lui réponds: C'est parce que j'y ai « passé!...»

Il serait à désirer que l'ouvrage de M. Brucker fut beaucoup lu, surtout par la jeunesse des écoles. Des écrits de ce genre servent puissamment à populariser les principes vrais; ils montrent l'écueil à éviter, la voie qu'il faut suivre, et le bien qu'ils font est la récompense de leurs auteurs.

R. B.

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