L'AMI DE LA RELIGION ET DU ROI; JOURNAL ECCLÉSIASTIQUE, Videte ne quis vos decipiat per philosophiam Prenez garde qu'on ne vous séduise par les faux ANNALES CATHOLIQUES. TOME QUATORZIÈME. Chaque vol. 7 fr. et 8 fr. franc de port. Chez Adrien LE CLERE, Imprimeur de N. S. P. le Pape et de M. DCC. XVIII. Maison de retraite près Carpentras. 26 Discours de M. Séguier à la rentrée de la cour royale.. 32 Le Génie de la révolution considéré dans l'éducation. Premier Convention du 11 juin 1817, lettre des évêques, discours du ministre de l'intérieur, et projet de loi. 65 Bulles relatives à la convention. 81 Du Concordat de 1817; par M. l'abbé Dillon. 97 Consistoire à Rome. 107 Quelques réflexions sur le projet de loi relatif au Concordat. 193 Maison de Refuge pour les jeunes prisonniers. Page 201 216 Avis sur les Moyens du salut, traduits du Sapientia christiana, de M. Arvisenet. 224 Le Génie de la révolution considéré dans l'éducation. Second article. 225 Lettre à M. de Chateaubriand, par M. Jarry-de-Mancy. 255 Second article. 257 Etablissement pour l'instruction des jeunes filles des campa gnes. 265 Quatre petits ouvrages de M. l'abbé Carron. 271 Vie politique, littéraire et morale de Voltaire; par M. Lepan. 273 Nouvelles réflexions sur le Concordat. 281 Des appels comme d'abus. 289 Instructions sur le Rituel; par M. le cardinal de la Luzerne. 305 Essai sur l'indifférence en matière de religion. 321 Essai historique sur les libertés de l'église gallicane; par M. Grégoire. 337 Service du 21 janvier. 349 Histoire de Fénélon, par M. le cardinal de Bausset. 353 Sur les difficultés qu'on oppose au Concordat. 361 Sacre d'un évêque pour la Chine. 363 et 393 Instructions sur le Rituel; par M. le cardinal de la Luzerne. Second article. 369 Sur les prêtres de Saint-Lazare. 377 Le Concordat justifié; par M. Clausel: et Lettre à M. Lan (Mercredi 12 novembre 1817.) (No. 340). L'AMI DE LA RELIGION ET DU ROI. Abrégé des Mémoires pour servir à l'Histoire du jacobinisme; par M. l'abbé Barruel. Nouvelle édition (1). Il est assez étonnant qu'il ait été nécessaire de prouver qu'avant la révolution une conspiration avoit éclaté contre le trône et l'autel, et que dans ces derniers temps même on ait prétendu contester un fait aussi manifeste. Cette conspiration existoit depuis trente ou quarante ans, elle étoit notoire, elle avoit éclaté de la manière la moins équivoque. Tant d'écrivains qui, pendant cet intervalle, s'étoient élevés contre la religion; l'Encyclopédie, la destruction des Jésuites, ce débordement de livres, de pamphlets, de compilations, de vers qui prêchoient la philosophie, et sapoient ou violemment ou à petit bruit les bases de l'édifice religieux et social, ne permettoient guère de douter de l'existence d'un complot et d'une réunion concertée de vues et d'efforts. Comment expliqueroit-on sans cela tant d'attaques portées à la fois au christia (1) 2 vol. in-12; prix, 6 fr. et 7 fr. 80 cent. franc de port. A Paris, au bureau du Journal. Tome XIV. L'Ami de la Religion et du Rot. A ) |