Oeuvres complètes de Jean Racine, Volume 1Raymond et Ménard, 1811 |
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Page xvi
... douleur , et qui , moins par défaut de lumières que d'applica- tion , n'ont guère en général d'autres sentiments que ceux qu'on leur inspire , suivirent le torrent , et continuèrent à dépriser Athalie sans l'avoir lue . Racine , étonné ...
... douleur , et qui , moins par défaut de lumières que d'applica- tion , n'ont guère en général d'autres sentiments que ceux qu'on leur inspire , suivirent le torrent , et continuèrent à dépriser Athalie sans l'avoir lue . Racine , étonné ...
Page 9
... Soutiens - moi ; ma douleur est extrême . ÉTÉOCLE . Madame , qu'avez - vous ? et quel trouble .... JOCASTE . Ah ! mon fils , Quelles traces de sang vois - je sur vos habits ? Est - ce du sang d'un frère , ou n'est ACTE I , SCENE II . 9.
... Soutiens - moi ; ma douleur est extrême . ÉTÉOCLE . Madame , qu'avez - vous ? et quel trouble .... JOCASTE . Ah ! mon fils , Quelles traces de sang vois - je sur vos habits ? Est - ce du sang d'un frère , ou n'est ACTE I , SCENE II . 9.
Page 23
... vu soumis , Voyant des deux côtés ses plus tendres amis ! Mille objets de douleur déchiroient mes entrailles ; J'en voyois et dehors et dedans nos murailles : Chaque assaut à mon cœur livroit mille combats , Et LES FRERES ENNEMIS . 23.
... vu soumis , Voyant des deux côtés ses plus tendres amis ! Mille objets de douleur déchiroient mes entrailles ; J'en voyois et dehors et dedans nos murailles : Chaque assaut à mon cœur livroit mille combats , Et LES FRERES ENNEMIS . 23.
Page 24
... affreuse guerre il abhorre l'image , Je l'ai vu soupirer de douleur et de rage , Lorsque , pour remonter au trône paternel , On le força de prendre un chemin si cruel , Espérons que le ciel , touché de nos misères , 24 LES FRERES ENNEMIS .
... affreuse guerre il abhorre l'image , Je l'ai vu soupirer de douleur et de rage , Lorsque , pour remonter au trône paternel , On le força de prendre un chemin si cruel , Espérons que le ciel , touché de nos misères , 24 LES FRERES ENNEMIS .
Page 38
... douleur il met quelque intervalle : Mais , hélas ! quand sa main semble me secourir C'est alors qu'il s'apprête à me faire périr . Il a mis cette nuit quelque fin à mes larmes , Afin qu'à mon réveil je visse tout en armes . S'il me ...
... douleur il met quelque intervalle : Mais , hélas ! quand sa main semble me secourir C'est alors qu'il s'apprête à me faire périr . Il a mis cette nuit quelque fin à mes larmes , Afin qu'à mon réveil je visse tout en armes . S'il me ...
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Expressions et termes fréquents
AGRIPPINE ALBINE Alexandre allez amant amitié amour ANDROMAQUE ANTIGONE arrêter ATTALE avoit AXIANE bientôt bras BRITANNICUS BURRHUS CÉPHISE César charmes cher chercher CHICANEAU ciel CLÉOFILE CLÉONE cœur colère combat COMTESSE connois connoître courage courroux cours crainte Créon crime cruel d'Alexandre d'Hector DANDIN desirs dessein diadème dieux dois-je douleur enfin ennemis ÉPHESTION Epire ÉTÉOCLE étoit fils flatte foible frère funeste fureur gloire grace Grecs haine Hélas Hémon HERMIONE héros ISABELLE j'ai JOCASTE jour JUNIE l'amour l'empire L'INTIMÉ laisse larmes LÉANDRE lieux m'en Madame madame de Maintenon main maître malheur moi-même Monsieur mort mourir NARCISSE Néron OLYMPE ORESTE paix père PETIT JEAN peuple peut-être Phoenix pleurs POLYNICE Porus prince princesse PYLADE Pyrrhus qu'un Racine régner rien rival rois s'il sais sang SCÈNE PREMIÈRE Seigneur seroit seul sœur soins sort soupirs TAXILE Thébains Thèbes tragédie trépas trône tyran vainqueur vais venger veut veux victoire vois voulez-vous vous-même yeux
Fréquemment cités
Page 204 - S'il me perd, je prétends qu'il me retrouve en toi. Si d'un heureux hymen la mémoire t'est chère , Montre au fils à quel point tu chérissois le père".
Page 382 - Seigneur, j'ai tout prévu pour une mort si juste; Le poison est tout prêt. La fameuse Locuste A redoublé pour moi ses soins officieux : Elle a fait expirer un esclave à mes yeux: Et le fer est moins prompt pour trancher une vie, Que le nouveau poison que sa main me confie.
Page 404 - Tais-toi, perfide, Et n'impute qu'à toi ton lâche parricide. Va faire chez tes Grecs admirer ta fureur : Va, je la désavoue, et tu me fais horreur. Barbare, qu'as-tu fait? Avec quelle furie As-tu tranché le cours d'une si belle vie?
Page 230 - Grâce aux dieux, mon malheur passe mon espérance ! Oui, je te loue, ô ciel, de ta persévérance ! Appliqué sans relâche au soin de me punir, Au comble des douleurs tu m'as fait parvenir...
Page 385 - Pour toute ambition , pour vertu singulière , II excelle à conduire un char dans la carrière , A disputer des prix indignes de ses mains, A se donner lui-même en spectacle aux Romains...
Page 340 - ... approuver, Je m'excite contre elle, et tâche à la braver : Mais, je t'expose ici mon âme toute nue, Sitôt que mon malheur me ramène à sa vue, Soit que je n'ose encor démentir le pouvoir De ces yeux où j'ai lu si longtemps mon devoir, Soit qu'à tant de bienfaits ma mémoire fidèle Lui soumette en secret tout ce que je tiens d'elle ; Mais enfin mes efforts ne me servent de rien : Mon génie étonné tremble devant le sien.
Page 421 - De quel front oserais-je me montrer, pour ainsi dire, aux yeux de ces grands hommes de l'antiquité que j'ai choisis pour modèles? Car, pour me servir de la pensée d'un ancien, voilà les véritables spectateurs que nous devons nous proposer-, et nous devons sans cesse nous demander : « Que diraient Homère et Virgile, s'ils lisaient ces vers? que dirait Sophocle...
Page 196 - Avec lui dans la tombe elle s'est enfermée. Mais il me reste un fils... Vous saurez quelque jour, Madame, pour un fils jusqu'où va notre amour; Mais vous ne saurez pas, du moins je le souhaite, En quel trouble mortel son intérêt nous jette , Lorsque, de tant de biens qui pouvaient nous flatter, C'est le seul qui nous reste, et qu'on veut nous l'ôter.
Page 379 - C'est à vous à choisir, vous êtes encor maître. Vertueux jusqu'ici, vous pouvez toujours l'être: Le chemin est tracé, rien ne vous retient plus ; Vous n'avez qu'à marcher de vertus en vertus. Mais si de vos flatteurs vous suivez la maxime, II vous faudra, Seigneur, courir de crime en crime, Soutenir vos rigueurs par d'autres cruautés, Et laver dans le sang vos bras ensanglantés.
Page 301 - L'INTIMÉ, d'un ton pesant. Puis donc qu'on nous permet de prendre Haleine, et que l'on nous défend de nous étendre, Je vais, sans rien omettre et sans prévariquer, Compendieusement énoncer, expliquer, Exposer à vos yeux l'idée universelle De ma cause, et des faits renfermés en icelle.