Les femmes: leur condition et leur influence dans l'ordre social chez différents peuples anciens et modernes, Volume 2Treuttel et Wurtz ...et à Strassbourg, 1803 - 345 pages |
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Les femmes, leur condition et leur influence dans l'ordre social ..., Volume 2 Alexandre Joseph P. vicomte de Ségur Affichage du livre entier - 1803 |
Les femmes, leur condition et leur influence dans l'ordre social ..., Volume 2 Alexandre-Joseph-Pierre de Ségur Affichage du livre entier - 1825 |
Les femmes, leur condition et leur influence dans l'ordre social ..., Volume 2 Alexandre-Joseph-Pierre de Ségur Affichage du livre entier - 1828 |
Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 104 - Elle en avait une même dans l'esprit, qui avait ses charmes, parce qu'elle avait, si l'on peut le dire, des réveils lumineux et surprenants. Elle eût eu peu de défauts, si la galanterie ne lui en eût donné beaucoup. Comme sa passion l'obligea de ne mettre la politique qu'en second dans sa conduite , d'héroïne d'un grand parti, elle en devint l'aventurière.
Page 68 - Adieu, plaisant pays de France ! O ma patrie La plus chérie ; Qui a nourri ma jeune enfance ! Adieu, France ! adieu mes beaux jours. La nef qui disjoint nos amours N'a cy de moi que la moitié ; Une part te reste, elle est tienne ; Je la fie à ton amitié, Pour que de l'autre il te souvienne.
Page 141 - Il est vrai qu'elle n'épargnait personne, très souvent sans autre dessein que de divertir le roi, et, comme elle avait infiniment d'esprit, de tour et de plaisanterie fine, rien n'était plus dangereux que les ridicules qu'elle donnait mieux que personne.
Page 66 - J'ai été votre maîtresse , parce que je « vous aimais ; je ne souffrirai pas qu'un « arrêt me déclare votre concubine.
Page 90 - lysant ma lettre. Je m'assure que cette « mémoire du passé vous fera m'épargner « tout ce qui vous sera présent. Pour « le moins an faisiés ainsi en Ira verH sant les chemins , où j'ai tant passé
Page 191 - Certe» , la perfection serait d'unir une condufte décente à des mœurs pures. Mais comme on ne doit compte qu'à sa conscience et à sa famille, de ce que l'on fait chez soi , peut-être le scandale est-il le plus grand mal que l'on puisse faire à la morale publique. La Rochefoucault a dit que l'hypocrisie était un hommage que le vice rendait à la vertu. mot , le décorum était observé ; mais il restait les Petites-Maisons. Je me rappelle une anecdote relative à ces Petites-Maisons. Peut-être...
Page 127 - Monsieur alla au-devant d'elle, avec tous les empressements imaginables, et continua jusqu'à son mariage à lui rendre des devoirs, auxquels il ne manquait que de l'amour ; mais le miracle d'enflammer le cœur de ce prince n'était réservé à aucune femme du monde.
Page 53 - Ces reproches touchèrent tellement le monarque, qu'il prit les armes pour satisfaire à la fois son amour et sa juste ambition.
Page 75 - ... fondement religieux. Pour comble d'inconséquence, elle se fit chef de la religion, sous le nom de Souveraine gouvernante de l'église d'Angleterre pour le spirituel et pour le temporel. Les prélats qui s'opposèrent à ces nouveautés,. furent chassés de leurs églises; mais la plupart obéirent.
Page 151 - Saint-Jacques, où elle fit profession, le 4 juin de l'année suivante , en présence de la reine et de toute la cour, sous le nom de sœur Louise de la Miséricorde.