1792-1794Au Bureau du Populaire, 1845 |
Expressions et termes fréquents
10 août accusation applaudissements Aristocrates armées arrêter attaquer Autrichiens Barbaroux Billaud-Varennes Brissot Brunswick Buzot calomnies Champ-de-Mars chef citoyens Coalition Comité de Salut Comité de Surveillance Commissaires Commission Commune complices condamnation conspiration Constitution Convention Convention nationale Cordeliers coupables courage crie crime d'Orléans Danton déchéance déclare décret demande dénonce Départements Députés Desmoulins dévouement Dictature dit-il Dumouriez Émigrés ennemis envoie exciter Fédérés fureur Garde nationale Général Giron Girondins Guadet guerre civile Hébert hommes insurrection Jacobins jours jugement justice l'accusation l'armée l'Assemblée l'Égalité l'insurrection Lafayette Lanjuinais Législative liberté Louis XVI Louvet Lyon Madame Roland Marat Marseille massacrer menace ment Ministre modération Montagnards mort partout Patrie patriotes péril Pétion pétition Peuple politique populaire Prêtres proclamation projet Prussiens publique repousser Républicains République Révolution révolutionnaire Robespierre Rois Roland Royalistes Royauté Saint-Just Salut public sauver scélérats Sections septembre sera seul Thiers tion trahison traîtres Tribunal Tribunal révolutionnaire tribune Tyran Vendée Vendéens Vergniaud veulent veut vote
Fréquemment cités
Page 451 - Ceux qui font la guerre à un peuple pour arrêter les progrès de la liberté et anéantir les droits de l'homme doivent être poursuivis par tous, non comme des ennemis ordinaires, mais comme des assassins et des brigands rebelles.
Page 477 - Dès ce moment jusqu'à celui où les ennemis auront été chassés du territoire de la République, tous les Français sont en réquisition permanente pour le service des armées. Les jeunes gens iront au combat ; les hommes mariés forgeront les armes et transporteront les subsistances ; les femmes feront des tentes, des habits...
Page 259 - La" révision commença sous ces auspices cruels ; tous les genres de corruption furent employés; vous avez payé des libelles, des pamphlets, des journaux destinés à pervertir l'opinion publique, à discréditer les assignats, et à soutenir la cause des émigrés. Les registres de Septeuil indiquent quelles sommes énormes ont été employées à ces manœuvres liberticides.
Page 259 - Louis , le peuple français vous accuse d'avoir commis une multitude de crimes pour établir votre tyrannie en détruisant sa liberté. » Vous avez , le 20 juin 1789, attenté à la souveraineté du peuple en suspendant les assemblées de ses représentants , et en les repoussant par la violence du lieu de leurs séances.
Page 97 - ... qui lui ont paru indispensables pour retenir par la terreur les légions de traîtres cachés dans ses murs, au moment où il allait marcher à l'ennemi; et sans doute la nation entière, après la longue suite de trahisons qui l'ont conduite sur les bords de l'abîme, s'empressera d'adopter ce moyen si nécessaire de salut public, et tous les Français s'écrieront comme les Parisiens : « Nous marchons à l'ennemi, mais nous ne laisserons pas derrière nous...
Page 14 - Elle est peut-être renversée ; mais vous ne recueillerez pas le fruit de votre parjure ! Vous ne vous êtes point opposé par un acte formel aux victoires qui se remportaient en votre nom sur la liberté ; mais vous ne recueillerez point le fruit de ces indignes triomphes ! Vous n'êtes plus rien pour cette Constitution , que vous avez si indignement violée , pour ce peuple , que vous avez si lâchement trahi ! ( Applaudissemens réitérés.
Page 254 - On s'étonnera un jour qu'au dix-huitième siècle on ait été moins avancé que du temps de César : là le tyran fut immolé en plein sénat, sans autre formalité que vingt-trois coups de poignard, et sans autre loi que la liberté de Rome ; et aujourd'hui l'on fait avec respect le procès d'un homme assassin d'un peuple, pris en flagrant délit...
Page 287 - La convention nationale déclare Louis Capet, dernier roi des Français, coupable de conspiration contre la liberté de la nation, et d'attentat contre la sûreté générale de l'État.
Page 361 - ... silence les amertumes dont on m'abreuve depuis six mois; si j'ai su sacrifier à ma patrie les plus justes ressentiments. Vous savez si, sous peine de lâcheté, sous peine de m'avouer coupable, sous peine de compromettre le peu de bien qu'il m'est encore permis d'espérer de faire, j'ai pu me dispenser de mettre dans tout leur jour les impostures et la méchanceté de Robespierre. Puisse cette journée être la dernière que nous perdions en débats scandaleux.
Page 101 - Hier! fut un jour sur les événements duquel il faut peut-être laisser un voile. Je sais que le peuple, terrible dans sa vengeance, y porte encore une sorte de justice ; il ne prend pas pour victime tout ce qui se présente à sa fureur : il la dirige sur ceux qu'il croit avoir été trop...