Introduction. De l'étymologie de la langue française, de la grammaire française et de la correction des vieux textes. De la poésie épique dans la société féodale. La poésie homérique et l'ancienne poésie française. Étude sur Dante

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Didier, 1878

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Fréquemment cités

Page 281 - Villon sut le premier, dans ces siècles grossiers, Débrouiller l'art confus de nos vieux romanciers.
Page 413 - Nel mezzo del cammin di nostra vita, Mi ritrovai per una selva oscura Che la diritta via era smarrita.
Page 413 - Ahi quanto a dir qual era, è cosa dura , Questa selva selvaggia ed aspra e forte, Che nel pensier rinnova la paura ! Tanto è amara , che poco è più morte ; Ma per trattar del ben, ch' i' vi trovai, Dirò dell' altre cose ch' io v' ho scorte. l' non so ben ridir com' io v' entrai ; Tant' era pien di sonno in su quel punto, Che la verace via abbandonai.
Page 340 - Gardez qu'une voyelle à courir trop hâtée Ne soit d'une voyelle en son chemin heurtée.
Page 98 - A mon tour, venant, par la série de ces études, à m'occuper du débat ouvert, j'y prends une position intermédiaire, pensant que, essentiellement, c'est la tradition latine qui domine dans les langues romanes , mais que l'invasion germanique leur a porté un rude coup, et que, de ce conflit où elles ont failli succomber et avec elles la civilisation, il leur est resté des cicatrices encore apparentes et qui sont, à un certain point de vue, ces nuances germaniques signalées par M.
Page 203 - M. Jonckbloet n'a là-dessus aucune variante. Cependant le texte ne me paraît pas admissible. Comment serait-il possible que Guillaume, qui est un loyal baron, avouât...
Page 403 - ... liquidi laghi alberga il fondo, e chi si giace in tana o in mandra ascoso, ei pinti augelli, ne l'oblio profondo sotto il silenzio de' secreti orrori sopian gli affanni e raddolciano i cori.
Page 422 - Sì che ogni parte ad ogni parte splende i), Distribuendo ugualmente la luce : Similemente agli splendor mondani Ordinò general ministra e duce, Che permutasse a tempo li ben vani Di gente in gente e d'uno in altro sangue, .Oltre la difension de
Page 111 - Quant à l'allégation que les langues romanes proviennent du parler populaire qui avait cours, à côté du latin •littéral, dès les plus beaux temps de la langue, cela non plus n'est vrai que dans des limites assez étroites. Sans doute, elles ont des traces du parler populaire; mais j'ai déjà rappelé ' que ce parler avait souvent un caractère de néologisme incompatible avec l'allégation dont il s'agit.
Page xxvi - ... assujettit. Elle élimine aussi l'intervention germanique, que d'après l'histoire on aurait pu croire bien plus grande; en fait de langue l'élément germanique est purement néologique; et, si je puis ici transporter les termes de la physiologie, il est de juxtaposition, non d'intussusception ; il apporte un certain nombre de mots, il n'apporte pas des actions organiques qui dérangent la majestueuse régularité de la formation romane.

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