Nouvelles lecons de litterature francaise: traductions diverses, morceaux et extraits de nos meilleurs ouvrages modernesA. Everat, 1835 - 476 pages |
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Page 91
... pauvre enfant ! J'allais donc sur la route , cahoté dans une mauvaise voiture , regardant avec ad- miration tout ce qui se passait dans le chemin ; avide de tout voir , prêtant l'o- reille à tout ce qui se disait , admirant tout sur ouï ...
... pauvre enfant ! J'allais donc sur la route , cahoté dans une mauvaise voiture , regardant avec ad- miration tout ce qui se passait dans le chemin ; avide de tout voir , prêtant l'o- reille à tout ce qui se disait , admirant tout sur ouï ...
Page 93
... pauvre , je les voyais de la porte du col- lége s'élancer dans le monde , sans savoir même où j'irais coucher le soir ! ? Que j'en ai vu mourir ainsi de plus joyeux , de plus heureux que moi ! les uns sont morts sur la mer , pendant le ...
... pauvre , je les voyais de la porte du col- lége s'élancer dans le monde , sans savoir même où j'irais coucher le soir ! ? Que j'en ai vu mourir ainsi de plus joyeux , de plus heureux que moi ! les uns sont morts sur la mer , pendant le ...
Page 94
... pauvre , pauvre et inconnue comme moi . G 13 110 { } = Quelle femme ! à l'âge où l'on s'arrange pour mourir , à l'âge du repos et des longs rêves , elle avait tout quitté pour venir à moi dans la foule . Elle avait quitté sa maison bien ...
... pauvre , pauvre et inconnue comme moi . G 13 110 { } = Quelle femme ! à l'âge où l'on s'arrange pour mourir , à l'âge du repos et des longs rêves , elle avait tout quitté pour venir à moi dans la foule . Elle avait quitté sa maison bien ...
Page 96
... pauvre , c'est le cheval anglais qui vous mène au bois de Boulogne le matin ; c'est votre ami le colonel à ... pauvre enfant ? Tu te prépares bien des chagrins , et puis cela coûte toujours ! Ainsi parlait ma tante . Nos disputes ...
... pauvre , c'est le cheval anglais qui vous mène au bois de Boulogne le matin ; c'est votre ami le colonel à ... pauvre enfant ? Tu te prépares bien des chagrins , et puis cela coûte toujours ! Ainsi parlait ma tante . Nos disputes ...
Page 97
... pauvre frère , empoisonné par ordre de notre nouveau propriétaire , dont je donnerais le nom ici , s'il n'avait échappé par la mort à la ven- geance d'Azor . Pauvre Azor ! Qui m'aurait dit , dans ce temps - là , qu'un jour ce chien ...
... pauvre frère , empoisonné par ordre de notre nouveau propriétaire , dont je donnerais le nom ici , s'il n'avait échappé par la mort à la ven- geance d'Azor . Pauvre Azor ! Qui m'aurait dit , dans ce temps - là , qu'un jour ce chien ...
Expressions et termes fréquents
Anglais Angleterre arriva assez avaient beau bois Bourbon bras Brisquet bruit c'était Charlemagne chemin de fer cher cheval chose ciel cœur comte côté coup devant Dieu donner Écosse Édimbourg Égypte élevé enfans espèce eût Federigo femme Fénelon fille fils force gens habitans Henri Henri IV heures heureux hommes houille huit j'ai j'avais jamais jeter jeune jour journ jusqu'à l'eau l'empereur laissé larmes lieu long-temps lord Byron Louis-le-Grand machine machines à vapeur madame main maison malheureux matador ment mère mille hab millions monde mort n'avait n'était Napoléon nuit Paddington passer Paul pauvre peine pendant père peuple picador pieds pleurer pont Port-Louis porte pouvait Premier accessit prince prison qu'un quatre reste rien Rollin route Russie s'était Saint-Étienne Saint-Louis seigneur sent sera seul Silvio Pellico soldats sort terre tête tion tombe tour trouve vaisseau vapeur vingt Virginie voilà voitures Walter Scott yeux
Fréquemment cités
Page 344 - Comme il disait ces mots , Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L'arbre tient bon ; le roseau plie. Le vent redouble ses efforts , Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine , Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts.
Page 339 - Mais elle était du monde, où les plus belles choses Ont le pire destin, Et rosé elle a vécu ce que vivent les rosés, L'espace d'un matin.
Page 335 - O bienheureux celui qui peut de sa mémoire Effacer pour jamais ce vain espoir de gloire, Dont l'inutile soin traverse nos plaisirs, Et qui, loin, retiré de la foule importune, Vivant dans sa maison content de sa fortune, A selon son pouvoir mesuré ses désirs.
Page 278 - A cette terrible vue, le matelot s'élança seul à la mer; et Virginie, voyant la mort inévitable , posa une main sur ses habits , l'autre sur son cœur, et , levant en haut des yeux sereins , parut un ange qui prend son vol vers les cieux.
Page 370 - S'efface sous les pleurs qui tombent de nos yeux ! Qu'un monument s'élève aux lieux de ta naissance, O toi, qui des vainqueurs renversas les projets ! La France y portera son deuil et ses regrets, Sa tardive reconnaissance ; Elle y viendra gémir sous de jeunes cyprès : Puissent croître avec eux ta gloire et sa puissance ! Que sur l'airain funèbre on grave des combats, Des étendards anglais fuyant devant tes pas, Dieu vengeant par tes mains la plus juste des causes.
Page 14 - ... avait relevé la haute contenance, à qui la clémence ajoutait de nouvelles grâces ! Qu'il eût encore volontiers sauvé la vie au brave comte de Fontaines ! mais il se trouva par terre parmi ces milliers de morts dont l'Espagne sent encore la perte.
Page 13 - A la nuit, qu'il fallut passer en présence des ennemis, comme un vigilant capitaine, il reposa le dernier, mais jamais il ne reposa plus paisiblement. A la veille d'un si grand jour, et dès la première .bataille, il est tranquille, tant il se trouve dans son naturel; et on sait que le lendemain, à l'heure marquée, il fallut réveiller d'un profond sommeil cet autre Alexandre.
Page 348 - C'est moi qui, si long-temps le plaisir de vos yeux, Vous ai fait de ce nom remercier les dieux ; Et pour qui, tant de fois prodiguant vos caresses, Vous n'avez point du sang dédaigné les faiblesses.
Page 368 - A qui réserve-t-on ces apprêts meurtriers , Pour qui ces torches qu'on excite ? L'airain sacré tremble et s'agite D'où vient ce bruit lugubre , où courent ces guerriers...
Page 340 - Mon Dieu ! des mœurs du temps mettons-nous moins [en peine, Et faisons un peu grâce à la nature humaine; Ne l'examinons point dans la grande rigueur, Et voyons ses défauts avec quelque douceur.