Essais de philosophie américaineCharpentier, 1851 - 311 pages |
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... pensée n'a pas été donnée à l'homme pour plaire aux pensées d'autrui et caresser ses habitudes . Mais , cependant , ce sont des mots nés de la politesse et de l'urbanité , inventés pour éviter les contradictions et tourner les ...
... pensée n'a pas été donnée à l'homme pour plaire aux pensées d'autrui et caresser ses habitudes . Mais , cependant , ce sont des mots nés de la politesse et de l'urbanité , inventés pour éviter les contradictions et tourner les ...
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... pensée , sans vous inquiéter de ce que pensent les autres . Ne redoutez pas non plus de passer pour non persistant dans votre opi- nion . Vouloir être toujours conséquent avec soi - même , c'est vouloir rattacher par des sophismes ce ...
... pensée , sans vous inquiéter de ce que pensent les autres . Ne redoutez pas non plus de passer pour non persistant dans votre opi- nion . Vouloir être toujours conséquent avec soi - même , c'est vouloir rattacher par des sophismes ce ...
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... pensée spontanée , nous atteignons à l'être , et en plon- geant dans la source de toute existence nous devons ou- blier nécessairement les temps et les lieux , les choses et les hommes . Cette foi dans la puissance de la sponta- néité ...
... pensée spontanée , nous atteignons à l'être , et en plon- geant dans la source de toute existence nous devons ou- blier nécessairement les temps et les lieux , les choses et les hommes . Cette foi dans la puissance de la sponta- néité ...
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... pensées . Cette source , c'est l'âme . L'âme , le principe pensant , est en dehors de T'homme . Il n'y a qu'une ... pensée . Et plus loin Emerson ajoute : « Il n'y a pas dans l'àme de muraille où l'homme - effet cesse , et où Dieu ...
... pensées . Cette source , c'est l'âme . L'âme , le principe pensant , est en dehors de T'homme . Il n'y a qu'une ... pensée . Et plus loin Emerson ajoute : « Il n'y a pas dans l'àme de muraille où l'homme - effet cesse , et où Dieu ...
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... pensée : « L'homme est la façade d'un temple où toute vertu et tout bien habitent ; ce n'est pas l'homme que nous ... pensées . >> — « Dieu , dit Malebranche , est le lieu des esprits comme l'espace est le lieu du corps . » Il n'y ...
... pensée : « L'homme est la façade d'un temple où toute vertu et tout bien habitent ; ce n'est pas l'homme que nous ... pensées . >> — « Dieu , dit Malebranche , est le lieu des esprits comme l'espace est le lieu du corps . » Il n'y ...
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Essais de philosophie Américaine: Traduits en français et précédés d'une ... Ralph Waldo Emerson Affichage du livre entier - 1851 |
Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 61 - avons déjà fait justice de celui qui a tué l'Espagnol , » que le père des Payaguas nous avoit envoyé. » Je leur répondis qu'ils pouvoient s'assurer de la grâce qu'ils demandoient ; que je n'étois pas venu dans leurs bois pour les faire esclaves , mais pour les rendre enfans d'un Dieu qui a créé le ciel et la terre , et qui est mort pour leur donner la vie ; que s'ils vouloient m'écouter , je les instruirois des vérités du salut , et que par le baptême je leur procurerois le plus...
Page 54 - Je me levais avec le soleil , et j'étais heureux; je me promenais, et j'étais heureux; je voyais maman, et j'étais heureux; je la quittais, et j'étais heureux ; je parcourais les bois , les coteaux , j'errais dans les vallons , je lisais , j'étais oisif, je travaillais au jardin, je cueillais les fruits, j'aidais au ménage, et le bonheur me suivait partout : il n'était dans aucune chose assignable, il était tout en moi-même, il ne pouvait me quitter un seul instant.
Page 54 - Encore si tout cela consistait en faits, en actions, en paroles, je pourrais le décrire et le rendre en quelque façon; mais comment dire ce qui n'était ni dit, ni fait, ni pensé même, mais goûté, mais senti, sans que je puisse énoncer d'autre objet de mon bonheur que ce sentiment même?
Page 20 - ... les autres aussi, mais c'est une autre histoire, dont nous parlerons tout à l'heure) ; donc le critérium qui vient d'être énoncé correspond bien à l'idée naturelle de simultanéité, telle que la conçoit l'observateur.
Page 68 - Du moment que nous nous adressons à Paul, nous sommes avec lui, nous adoptons son point de vue. Mais alors, voilà le boulet arrêté : c'est le canon, avec la Terre y attachée, qui fuit à travers l'espace. Tout ce que nous disions de Pierre, il faut maintenant que nous le répétions de Paul : le mouvement étant réciproque, les deux personnages sont interchangeables. Si, tout à l'heure, regardant à l'intérieur de la...
Page 37 - Le principe de conservation de l'énergie et celui de la conservation de la quantité de mouvement d'un système isolé (produit de la masse par la vitesse), qui sont distincts dans les anciennes théories, s'unissent ensemble dans les nouvelles : chacun d'eux est exact dans un système de référence déterminé et ne l'est plus lors d'un changement de système ; mais leur combinaison suivant une loi mathématique précise forme la conservation de V « impulsion d'Univers », qui est la loi fondamentale...
Page 88 - ... rayon-avant) qui coïncide avec le rayon que m'envoie le piquet bleu. Ce rayonavant atteint mon œil en même temps qu'un certain rayon venu de l'extrémité arrière du wagon (et que j'appelle pour simplifier rayon-arrière). Le rayon-arrière coïncide-t-il avec le rayon que m'envoie le piquet rouge ? Evidemment non : en effet le rayonavant s'éloigne de l'extrémité avant du wagon avec la même vitesse que le rayon-arrière de l'extrémité arrière (comme le constaterait un voyageur qui,...
Page 63 - ... sens (1). En particulier un retour aux idées de temps absolu et d'espace absolu, aux bases de l'ancienne mécanique, est absolument impossible, et ceux qui prétendent limiter la portée ou la signification de l'œuvre d'Einstein sont ceux qui ne l'ont pas comprise. « hyperbolique » de de Sitter résulte d'une généralisation à 4 dimensions de l'espace sphérique qui en a 3, en changeant de signe le terme correspondant au « temps ». (1) Déjà des savants ont essayé de pousser plus loin...
Page 112 - C'est ce que j'ai appelé le principe des temps propres. Ce principe est suffisant pour pouvoir appliquer correctement aux phénomènes physiques, chimiques et physiologiques les lois de la Relativité. M. BERTHELOT. — « A lire Einstein, on croirait que « les hommes ne communiquent entre eux que par « signaux lumineux. Qui nous empêche de raisonner « de même pour les autres sens ? Un auditeur qui « s'éloigne d'un concert à raison de 340 mètres par « seconde, entend indéfiniment la même...
Page 94 - Si on met un métaphysicien sur la voie du train d'Einstein avec ses deux miroirs conjugués, et s'il constate qu'il perçoit les deux éclairs en même temps, il sera obligé de constater que les deux éclairs sont effectivement simultanés, et que cette simultanéité est bien conforme au