Nouvelles lecons de litterature francaise: traductions diverses, morceaux et extraits de nos meilleurs ouvrages modernesA. Everat, 1835 - 476 pages |
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... reste de chaleur et de vie . Bientôt l'on rencontre une foule d'hom- mes de tous les corps , tantôt isolés , tantôt par troupes . Ils n'avaient point quitté là- chement leurs drapeaux , c'était le froid , l'inanition qui les avait ...
... reste de chaleur et de vie . Bientôt l'on rencontre une foule d'hom- mes de tous les corps , tantôt isolés , tantôt par troupes . Ils n'avaient point quitté là- chement leurs drapeaux , c'était le froid , l'inanition qui les avait ...
Page 48
... reste , et décidèrent par cette charge vigoureuse du combat qui traînait indécis . Tchitchakof , vaincu par Ney , fut re- poussé dans Stachowa . La plupart des gé- néraux du deuxième corps furent atteints ; car , moins ils avaient de ...
... reste , et décidèrent par cette charge vigoureuse du combat qui traînait indécis . Tchitchakof , vaincu par Ney , fut re- poussé dans Stachowa . La plupart des gé- néraux du deuxième corps furent atteints ; car , moins ils avaient de ...
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... reste attendit les Russes . Witt- genstein ne parut sur les hauteurs qu'une heure après le départ d'Eblé , et sans avoir remporté la victoire il en recueillit les fruits . Pendant que cette catastrophe s'accom- plissait , les restes de ...
... reste attendit les Russes . Witt- genstein ne parut sur les hauteurs qu'une heure après le départ d'Eblé , et sans avoir remporté la victoire il en recueillit les fruits . Pendant que cette catastrophe s'accom- plissait , les restes de ...
Page 57
... reste de son corps n'était pas encore arrivé . L'armée ennemie était nombreuse , la cavalerie était belle , et tous les corps ma- nœuvraient avec rapidité et précision . Na- poléon eût désiré pouvoir retarder l'atta- taque de quelques ...
... reste de son corps n'était pas encore arrivé . L'armée ennemie était nombreuse , la cavalerie était belle , et tous les corps ma- nœuvraient avec rapidité et précision . Na- poléon eût désiré pouvoir retarder l'atta- taque de quelques ...
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... reste je l'avais déjà . - C'est vrai . Mais assurément ce n'est pas moi qui vous ai donné une hache . Je ne vous en demande pas davantage . Rappe- lez - vous seulement que je suis un pauvre homme et que j'ai une nombreuse famille à ...
... reste je l'avais déjà . - C'est vrai . Mais assurément ce n'est pas moi qui vous ai donné une hache . Je ne vous en demande pas davantage . Rappe- lez - vous seulement que je suis un pauvre homme et que j'ai une nombreuse famille à ...
Expressions et termes fréquents
arriva assez avaient Bagha banderilles Barmécides beau Benningsen Bonneval Bourbon bras bruit c'était calife cent Charlemagne chemin de fer cher cheval chose ciel cœur comte corps côté coup devant Dieu dit-il donner Écosse Édimbourg Égypte enfans espèce eût faisait Federigo femme fille fils force Gallois Gudule habitans Henri Henri IV heures homme houille j'ai j'avais jaguar jamais jeter jeune jour journ Kardan Kingsburg l'empereur laisser larmes long-temps Louis-le-Grand madame Mahiette mahout main maison malheureux matador ment mère mille hab millions monde montagnes mort Munnich n'avait n'était Napoléon nuit Paddington Pahlen passer Paul pauvre peine pendant père petite peuple picador Pictes pieds pleurer porte pouvait Premier accessit prince prison qu'un regard reste rhinocéros rien Russie s'était Saint-Étienne seigneur sent serait seul shérif soldats sort taureau terre tête tion tombe tour trouve vaisseau vapeur venait Virginie voilà voitures voix Walter Scott yeux
Fréquemment cités
Page 344 - Comme il disait ces mots , Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L'arbre tient bon ; le roseau plie. Le vent redouble ses efforts , Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine , Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts.
Page 339 - Mais elle était du monde, où les plus belles choses Ont le pire destin, Et rosé elle a vécu ce que vivent les rosés, L'espace d'un matin.
Page 335 - O bienheureux celui qui peut de sa mémoire Effacer pour jamais ce vain espoir de gloire, Dont l'inutile soin traverse nos plaisirs, Et qui, loin, retiré de la foule importune, Vivant dans sa maison content de sa fortune, A selon son pouvoir mesuré ses désirs.
Page 278 - A cette terrible vue, le matelot s'élança seul à la mer; et Virginie, voyant la mort inévitable , posa une main sur ses habits , l'autre sur son cœur, et , levant en haut des yeux sereins , parut un ange qui prend son vol vers les cieux.
Page 370 - S'efface sous les pleurs qui tombent de nos yeux ! Qu'un monument s'élève aux lieux de ta naissance, O toi, qui des vainqueurs renversas les projets ! La France y portera son deuil et ses regrets, Sa tardive reconnaissance ; Elle y viendra gémir sous de jeunes cyprès : Puissent croître avec eux ta gloire et sa puissance ! Que sur l'airain funèbre on grave des combats, Des étendards anglais fuyant devant tes pas, Dieu vengeant par tes mains la plus juste des causes.
Page 14 - ... avait relevé la haute contenance, à qui la clémence ajoutait de nouvelles grâces ! Qu'il eût encore volontiers sauvé la vie au brave comte de Fontaines ! mais il se trouva par terre parmi ces milliers de morts dont l'Espagne sent encore la perte.
Page 13 - A la nuit, qu'il fallut passer en présence des ennemis, comme un vigilant capitaine, il reposa le dernier, mais jamais il ne reposa plus paisiblement. A la veille d'un si grand jour, et dès la première .bataille, il est tranquille, tant il se trouve dans son naturel; et on sait que le lendemain, à l'heure marquée, il fallut réveiller d'un profond sommeil cet autre Alexandre.
Page 348 - C'est moi qui, si long-temps le plaisir de vos yeux, Vous ai fait de ce nom remercier les dieux ; Et pour qui, tant de fois prodiguant vos caresses, Vous n'avez point du sang dédaigné les faiblesses.
Page 368 - A qui réserve-t-on ces apprêts meurtriers , Pour qui ces torches qu'on excite ? L'airain sacré tremble et s'agite D'où vient ce bruit lugubre , où courent ces guerriers...
Page 340 - Mon Dieu ! des mœurs du temps mettons-nous moins [en peine, Et faisons un peu grâce à la nature humaine; Ne l'examinons point dans la grande rigueur, Et voyons ses défauts avec quelque douceur.