Vie et caractère de Napoléon Bonaparte par W.E. Channing et R.W. EmersonF. Van Meenen, 1857 - 178 pages |
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... vertu , comme les seules bases d'une sage politique et de la prospérité publi- que , et qui par dessus tout est si bien imbu de l'esprit du Christ et de l'esprit de Dieu , qu'il n'oublie jamais que sa patrie particulière est seulement ...
... vertu , comme les seules bases d'une sage politique et de la prospérité publi- que , et qui par dessus tout est si bien imbu de l'esprit du Christ et de l'esprit de Dieu , qu'il n'oublie jamais que sa patrie particulière est seulement ...
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... vertu d'un principe interne , en vertu de sa conscience toujours grandissante . Ses attributs propres et les plus relevés sont le gouvernement de soi - même , le respect de soi - même , la force de la pensée , la force de choisir le ...
... vertu d'un principe interne , en vertu de sa conscience toujours grandissante . Ses attributs propres et les plus relevés sont le gouvernement de soi - même , le respect de soi - même , la force de la pensée , la force de choisir le ...
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... vertu , c'est qu'elle est un acte li- bre , le produit ou le résultat de ce pouvoir qu'a l'es- prit de se déterminer soi - même . Ce n'est pas un bon sentiment , infusé par la nature ou communiqué par la sympathie ; ce n'est pas une ...
... vertu , c'est qu'elle est un acte li- bre , le produit ou le résultat de ce pouvoir qu'a l'es- prit de se déterminer soi - même . Ce n'est pas un bon sentiment , infusé par la nature ou communiqué par la sympathie ; ce n'est pas une ...
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... vertu comme consistant dans l'empire sur soi - même , que l'Écriture parle d'elle comme consistant dans l'obéissance à Dieu . Mais ce sont là des idées parfaitement compatibles et en harmonie l'une avec l'autre ; car la véritable ...
... vertu comme consistant dans l'empire sur soi - même , que l'Écriture parle d'elle comme consistant dans l'obéissance à Dieu . Mais ce sont là des idées parfaitement compatibles et en harmonie l'une avec l'autre ; car la véritable ...
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... vertu . C'est , nous le redoutons , un acte de déloyauté envers ce principe moral qu'il faut toujours respecter comme le représentant de Dieu dans l'âme douée de raison . Peut - être quelques uns craindront - ils , que dans notre zèle ...
... vertu . C'est , nous le redoutons , un acte de déloyauté envers ce principe moral qu'il faut toujours respecter comme le représentant de Dieu dans l'âme douée de raison . Peut - être quelques uns craindront - ils , que dans notre zèle ...
Expressions et termes fréquents
Arcole armée armée française assez aurait pu avaient avons bataille c'était campagne de Russie CARACTÈRE DE NAPOLÉON cause Channing chose classe cœur confiance conscience conviction courage crimes despotisme devait Dieu domination duc d'Enghien égoïsme égoïste élevé Emerson empire énergie époque espèce esprit ètre facultés fluence force FRANÇOIS VAN MEENEN général génie glaive gloire gouvernement grandeur guerre hommes influence institutions intel intérêts jamais justice l'amour du pouvoir l'empire l'énergie l'esprit humain l'Europe l'histoire l'homme l'homme de guerre l'humanité l'intelligence liberté libre lois lord Elgin lui-même Mahomet mains manière mème ment militaire millions d'hommes monde moyens n'était Napoléon Bonaparte nations nature humaine nous-mêmes obstacles pable passion pays pensée personne peuple politique pouvons premier Consul principal principe privée propre puissance qu'un race humaine religion respect ressort révolution Sainte Alliance Sainte-Hélène sang semble sentiment moral seul société soldats souf souverains sympathie talent tion tisme triomphe trône tyran universel usurpateur vérité vertu vigueur volonté yeux
Fréquemment cités
Page 167 - Il donnait toujours luimême le texte de la discussion; il la faisait rouler le plus souvent sur des questions de religion, sur les différentes espèces de gouvernement, sur la stratégie. Un jour il demandait si les planètes étaient habitées; un autre jour, quel était l'âge du monde ; puis il donnait pour objet à la discussion, la probabilité de la destruction de notre globe, soit par l'eau, soit par le feu; enfin la vérité ou la fausseté des pressentimens et l'interprétation des rêves.
Page 19 - celui qui lève une main parricide contre les droits et la liberté de son pays, qui pose le pied sur le cou de trente millions de ses concitoyens, qui concentre dans sa seule main les pouvoirs d'un puissant Empire, en consume les trésors...
Page 19 - ... et qui emploie les forces de cet empire, en consume les trésors, et en verse le sang comme de l'eau, pour rendre les autres nations esclaves et faire du monde sa proie, cet homme, puisqu'il réunit tous les crimes...
Page 125 - Nous sommes loin de le contester, nous le soutenons même avec conviction, le gouvernement est un grand bien, il est essentiel au bonheur des hommes ; mais il accomplit son bien principalement par une influence négative, en réprimant l'injustice et le crime, en préservant la propriété de toute atteinte, et en écartant ainsi les obstacles au libre exercice des facultés humaines.
Page 171 - Une grande réputation , c'est un grand bruit ; plus on en fait , plus il s'étend au loin. Les lois , les institutions , les monwnens , les nations , tout cela tombe ; mais le bruit reste et retentit dans d'autres générations.
Page 69 - Parfois, at-on encore prétendu, il sentit son cœur s'amollir à la vue du champ de bataille jonché de morts et de blessés. Mais si le Moloch de son ambition réclamait le lendemain de nouveaux amas de cadavres, jamais il ne les lui refusait.
Page 167 - ... d'obtenir. Napoléon , sans partager l'exaltation du prélat, n'en fut pas moins satisfait de sa douceur et de son zèle. Il y eut surtout deux points sur lesquels ils ne furent point d'accord , celui de l'enfer et celui de point de salut hors de l'église. L'empereur disait en riant à l'impératrice Joséphine, qu'il avait disputé comme un diable sur ces deux points , sur lesquels de son côté l'évêqne avait été inexorable.
Page 126 - Tous nos grands intérêts sont abandonnés à nous-mêmes ; et les gouvernements, quand ils s'en sont mélés, leur ont apporté plus d'entraves qu'ils ne les ont fait avancer. Par exemple, ils n'ont pris la religion sous leur protection que pour la défigurer. De même l'éducation, dans leurs mains, n'a généralement fait que propager des maximes de servitude, et prêter appui à d'anciennes erreurs. De la même façon ils ont paralysé le commerce par leurs soins et leurs encouragements et ils...