... j'aurais voulu m'élancer dans l'infini. Je crois que si j'eusse dévoilé tous les mystères de la nature, je me serais senti dans une situation moins délicieuse que cette étourdissante extase à laquelle mon esprit se livrait sans retenue, et... Lettres à M. de Malesherbes - Page 43de Jean-Jacques Rousseau - 1928 - 62 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
 | Abbé Augustin Sénac - 1837 - 392 pages
...êtres, s'y trouvait trop à l'étroit; j'é» touffais dans l'univers, j'aurais voulu m'élancer » dans l'infini. Je crois que si j'eusse dévoilé tous » les mystères de la nature, je me serais senti dans » une situation moins délicieuse que cette étourdis» sante extase à laquelle... | |
 | François Noel - 1838 - 788 pages
...bornes'des êtres s'y trouvait trop à l'étroit, j'étouffais dans l'univers. J'aurais voulu m'élancer dans l'infini : je crois que si j'eusse dévoilé tous les mystères de la nature , je me serais senti dans une situation moins délicieuse que cette étourdissante extase à laquelle mon esprit... | |
 | Guyet de Fernex - 1843 - 576 pages
...bornes des êtres, s'y trouvait trop à l'étroit : j'étouffais dans l'univers. ,)",.voulu m'élancer dans l'infini. Je crois que si j'eusse dévoilé tous les mystères de la nature, je me serais sent: dans une situation moins délicieuse que cètté étourdissante extase à laquelle mon... | |
 | Antonin Roche - 1845 - 766 pages
...bornes des êtres s'y trouvait trop a l'étroit, j'étouffais dans l'univers. J'aurais voulu m'élancer dans l'infini : je crois que, si j'eusse dévoilé tous les mystères de la nature , je me serais senti dans une situation moins délicieuse que cette étourdissante extase à laquelle mon esprit... | |
 | Alexandre Rodolphe Vinet - 1849 - 680 pages
...bornes des êtres s'y trouvait trop à l'étroit, j'étouffais dans l'univers, j'aurais voulu m'clancer dans l'infini. Je crois que si j'eusse dévoilé tous les mystères de la nature , je me serais senti dans une situation moins délicieuse que cette étourdissante extase à laquelle mon esprit... | |
 | Alexandre Rodolphe Vinet - 1853 - 810 pages
...« êtres s'y trouvait trop à l'étroit; j'étouffais dans l'u« nivers; j'aurais voulu m'élancer dans l'infini. Je « crois que si j'eusse dévoilé tous les mystères de la « nature, je me serais senti dans une situation moins « délicieuse que celte étourdissante extase à laquelle «... | |
 | Alexandre Rodolphe Vinet - 1853 - 398 pages
...dans l'infini. Je « crois que si j'eusse dévoilé tous les mystères de la « nature, je me serais senti dans une situation moins « délicieuse que...étourdissante extase à laquelle « mon esprit se livrait sans retenue, et qui, dans l'agi« tation de mes transports, me faisait écrier quelque« fois... | |
 | Jean Jacques Rousseau - 1857 - 548 pages
...des êtres s'y trouvait trop à l'étroit ; j'étouffais dans l'univers; j'aurais voulu m'élancer dans l'infini. Je crois que si j'eusse dévoilé tous les mystères de la nature, je me serais senti dans une situation moins délicieuse que cette étourdissante extase à laquelle mon esprit... | |
 | Alexandre Rodolphe Vinet - 1857 - 624 pages
...bornes des êtres s'y trouvait trop à l'étroit, j'étouffais dans l'univers, j'aurais voulu m'élancer dans l'infini. Je crois que si j'eusse dévoilé tous les mystères de la nature, je me serais senti dans une situation moins délicieuse que cette étourdissante extase à laquelle mon esprit... | |
 | Jean-Félix Nourrisson - 1860 - 402 pages
...m'élance'r dans l'infini. Je crois que si j'eusse dévoilé tous les mystères de la nature, je me serais senti dans une situation moins délicieuse que cette étourdissante extase, à laquelle mon esprit se livrait sans retenue, et qui, dans l'agitation de mes transports, me faisait écrier quelquefois :... | |
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