| Abel François Villemain - 1840 - 398 pages
...temps où La Bruyère, spirituel, moqueur, indépendant par la pensée, écrivait ces paroles : « Un homme né chrétien et Français se trouve contraint dans la satire; les grands sujet» lui sont défendus; il les entame quelquefois, et se détourne ensuite sur de petites choses... | |
| 1842 - 554 pages
...prenant une contorsion pour une tçrâce, une grimace pour un sourire? « Je rirais, dit Labruyère, d'un homme « qui voudrait sérieusement parler mon ton de voix, ou me ressembler de » visage. » Four justifier ces observations qui paraîtront sévères, nous allons transcrire ici quelques vers... | |
| 1847 - 782 pages
...qui il inspire les termes et les figures, et qui tirent, pour ainsi dire, de leurs entrailles tout e , il s'en prend au ciel de ce qu'elle n'a pas commencé...tôt. Si le hasard lui fait voir une bourse dans son outraint dans la satire : les grands sujets lui ont défendus; il les entame quelquefois, et se létourne... | |
| Villemain (M.) - 1850 - 412 pages
...renfermé dans un cercle trop étroit, avait esquissé des caractères, parce qu'il n'osait peindre ' « Un homme né chrétien et Français se trouve contraint dans « la satire : les grands sujels lui sont défendus; il les entame quel« quefois, et se détourne ensuite sur de petites choses... | |
| Jacques Demogeot - 1852 - 684 pages
...Imiter ainsi les anciens c'est un moyen sûr de ne pas leur ressembler. « Je rirais, dit La Bruyère, d'un homme qui voudrait sérieusement parler mon ton de voix, ou me ressembler dévisage. » Ronsard, épris de l'antiquité, voulut faire table rase des mœurs, des croyances, des... | |
| Jacques Demogeot - 1855 - 724 pages
...Imiter ainsi les anciens c'est un moyen sûr de ne pas leur ressembler. « Je rirais , dit La Bruyère , d'un homme qui voudrait sérieusement parler mon ton de voix , ou me ressembler de visage. >• Ronsard, épris de l'antiquité, voulut faire table rase des mœurs, des croyances, des sentiments... | |
| Jacques Demogeot - 1855 - 700 pages
...Imiter ainsi les anciens c'est un moyen sûr de ne pas leur ressembler. « Je rirais, dit La Bruyère, d'un homme qui voudrait sérieusement parler mon ton de voix, ou me ressembler de visage. » Ronsard, épris de l'antiquité, voulut faire table rase des mœurs, des croyances, des sentiments... | |
| Hermann Hettner - 1856 - 1134 pages
...fie glaubig, 2a 9{офе^исаи1Ь fie felbfi^tig тафе. ÜRan fennt fein berûijmteê SBort: „Un homme né chrétien et Français se trouve contraint dans la satire; les grand s sujets lui sont défendus. Il les entame quelquefois et se détourne ensuite sur de petites... | |
| Jacques Claude Demogeot - 1860 - 700 pages
...Imiter ainsi les anciens c'est un moyen sûr de ne pas leur ressembler, « Je rirais, dit La Bruyère, d'un homme qui voudrait sérieusement parler mon ton de voix, ou me ressembler de visage. » Ronsard, épris de l'antiquité, voulut faire table rase des mœurs, des croyances, des sentiments... | |
| Joseph-Cyprien Nadal - 1861 - 662 pages
...qui il inspire les termes et les figures, et qui tirent, pour ainsi dire, de leurs entrailles tout ce qu'ils expriment sur le papier : dangereux modèles...rirais d'un homme qui voudrait sérieusement parler mon tou de voix, ou me ressembler de visage. » « On distingue sans peine, dit Maury, le véritable savant,... | |
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