Alors, l'esprit perdu dans cette immensité, je ne pensais pas, je ne raisonnais pas, je ne philosophais pas: je me sentais, avec une sorte de volupté, accablé du poids de cet univers, je me livrais avec ravissement à la confusion de ces grandes idées,... Leçons françaises de littérature et de morale - Page 136de François Joseph Michel Noël, Auguste Baron - 1852 - 584 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| Jean-Jacques Rousseau - 1836 - 820 pages
...dans cette immensité, je ne pensois pas, je ne raisonnois pas, je ne philosophois pas; je me sentois, avec une sorte de volupté, accablé du poids de cet univers , je me livrois avec ravissement à la confusion de ces grandes idées, j'aimois à me perdre en imagination... | |
| Abbé Augustin Sénac - 1837 - 392 pages
...tous les » êtres de. la nature, au système universel des choses, » à l'être incompréhensible qui embrasse tout ; » alors , l'esprit perdu dans..., je ne »pensais pas, je ne raisonnais pas, je ne philoso» phais pas : je me sentais, avec une sorte de vo»lupté, accablé du poids de cet univers,... | |
| François Noel - 1838 - 788 pages
...pénétré d'un sentiment très-vif, et d'une tristesse attirante que je n'aurais pas voulu ne pas avoir. raisonnais pas, je ne philosophais pas : je me sentais avec une sorte tic volupté accable du poids de cet univers ; je me livrais avec attendrissement à la confusion des... | |
| François Noel - 1840 - 656 pages
...système universel des choses, à l'btre suprême qui embrasse tout ; alors , l'esprit perdu dans celle immensité , je ne pensais pas , je ne raisonnais...j'aimais à me perdre en imagination dans l'espace ; mon cnnir resserré même dans les homes des êlres s'y trouvait trop à l'étroit, j'étouffais dans l'univers,... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1849 - 680 pages
...idées à tous les êtres de la nature, au système universel des choses, à l'être incompréhensible qui embrasse tout. Alors, l'esprit perdu dans cette...accablé du poids de cet univers ; je me livrais avec ravissement à la confusion de ces grandes idées ; j'aimais à me perdre en imagination dans l'espace... | |
| François Noel - 1851 - 792 pages
...j'élevais mes idées à tous les êtres de la nature, au système universel des choses, à l'Etre Suprême qui embrasse tout; alors, l'esprit perdu...philosophais pas : je me sentais avec une sorte de volupté accable du poids de cet univers ; je me livrais avec attendrissement à la confusion des grandes idées... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1852 - 816 pages
...celle immensité, je ne pensois pas, je ne raisonnois pas, je ne philosophois pas ; je me seninis, avec une sorte de volupté, accablé du poids de cet univers, je me livrois avec ravissement à la confusion de ces grandes idées , j'aimois à me perdre en imagination... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1853 - 810 pages
...choses, à l'être incompréhensible qui « embrasse tout. Alors l'esprit perdu dans celte im« mensité, je ne pensais pas, je ne raisonnais pas, je « ne...accablé du poids de cet univers, je me « livrais avec ravissement à la confusion de ces gran« des idées, j'aimais à me perdre en imagination dans «... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1857 - 624 pages
...idées à tous les êtres de la nature, au système universel des choses, à l'être incompréhensible qui embrasse tout. Alors , l'esprit perdu dans cette...accablé du poids de cet univers ; je me livrais avec ravissement à la confusion de ces grandes idées; j'aimais à me perdre en imagination dans l'espace... | |
| Jean Jacques Rousseau - 1857 - 548 pages
...M\TTII , cap. vi, v. 29. (.Eu.) compréhensible qui embrasse tout. Alors, l'esprit perdu dans cetle immensité, je ne pensais pas, je ne raisonnais pas,...philosophais pas ; je me sentais , avec une sorte de voluplé , accablé du poids de cet univers; jeme livraisavec ravissementà la confusion de ces grandes... | |
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