| Ernest Naville - 1900 - 286 pages
...conscience leur rend témoignage et qu'ils ont une loi écrite dans leurs cœurs ' ? Quand il écrit que « jamais auteur canonique ne s'est servi de la « nature pour prouver Dieu2, » n'oublie-t-il pas la déclaration du Psalmiste que « les cieux race content la gloire de... | |
| Adolphe Hatzfeld - 1901 - 314 pages
...non la raison. Voilà ce que c'est que la foi : Dieu sensible au cœur et non à la raison2. » « Quand un homme serait persuadé que les proportions...je ne le trouverais pas beaucoup avancé pour son salut3. » Ces abstractions ne vont pas jusqu'à l'âme : elles nous éclairent, mais elles ne nous... | |
| Gustave Michaut - 1902 - 316 pages
...convaincre des athées endurcis, mais encore, cette connaissance, sans Jésus-Christ, est stérile. « Quand un homme serait persuadé que les proportions des nombres sont des vérités surnaturelles, éternelles, et dépendantes d'une première vérité en quoi elles subsistent, et qu'on... | |
| J.-Roger Charbonnel - 1903 - 208 pages
...athées endurcis, mais encore parce que cette connaissance, sans Jésus-Christ, est inutile et stérile. Quand un homme serait persuadé que les proportions...le trouverais pas beaucoup avancé pour son salut. Le Dieu des Chrétiens ne consiste pas en un Dieu simplement auteur des vérités géométriques et... | |
| 1928 - 530 pages
...observatoires que l'âme à la pointe du scalpel ; cela, dirait Pascal, est impossible et d'un autre ordre : « Quand un homme serait persuadé que les proportions...je ne le trouverais pas beaucoup avancé pour son salnt. Le Dieu des chrétiens ne consiste pas en un Dieu simplement auteur des vérités géométriques... | |
| Per Lønning - 1980 - 212 pages
...ultérieure. La réponse, sans doute trouvée plus tard par Pascal, Brunet la lit dans Br. 556/ La. 449 : « Quand un homme serait persuadé que les proportions...le trouverais pas beaucoup avancé pour son salut. » Brunet nous semble avoir raison de rapporter la question de la vérité substantielle à cette dialectique... | |
| Pierre Maine de Biran - 1990 - 300 pages
...dans le sens le plus général et le plus étendu. L'usage l'a resteint depuis. Pascal, t. II, p. 23 : C'est une chose admirable que jamais auteur canonique ne s'est servi de la nature pour prouver Dieu ; toustendent à la faire croire, et jamais ils n 'ont dit : Il n'ya point de vide, donc il ya un Dieu.... | |
| Henri Gouhier - 1986 - 272 pages
...ratures, corrections, notes marginales, etc. A dire vrai, les formules de Pascal sont équivoques. « Quand un homme serait persuadé que les proportions...d'une première vérité en qui elles subsistent... ». Ces derniers mots font penser à la méditation augustinienne sur la présence en nous de vérités... | |
| Laurent Van Eynde - 1993 - 156 pages
...nature. Les Pensées négligent cette dernière en s'autorisant même d'une tradition chrétienne : « C'est une chose admirable que jamais auteur canonique ne s'est servi de la nature pour prouver Dieu » (Fr. 463). Pascal ne peut plus comprendre la preuve par la finalité, puisque le projet moderne... | |
| Rainer Zaiser - 1995 - 418 pages
...blieben.113 Neben den unfaßbaren kosmischen Dimensionen von „espace, 111 Cf. Fr. 463, Ed. Lafuma, p. 561: „C'est une chose admirable que jamais auteur canonique...servi de la nature pour prouver Dieu. Tous tendent ä le faire croirc." 112 Cf. Fr. 449, Ed. Lafuma, p. 558: „Le Dieu des chretiens ne consiste pas... | |
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