... aller et dériver lentement au gré de l'eau , quelquefois pendant plusieurs heures, plongé dans mille rêveries confuses, mais délicieuses, et qui, sans avoir aucun objet bien déterminé ni constant, ne laissaient pas d'être à mon gré cent... Essays on the Nature and Principles of Taste - Page 166de Archibald Alison - 1815 - 447 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
 | Henri Beaudouin - 1891 - 650 pages
...tournés vers le ciel, je me laissais aller et dériver lentement au gré de l'eau, quelquefois pendant plusieurs heures, plongé dans mille rêveries confuses,...avoir aucun objet bien déterminé ni constant, ne laissaient pas d'être, à mon gré, cent fois préférables à tout ce que j'avais trouvé de plus... | |
 | Ludwig Herrig - 1891 - 716 pages
...tournés vers le ciel, je me laissais aller et dériver lentement au gré de l'eau, quelquefois pendant s. Il n'évita aucune des obligations que lui imposaient sa grandeur et sa croyance. Mais, sans cesse détermine ni constant, ne laissaient pas d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que... | |
 | 1898 - 536 pages
...tournés vers le ciel, je me laissais aller et dériver lentement au gré de l'eau, quelquefois pendant plusieurs heures, plongé dans mille rêveries confuses,...délicieuses, et qui, sans avoir aucun objet bien Reiut abstraites, ne sauraient produire le sentiment qu'éprouvent ici des hommes ordinaires sans nul... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1911 - 830 pages
...tournés vers le ciel , je me laissois aller et dériver lentement au gré de l'eau , quelquefois pendant plusieurs heures . plongé dans mille rêveries confuses...doux dans ce qu'on appelle les plaisirs de la vie. Souvent averti par le baisser du soleil de l'heure de la retraite, je me trouvois si loin de l'île,... | |
 | Émile Faguet - 1911 - 330 pages
...tournés vers le ciel, je me taissais aller et dériver lentement au gré de l'eau, quelquefois pendant plusieurs heures, plongé dans mille rêveries confuses,...mais délicieuses, et qui, sans avoir aucun objet déterminé, ni constant, ne laissaient pas d'être, à mon gré, cent fois préférables à tout ce... | |
 | Émile Faguet - 1911 - 336 pages
...ciel, je me laissais aller et dériver lentement au gré de l'eau, quelquefois pendant plu214 sieurs heures, plongé dans mille rêveries confuses, mais délicieuses, et qui, sans avoir aucun objet déterminé, ni constant, ne laissaient pas d'être, à mon gré, cent fois préférables à tout ce... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1913 - 330 pages
...tournés vers le ciel, je me laissais aller et dériver lentement au gré de l'eau, quelquefois pendant plusieurs heures, plongé dans mille rêveries confuses,...avoir aucun objet bien déterminé ni constant, ne laissaient pas d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que j'avais trouvé de plus doux... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1914 - 80 pages
...lentement au gré de l'eau, quelquefois pendant plusieurs heures, plongé dans mille rêveries confuses,38 mais délicieuses, et qui, sans avoir aucun objet...doux dans ce qu'on appelle les plaisirs de la vie. Souvent averti par le baisser du soleil de l'heure de la retraite, je me trouvois si loin de l'île,... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1920 - 244 pages
...lentement au gré de l'eau, quelquefois pendant plusieurs heures, plongé dans mille rêveries confuses,5 mais délicieuses, et qui, sans avoir aucun objet bien déterminé ni constant, ne laissaient pas 5 d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que j'avais trouvé de plus... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1923 - 436 pages
...confuses, mais délicieuses, et qui, sans avoir aucun objet bien déterminé ni constant, ne laissaient pas d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que j'avais trouvé de plus doux dans ce qu'on appelle les plaisirè de la vie1. Souvent averti par le... | |
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