| Paul Albert - 1869 - 528 pages
...ne m'avais trouvé. Je pensais à toi dans mon agonie ; j'ai versé telles gouttes de sang pour toi. Veux-tu qu'il me coûte toujours du sang de mon humanité, sans que tu donnes des larmes? Les médecins ne te guériront pas; car tu mourras à la fin ; mais c'est moi qui guéris et rends... | |
| Paul Albert - 1878 - 484 pages
...m'avais trouvé. Je pensais à toi dans mon agonie; j'ai versé telles gouttes de sang pour toi... Veux-tu qu'il me coûte toujours du sang de mon humanité sans que tu donnes des larmes?... Les médecins ne te guériront pas, car tu mourras à la fin. Mais c'est moi qui guéris et rends le... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1878 - 678 pages
...t'inquiète donc pas. « Je pensais à toi dans mon agonie; j'ai versé tulles gouttes de sang pour toi. « Veux-tu qu'il me coûte toujours du sang de mon humanité, sans que tu donnes des larmes?... » Il faut lire en entier et à sa place ce morceau. Jean-Jacques Rousseau n'aurait pu l'entendre,... | |
| Ernest Havet - 1878 - 562 pages
...m'avais trouvé. Je pensais à toi dans mon agonie ; j'ai versé telles gouttes de sang pour toi... Veux-tu qu'il me coûte toujours du sang de mon humanité : sans que tu donnes des larmes?.. Les médecins ne te guériront pas, car tu mourras à la fin ; mais c'est moi qui guéris, et qui rends... | |
| Eugène Auguste Ernest Havet - 1878 - 568 pages
...pensais à toi dans mon agonie ; j'ai versé telles gouttes de sang pour toi... Veux-tu qu'il me coute toujours du sang de mon humanité : sans que tu donnes des larmes?.. Les médecins ne te guériront pas, car tu mourras à la fin ; mais c'est moi qui guéris, et qui rends... | |
| Blaise Pascal - 1881 - 474 pages
...toi si elle arrive. Laisse-toi conduire à mes règles; vois comme j'ai bien conduit la Vierge et les Saints, qui m'ont laissé agir en eux. Le Père aime...sans que tu donnes des larmes? C'est mon affaire que ta conversion; ne crains point, et prie avec conflance,comme pour moi. Je te suis présent par ma parole... | |
| Émile Auguste Étienne Martin- Deschanel - 1885 - 368 pages
...agonie : j'ai versé telles gouttes de sang pour toi... « — Puis", viennent de doux reproches : « Veux-tu qu'il me coûte toujours du sang de mon humanité sans que tu me donnes des larmes?... Les médecins ne te 1. Les dix premières Lettres sont adressées par un Parisien... | |
| Emile Deschanel - 1885 - 372 pages
...agonie : j'ai versé telles gouttes de sang pour toi... » — Puis, viennent de doux reproches : « Veux-tu qu'il me coûte toujours du sang de mon humanité sans que tu me donnes des larmes?... Les médecins ne te guériront pas : car tu mourras à la fin. Mais c'est... | |
| Émile Faguet - 1888 - 496 pages
...Jésus) : « Je pensais à toi dans mon agonie, j'ai versé telles gouttes de mon sang pour toi (i)... Veux-tu qu'il me coûte toujours du sang de mon humanité, sans que tu donnes des larmes ?... Les médecins ne te guériront pas, car tu mourras à la fin. C'est moi qui guéris, et rends... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1891 - 674 pages
...t'inquiète donc pas. Je pensais à toi dans mon agonie; j'ai versé telles gouttes de sang pour toi. Veux-tu qu'il me coûte toujours du sang de mon humanité, sans que tu donnes des larmes . II faut lire en entier et à sa place ce morceau. JeanJacques Rousseau n'aurait pu l'entendre, j'ose... | |
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