 | Jean-Jacques Rousseau - 1852 - 814 pages
...commencé dans ma tête, mais elle avoit passé dans mon cœur. Le plus noble orgueil y régna sur les débris de la vanité déracinée. Je ne jouai rien : je devins en effet tel que je parus ; et pendant quatre ans au moins que dura cette effervescence dans toute sa... | |
 | 1857 - 488 pages
...avait commencé dans ma tête, mais elle avait passé dans mon cœur. Le plus noble orgueil y germa sur les débris de la vanité déracinée. Je ne jouai rien, je devins en effet tel que je parus... Voilà d'où naquit ma subite éloquence : Voilà d'où se répandit dans... | |
 | Pierre André Sayous - 1861 - 490 pages
...avait commencé dans ma tête, mais elle avait passé dans mon cœur. Le plus noble orgueil y germa sur les débris de la vanité déracinée. Je ne jouai rien : je devins en effet tel que je parus; et, durant quatre ans au moins que dura cette effervescence, rien de grand... | |
 | Pierre André Sayous - 1861 - 498 pages
...avait commencé dans ma tête, mais elle avait passé dans mon cœur. Le plus noble orgueil y germa sur les débris de la vanité déracinée. Je ne jouai rien : je devins en effet tel que je parus; et, durant quatre ans au moins que dura cette effervescence, rien de grand... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1865 - 410 pages
...commencé dans ma tête , mais elle avoit passé dans mon cœur. Le plus noble orgueil y germa sur les débris de la vanité déracinée. Je ne jouai rien : je devins en effet tel que je parus; et, pendant quatre ans au moins que dura celte effervescence dans toute sa... | |
 | Alphonse Jobez - 1869 - 660 pages
...avait commencé dans ma tête, mais elle avait passé dans mon cœur. Le plus noble orgueil y germa sur les débris de la vanité déracinée. Je ne jouai rien ; je devins en effet tel que je parus ; et pendant quatre ans au moins que dura cette effervescence dans toute sa... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1876 - 708 pages
...avait commencé dans ma tête, mais elle avait passé dans mon cœur. Le plus noble orgueil y germa sur les débris de la vanité déracinée. Je ne jouai rien : je devins en effet tel que je parus ; et pendant quatre ans au moins que dura cette effervescence dans toute sa... | |
 | George Sand - 1885 - 288 pages
...commencé dans ma tête, mais elle avait passé « dans mon cœur. Le plus noble orgueil y germa sur « les débris de la vanité déracinée. Je ne jouai rien : « je devins en effet tel que je parus ; et , pendant quatre « ans au moins que dura cette effervescence dans toute... | |
 | George Sand - 1885 - 286 pages
...commencé dans ma tête , mais elle avait passé « dans mon cœur. Le plus noble orgueil y germa sur « les débris de la vanité déracinée. Je ne jouai rien : « je devins en effet tel que je parus; et , pendant quatre « ans au moins que dura cette effervescence dans toute... | |
 | Paul Hartenberg - 1901 - 296 pages
...avait commencé dans ma tête, mais elle avait passé dans mon cœur. Le plus noble orgueil y germa sur les débris de la vanité déracinée. Je ne jouai rien : je devins en effet tel que je parus; et durant quatre ans au moins que dura cette effervescence dans toute sa force,... | |
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