 | Jean-Jacques Rousseau - 1905 - 444 pages
...avait commencé dans ma tête, mais elle avait passé dans mon cœur. Le plus noble orgueil y germa sur les débris de la vanité déracinée. Je ne jouai rien : je devins en effet tel que je parus ; et, pendant quatre ans au moins que dura cette effervescence dans toute sa... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1913 - 330 pages
...avait commencé>dans ma tête, mais elle avait passé dans mon cœur. Le plus noble orgueil y germa sur les débris de la vanité déracinée. Je ne jouai rien : je devins en effet tel que je parus; et, pendant quatre ans au moins que dura cette effervescence dans toute sa... | |
 | Edmond Estève, E. Guirand - 1922 - 440 pages
...avait commencé dans ma tête, mais elle avait passé dans mon cœur. Le plus noble orgueil y germa sur les débris de la vanité déracinée. Je ne jouai rien : je devins en effet tel que je parus ; et pendant quatre ans au moins que dura cette effervescence dans toute sa... | |
 | Jacques Maritain - 1922 - 54 pages
...avait commencé dans ma tête, mais elle avait passé dans mon cœur. Le plus noble orgueil y germa sur les débris de la vanité déracinée. Je ne Jouai rien : je devins en effet tel que je parus ; et pendant quatre ans au moins que dura cette effervescence dans toute sa... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1798 - 486 pages
...commencé dans ma tête , mais elle avait passé dans mon cœur. Le plus noble orgueil y germa sur les débris de la vanité déracinée. Je ne jouai rien , je devins en eiïet tel que je parus; et, pendant quatre ans au moins que dura cette effervescence dans tonte .-a... | |
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