... rossignol était précisément au-dessus de moi ; je m'endormis à son chant : mon sommeil fut doux, mon réveil le fut davantage*. Il était grand jour : mes yeux, en s'ouvrant, virent l'eau, la verdure, un paysage admirable. Je me levai, me secouai,... Revue du Lyonnais - Page 111838Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1891 - 674 pages
...la verdure, un paysage admirable. Je me levai, me secouai : la faim me prit; je m'acheminai gaiement vers la ville, résolu de mettre à un bon déjeuner...deux pièces de six blancs qui me restaient encore. Tout le Rousseau naturel est là avec sa rêverie, son idéal, sa réalité ; et cette pièce de six... | |
| 1893 - 484 pages
...la verdure, un paysage admirable. Je me levai, me secouai; la faim me prit : je m'acheminai gaiement vers la ville , résolu de mettre à un bon déjeuner...deux pièces de six blancs qui me restaient encore. 38. — La Fauvette. (BUFFOS.) Le triste hiver, saison de mort, est le temps du sommeil, ou plutôt... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1905 - 444 pages
...la verdure, un paysage admirable. Je me levai, me secouai : la faim me prit; je m'acheminai gaiement vers la ville, résolu de mettre à un bon déjeuner...je me souviens même que je chantais une cantate de Batistin1, intitulée les Bains de Thomery, 1. Batistin ou Jean-Baptiste ! Florence vers la fin du... | |
| 1909 - 876 pages
...verdure, un paysage admirable. Je me levai, me secouai : la « faim me prit ; je m'acheminai gaiement vers la ville, résolu de « mettre à un bon déjeuner...je chantais une cantate de Batistin intitulée les Bains de « Thomery, que je savais par cœur. Que béni soit le bon Batistin « et sa bonne cantate,... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1912 - 788 pages
...verdure, un paysage admirable. Je me levai, me secouai : la faim me prit : je m'acheminai gaiement vers la ville, résolu de mettre à un bon déjeuner...deux pièces de six blancs qui me restaient encore. Tétois de si bonne humeur, que j'allois chantant tout le long du chemin; et je me souviens même que... | |
| Jules Pacheu - 1909 - 420 pages
...: la faim me prit, je m'acheminai gaiement vers la ville, résolu de mettre 366 L'UNION MYSTIQUE \ à un bon déjeuner deux pièces de six blancs qui me restaient encore. Assurément c'est un plaisir permis, mais on peut aimer la nature en y puisant des idées, des sentiments... | |
| Edmond Estève, E. Guirand - 1922 - 440 pages
...verdure, un paysage admirable. Je me levai, me secouai : la faim me prit ; je m'acheminai gaiement vers la ville, résolu de mettre à un bon déjeuner...je chantais une cantate de Batistin, intitulée les Bains de Thomery, que je savais par cœur. Que béni soit le bon Batistin (3) et sa bonne cantate,... | |
| Henri Bornecque - 1924 - 240 pages
...paysage admirable. Je me levai, me secouai, la faim me prit : je m'acheminai gaiement vers la ville, bien résolu de mettre à un bon déjeuner deux pièces de six blancs 3 qui me restaient encore. X. Le Pont du Gard1 Après mon déjeuner, je pris un guide, et j'allai/voir... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1927 - 342 pages
...la verdure, un paysage admirable. Je me levai, me secouai, la faim me prit, je m'acheminai gaiement vers la ville, résolu de mettre à un bon déjeuner deux pièces de six blancs qui me restoient encore. J'étois de si bonne humeur, que j'allois chantant tout le long du chemin, et je... | |
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