Ce ne sont point les plaisirs de ma jeunesse ; ils furent trop rares, trop mêlés d'amertume, et sont déjà trop loin de moi. Ce sont ceux de ma retraite, ce sont mes promenades solitaires, ce sont ces jours rapides, mais délicieux, que j'ai passés... Oeuvres complètes - Page 443de Jean-Jacques Rousseau - 1833Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Jean-Jacques Rousseau - 1927 - 412 pages
...Quels temps croiriez-vous, Monsieur, que je me rappelle le plus souvent et le plus volontiers dans mes rêves? Ce ne sont point les plaisirs de ma jeunesse : ils furent trop rares, trop mêlés d'amertumes, et sont déjà trop loin de moi. Ce sont ceux de ma retraite, ce sont mes promenades solitaires,... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1928 - 72 pages
...croiriezvous, Monsieur, que je me rappelle le plus souvent et le plus volontiers dans mes rêves ? 3 Ce ne sont point les plaisirs de ma jeunesse : ils furent trop rares, trop mêlés d'amertumes (#'), et sont déjà trop loin de moi. Ce sont ceux de ma retraite, ce sont mes promenades... | |
| 1856 - 938 pages
...troisième lettre, quels temps croiriez-vous que je me rappelle le plus souvent et le plus volontiers dans mes rêves? Ce ne sont point les plaisirs de ma jeunesse;...d'amertume et sont déjà trop loin de moi. Ce sont mes promenades solitaires, ce sont ces jours rapides, mais délicieux, que j'ai passés avec moi seul,... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1974 - 242 pages
...Quels temps croiriez-vous. Monsieur, que je me rappelle le plus souvent et le plus volontiers dans mes rêves ? Ce ne sont point les plaisirs de ma jeunesse, ils furent trop rares, trop mêlés d'amertumes, et sont déjà trop loin de moi. Ce sont ceux de ma retraite, ce sont mes promenades solitaires,... | |
| 1805 - 520 pages
...souvent et le plus « volontiers dans mes rêves ? Ce ne sont point » les plaisirs de ma jeunesse , iU furent trop rares , » trop mêlés d'amertume, et...sont » mes promenades solitaires, ce sont ces jours ra» pides et délicieux que j'ai passés tout entiers j> avec moi seul , avec ma bonne et simple gouT>... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1926 - 250 pages
...souffrances. Quels temps croiriez-vous, monsieur, que je me rapelle le plus souvent et le plus volontiers dans mes rêves? Ce ne sont point les plaisirs de ma jeunesse...ils furent trop rares, trop mêlés d'amertume, et 25 sont déjà trop loin de moi. Ce sont ceux de ma retraite; ce sont mes promenades solitaires, ce... | |
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