Je l'éprouvai plus qu'un autre. J'ignore ce que je fis jusqu'à cinq ou six ans. Je ne sais comment j'appris à lire; je ne me souviens que de mes premières lectures et de leur effet sur moi : c'est le temps d'où je date sans interruption la conscience... Oeuvres complètes - Page 19de Jean-Jacques Rousseau - 1832Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Jean-Jacques Rousseau - 1844 - 642 pages
...penser ; c'est le sort commun de l'humanité. Je l'éprouvai plus qu'un autre. J'ignore ce que je fis jusqu'à cinq ou six ans. Je ne sais comment j'appris...effet sur moi : c'est le temps d'où je date sans interrnption la conscience de moi-même. Ma mère avait laissé des romans; nous nous mîmes à les... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1846 - 586 pages
...penser; c'est le sort commun de l'humanité. Je v l'éprouvai plus qu'un autre. J'ignore ce que je fis jusqu'à cinq ou six ans. Je ne sais comment j'appris...interruption la conscience de moi-même. Ma mère avait laissé des romans; nous nous mîmes à les lire après souper, mon père et moi. Il i C'éiaii... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1852 - 816 pages
...penser ; c'est le sort commun de l'humanité. Je l'éprouvai plus qu'un autre. J'ignore ce que je fis jusqu'à cinq ou six ans. Je ne sais comment j'appris...moi-même. Ma mère avoit laissé des romans; nous nous mtmes à les lire après souper, mon père et moi. 11 n'étoit question d'abord que de m'exercer à... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1858 - 566 pages
...penser ; c'est le sort commun de l'humanité. Je l'éprouvai plus qu'un autre. J'ignore ce que je fis "jusqu'à cinq ou six ans. Je ne sais comment j'appris...mes premières lectures et de leur effet sur moi... Ma mère avait laissé des romans; nous nous mîmes à les lire après souper, mon père et moi. Il... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1857 - 642 pages
...penser; c'est le sort commun de l'humanité. Je l'éprouvai plus qu'un autre. J'ignore ce que je fis jusqu'à cinq ou six ans. Je ne sais comment j'appris...conscience de moi-même. Ma mère avoit laissé des i romans ; nous nous mîmes à les lire après souper , mon père et moi. Il n'étoit question d'abord... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1865 - 410 pages
...penser; c'est le sort commun de l'humanité. Je l'éprouvai plus qu'un autre. J'ignore ce que je fis jusqu'à cinq ou six ans. Je ne sais comment j'appris...moi-même. Ma mère avoit laissé des romans ; nous nous mîmes à les lire après souper , mon père et moi. Il n'étoit question d'abord que de m'exercer... | |
| Jules Romain Barni - 1867 - 528 pages
...depenser; c'est le sort commun de l'humanité. Je l'éprouvai plus qu'un autre. J'ignore ce que je fis jusqu'à cinq ou six ans. Je ne sais comment j'appris...interruption la conscience de moi-même. Ma mère avait laissé des romans ; nous nous mimes à les lire après souper, mou pî,rc et moi. Il n'était... | |
| Jules-Romain Barni - 1867 - 512 pages
...dépenser; c'est le sort commun de l'humanité. Je l'éprouvai plus qu'un autre. J'ignore ce que je fis jusqu'à cinq ou six ans. Je ne sais comment j'appris...interruption la conscience de moi-même. Ma mère avait laissé des romans ; nous nous mîmes à les lire après souper , mon. p&rc et moi. Il n'était... | |
| Hilaire André - 1875 - 374 pages
...Eousseau ; c'est le sort commun de l'humanité. Je l'éprouvai plus qu'un autre. J'ignore ce que je fis jusqu'à cinq ou six ans. Je ne sais comment j'appris...c'est le temps d'où je date sans interruption la connaissance de moi-même. Ma mère avait laissé des romans ; nous nous mîmes à les lire, après... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1876 - 708 pages
...de penser; c'est le sort commun de l'humanité. Je l'éprouvai plus qu'un autre. J'ignore ce que fis jusqu'à cinq ou six ans. Je ne sais comment j'appris...interruption la conscience de moi-même. Ma mère avait laissé des romans; nous nous mîmes à les lire après souper, mon père et moi. Il n'était... | |
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