...penser: c'est le soit commun do l'humanité. Je l'éprouvai plus qu'un autre. J'ignore ce que je fis jusqu'à cinq ou six ans. Je ne sais comment j'appris...mes premières lectures et de leur effet sur moi... Ma mère avait laissé des romans; nous nous mîmes à les lire après souper, mon père et moi. Il...

...Mémoires d'un enfant, pnr Mine MICHELET, 1807. (2) ROUSSEAU dit de tuêine : « J'ignore ce que je fis jusqu'à cinq ou six ans : je ne sais comment j'appris à lire. » (Confessions, liv. 1.) (3) MP LOTI, le Roman d'un enfant, p. 4. M. PEHEZ raconte de son côté qu'...

...animaux, p. 24. écrivains qui nous ont raconté leur enfance. « J'ignore, dit Rousseau, ce que je fis jusqu'à cinq ou six ans, je ne sais comment j'appris...date sans interruption la conscience de moi-même '. » « Ai-je été nourri par ma mère? dit Vallès : est-ce une paysanne qui m'a donné son lait?...

...animaux, p. 24. écrivains qui nous ont raconté leur enfance, t J'ignore, dit Rousseau, ce que je fis jusqu'à cinq ou six ans, je ne sais comment j'appris...lectures et de leur effet sur moi : c'est le temps d'"ù jedate sans interruption la conscience de moi-même '. » « Ai-je été nourri par ma mère?...

...horloger. Gomment ce père éleva-t-il son fils? Celui-ci nous l'a raconté dans ses Confessions. « Je ne sais comment j'appris à lire ; je ne me souviens...mes premières lectures et de leur effet sur moi. Ma mère avait laissé des romans ; nous nous mîmes à les lire après souper, mon père et moi. Il...

...penser : c'est le sort commun de l'humanité. Je l'éprouvai plus qu'un autre. J'ignore ce que je fis jusqu'à cinq ou six ans. Je ne sais comment j'appris...interruption la conscience de moi-même. Ma mère avait laissé des romans ; nous nous mîmes a les lire après souper, mon père et moi. Il n'était...

...penser; c'est le sort commun de l'humanité, mais je l'éprouvai plus qu'un autre. J'ignore ce que je fis jusqu'à cinq ou six ans : je ne sais comment j'appris à lire; il me semble de l'avoir toujours su. Je ne me souviens que de mes premières lectures et de leurs effets...

...penser; c'est le sort commun de l'humanité. Je l'éprouvai plus qu'un autre. J'ignore ce que je fis jusqu'à cinq ou six ans. Je ne sais comment j'appris...moi-même. Ma mère avoit laissé des romans; nous nous mîmes à les lire après souper, mon père et moi. Il n'étoit question d'abord que de m'exercer à...

...penser; c'est le sort commun de l'humanité, mais je l'éprouvai plus qu'un autre. J'ignore ce que je fis jusqu'à cinq ou six ans : je ne sais comment j'appris à lire; il me semble de l'avoir toujours su. Je ne me souviens que de mes premières lectures et de leurs effets...

...penser: c'est le sort commun de l'humanité. Je l'éprouvai plus qu'un autre. J'ignore ce que je fis jusqu'à cinq ou six ans. Je ne sais comment j'appris...leur effet sur moi: c'est le temps d'où je date sans interrup15 tion la conscience de moi-même. Ma mère avait laissé des romans,2 nous nous mîmes à...