Je me levais avec le soleil , et j'étais heureux; je me promenais, et j'étais heureux; je voyais maman, et j'étais heureux; je la quittais, et j'étais heureux ; je parcourais les bois , les coteaux , j'errais dans les vallons , je lisais , j'étais... Essais de philosophie américaine - Page 54de Ralph Waldo Emerson - 1851 - 311 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| Jean-Jacques Rousseau - 1858 - 672 pages
...consistait en faits, en actions, en oaroles. ie courrais le dér.rire et In rpnrlrpcn niiplnnpfarnn • les vallons, je lisais, j'étais oisif, je travaillais...chose assignable, il était tout en moi-même, il ne pouvait me quitter un seul instant. Rien de tout ce qui m'est arrivé durant cette époque cht/ie,... | |
| Frédéric Eugène Godefroy - 1863 - 774 pages
...vécu 1 • Je me levais avec le soleil, dit- 11, et j'étais heureux; je me promenais, et j étais heureux ; je parcourais les bois , les coteaux , j'errais...chose assignable, il était tout en moi-même, il ne pouvait me quitter un seul instant >. » II ya beaucoup de simplicité et d'agrément dans la description... | |
| Arsène Houssaye - 1864 - 466 pages
...objets de mon bonheur que ce sentimentmême? Je me levais avec le soleil, je me promenais, et j'étais heureux ; je parcourais les bois, les coteaux, j'errais...fruits, j'aidais au ménage, et le bonheur me suivait par tout : il n'était dans aucune chose assignable, il était tout en moi-même, il ne pouvait me... | |
| Jules Claretie - 1865 - 334 pages
...heureux ; je la quittais, etj'étais heureux ; je parcourais les bois, les coteaux, j'errais dansles vallons, je lisais, j'étais oisif, je travaillais...j'aidais au ménage, et le bonheur me suivait partout. » — Iï était tout en moi-même, saoule le malheureux, qui savait bien que la course au bonheur... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1876 - 708 pages
...me promenais, et j'étais heureux; je voyais maman, et j'étais heureux; je la quittais, et j'étais heureux; je parcourais les bois, les coteaux, j'errais...j'étais oisif, je travaillais au jardin, je cueillais des fruits, j'aidais au ménage, et le bonheur me suivait partout : il n'était dans aucune chose assignable,il... | |
| Frédéric Godefroy - 1879 - 794 pages
...J'ai vécu 1 « Je me levais avec le soleil, dit-il, et j'étais heureux; je me promenais, et j'étais heureux; je parcourais les bois, les coteaux, j'errais...il n'était dans aucune chose assignable, il était en moi-même, il ne pouvait me quitter un seul instant 1 . » D ya beaucoup de simplicité et d'agrément... | |
| George Saintsbury - 1892 - 614 pages
...promenais, et j'étais heureux ; je voyais maman, et j'étais heureux ; je la quittais, et j'étais heureux ; je parcourais les bois, les coteaux, j'errais...je travaillais au jardin, je cueillais les fruits, 30 \ j'aidais au ménage, et le bonheur me suivait partout: il n'était dans aucune chose assignable,... | |
| Erich Rundstroem - 1907 - 112 pages
...je me promenais, et j'etais heureux; je voyais maman, et j'etais heureux; je la quittais, et j'etais heureux; je parcourais les bois, les coteaux, j'errais dans les vallons, je lisais, j'etais oisif, je travaillais au jardin, je cueillais les fruits, j'aidais au menage, et le bonheur... | |
| Hippolyte Buffenoir - 1909 - 552 pages
...promenades, soins donnés au jardin, courses à travers les bois, les coteaux, les vallons, et il ajoute : « Le bonheur me suivait partout : il n'était dans aucune...chose assignable, il était tout en moi-même, il ne pouvait me quitter un seul instant. » Ames désabusées, cœurs arides et sceptiques, que rien n'attire,... | |
| Hippolyte Buffenoir - 1911 - 166 pages
...promenades, soins donnés au jardin, courses à travers les bois, les coteaux, les vallons et il ajoute : « Le bonheur me suivait partout: il n'était dans aucune chose assignable, il élait tout en moi-même, il ne pouvait me quitter un seul instant. » Ames désabusées, cœurs arides... | |
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