Je me levais avec le soleil , et j'étais heureux; je me promenais, et j'étais heureux; je voyais maman, et j'étais heureux; je la quittais, et j'étais heureux ; je parcourais les bois , les coteaux , j'errais dans les vallons , je lisais , j'étais... Essais de philosophie américaine - Page 54de Ralph Waldo Emerson - 1851 - 311 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| Bernard Bouvier - 1912 - 440 pages
...avec le soleil et j'étais heureux; je me promenais et j'étais heureux; je voyais maman et j'étais heureux; je parcourais les bois, les coteaux, j'errais...chose assignable, il était tout en moi-même; il ne pouvait me quitter un seul instant. » Bonheur en réalité fragile, trompeur, et qui ne devait pas... | |
| Charles Borgeaud - 1912 - 426 pages
...avec le soleil et j'étais heureux; je me promenais et j'étais heureux; je voyais maman et j'étais heureux; je parcourais les bois, les coteaux, j'errais...chose assignable, il était tout en moi-même; il ne pouvait me quitter un seul instant. » Bonheur en réalité fragile, trompeur, et qui ne devait pas... | |
| William James - 1916 - 368 pages
...que ce sentiment même? Je me levais avec le soleil et j'étais heureux; je me promenais et j'étais heureux; je parcourais les bois, les coteaux, j'errais...chose assignable, il était tout en moi-même, il ne pouvait me quitter un seul instant1. i. Confessions, liv. VI. (Trad.) r Si un tel état d'esprit pouvait... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1921 - 422 pages
...promenais, et j'étais heureux; je 10 voyais maman, et j'étais heureux; je la quittais, et j'étais heureux; je parcourais les bois, les coteaux, j'errais...partout: il n'était dans aucune chose assignable, il 15 était tout en moi-même, il ne pouvait me quitter un seul instant. Rien de tout ce qui m'est arrivé... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1921 - 420 pages
...me promenais, et j'étais heureux; je voyais maman, et j'étais heureux; je la quittais, et j'étais heureux; je parcourais les bois, les coteaux, j'errais...me suivait partout: il n'était dans aucune chose ass1gnable, il 5 était tout eh moi-même, il ne pouvait me quitter~iïn~seul instant. Rien de tout... | |
| Edmond Estève, E. Guirand - 1922 - 440 pages
...me promenais, et j'étais heureux; je voyais maman, et j'étais heureux; je la quittais, et j'étais heureux; je parcourais les bois, les coteaux, j'errais...chose assignable, il était tout en moi-même, il ne pouvait me quitter un seul instant. Rien de tout ce qui m'est arrivé durant cette époque chérie,... | |
| Albert Schinz - 1923 - 658 pages
...me promenais, et j'étais heureux; je voyais maman, et j'étais heureux; je la quittais, et j'étais heureux; je parcourais les bois, les coteaux, j'errais...chose assignable, il était tout en moi-même, il ne pouvait me quitter un seul instant. Rien de tout ce qui m'est arrivé durant cette époque chérie,... | |
| Victor Margueritte - 1926 - 302 pages
...heureux; je voyais maman, et j'étais heureux ; je la quittais et j'étais heureux ; je parcourais le bois, les coteaux, j'errais dans les vallons, je lisais,...il n'était dans aucune chose assignable, il était en moimême et me suivait partout... » Ainsi, ce n'est pas parce qu'il y vécut en amoureux avec Maman,... | |
| René Moulin - 1928 - 1278 pages
...vécu. » Ainsi parla 1 anJacques quand sa maîtresse s'installa aux Charmettes. a Je parcourais le bois, les coteaux, j'errais dans les vallons, je lisais,...j'étais oisif, je travaillais au jardin, je cueillais des fruits, j'aidais au ménage, et le bonheur me suivait partout. » C'est un tout petit jardin que... | |
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