Je m'en aperçus enfin. Je me couchai voluptueusement sur la tablette d'une espèce de niche ou de fausse porte enfoncée dans un mur de terrasse; le ciel de mon lit était formé par les têtes des arbres; un rossignol était précisément... Confessions - Page 267de Jean-Jacques Rousseau - 1817Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1849 - 854 pages
...rê« verie, je prolongeai fort avant dans la nuit « ma promenade, sans m'apercevoir que j'étais « las. Je m'en aperçus enfin : je me couchai « voluptueusement sur la tablette d'une espèce « deniche ou de fausse porte, enfoncée dans un « mur de terrasse : le ciel de mon lit était «... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1849 - 384 pages
...« et soupirant seulement un peu du regret « d'en jouir seul. Absorbé dans ma douce rê« verie, je prolongeai fort avant dans la nuit « ma promenade, sans m'apercevoir que j'étais •« las. Je m'en aperçus enfin : je me couchai « voluptueusement sur la tablette d'une... | |
| François-René de Chateaubriand - 1849 - 490 pages
...« livrant mes sens et mon cœur à la jouissance de tout cela, et sou« pirant seulement un peu du regret d'en jouir seul. Absorbé dans « ma douce rêverie, je prolongeai fort avant dans la nuit ma prome« nade, sans m'apercevoir que j'étais las. Je m'en aperçus enfin : je me « couchai voluptueusement... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1852 - 814 pages
...soupirant seulement un peu du regret d'en jouir seul. Absorbé dans ma douce rêverie , je [«•ok>Dgeai svr la tablette d'une espèce de niche ou de fausse porte enfoncée dans un mur de terrasse; le ciel... | |
| Charles Joseph Chambet - 1853 - 490 pages
...rêverie , je prolongeai fort « avant dans lu nuit m;i promenade, sans m'aperce« voir que j'étais las, Je m'en aperçus enfin. Je me « couchai voluptueusement sur la tablette d'une « espèce de niche enfoncée dans un mur de ter« rasse ; le ciel de mon Ut était formé par 19 tête de» « arbres... | |
| Antonin Roche - 1854 - 704 pages
...me promenais dans une sorte d'extase, livrant mes sens et mon cœur à la jouissance de tout cela; absorbé dans ma douce rêverie, je prolongeai fort...avant dans la nuit ma promenade sans m'apercevoir que j'étais las ; je m'en aperçus enfin. Je me couchai voluptueusement sur la tablette d'une espèce... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1857 - 642 pages
...d'extase , livrant mes sens et mon cœur à la jouissance de tout cela, et soupirant seulement un peu du regret d'en jouir seul. Absorbé dans ma douce rêverie,...voluptueusement sur la tablette d'une espèce de niche ou de fausse porte enfoncée dans un mur de terrasse ; le ciel de mon lit étoit formé par les tètes... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1858 - 672 pages
...d'extase, livrant mes sens et mon cœur à la jouissance de tout cela, et soupirant seulement un peu du regret d'en jouir seul. Absorbé dans ma douce rêverie,...avant dans la nuit ma promenade, sans m'apercevoir que j'étais las. Je m'en aperçus enfin. Je me couchai voluptueusement sur la tablette d'une espèce de... | |
| Adolphe Laurent Joanne - 1858 - 400 pages
...d'extase, livrant mes sens et mon cœur à la jouissance de tout cela, et soupirant seulement un peu du regret d'en jouir seul. Absorbé dans ma douce rêverie,...avant dans la nuit ma promenade, sans m'apercevoir que j'étais las. Je m'en aperçus enfin. Je me couchai voluptueusement sur la tablelte d'une espèce de... | |
| Frédéric Eugène Godefroy - 1863 - 774 pages
...d'extase, livrant mes sens et mon cœur à la jouissance de tout cela, et soupirant seulement un peu du regret d'en jouir seul. Absorbé dans ma douce rêverie,...avant dans la nuit ma promenade sans m'apercevoir que j'étais las. Je m'en aperçus enfin. Je me couchai voluptueusement sur la tablette d'une espèce de... | |
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